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On sourit toujours lorsque l’on en a intérêt, tant mieux pour l’Afrique sub-saharienne. Quant à l’importance de la langue de Molière sur le plan international, j’ai quelques doutes qu’elle ne se fasse recaler encore un peu davantage dans le futur.
UNE CERTAINE SURESTIMATION SURTOUT.
Quand on connaît certains pays d’Afrique on s’aperçoit bien que le français est utilisé par les élites et que le peuple se contente de la langue du pays ou de l’ethnie.
On se demande aussi s’il ne serait pas mieux pour l’Afrique, que les langues comme le Swahili et le Peul puissent un jour prendre place.
Le Français permet à certains pays africains de communiquer entre eux, mais engagent beaucoup de leurs citoyens à s’imaginer un destin français. Ainsi les plus diplômés quittent leur pays et le privent de leur intelligence.
Quand aux autres de catégorie modeste, leur rêve SE BRISE, quand ils viennent habiter dans les cités MULTICULTURELLES qui ne leur conviennent pas plus qu’à un français de souche.
Le multiculturel c’est le rêve de Mr SOROS et des mondialistes , mais sûrement pas de l’immigré qui est tout aussi déstabilisé qu’un autochtone. Combien de différentes cultures AFRICAINES ne s’entendent pas dans les cités? Pourquoi les offices de HLM sont obligés de tenir compte de l’Ethnie pour savoir ou la placer sans que cela n’engendre de conflits?.
Dans les administrations locales, tout le monde sait cela. Seules nos élites continuent dans leur ignoble fantaisie multiculturelle..
VIVE LA FRANCOPHONIE? VRAIMENT????
Entreprise d’orgueil démesurée, probablement.
Beaucoup de Français sont tellement crispés sur leur langue maternelle, tellement provinciaux, tellement fermés aux langues étrangères, qu’ils préfèrent encore sans doute que la francophonie se développe dans une culture totalement étrangère à leur civilisation que de devoir faire un effort en anglais, en allemand ou en espagnol. Peut-être feraient-ils bien de s’inspirer p.ex. des Hongrois, petit pays dont la langue n’est parlée que par quelques millions de locuteurs autochtones et assez peu en-dehors de leurs frontières, mais qui est loin d’être une langue morte. Avec les centaines de millions d’Africains à qui la France a appris le riche langue de Molière, la France ne doit pas s’étonner que des millions de subsahariens cherchent ensuite à conquérir le très généreux état-providence social hexagonal. La langue n’est plus une barrière.