Cenator : Le marxisme culturel avec ses délires égalitaristes n’a pas de limites. La dernière trouvaille est la dépression post-partum des pères. La RTS se rue sur cette nouvelle découverte cinglée.
Nous savons qu’après l’accouchement, la chute hormonale peut amener une dépression. En torturant un peu la réalité, nos néo-marxistes ont fini par trouver un équivalent masculin à ce type de dépression. Bien entendu, ceci ne marche qu’avec le mâle blanc de gauche et idéologiquement sous influence.
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RTS : La dépression post-partum des pères, une souffrance méconnue
Je ne sais pas pourquoi cette histoire me rappelle qu’il y a longtemps, étudiant la biologie, nous devions au cours d’endocrinologie, greffer un fragment d’ovaire dans la tête des tritons mâles et figurez-vous que les tritons en question devenaient des femelles. faisons la même chose chez le mâle blanc ainsi il deviendra vraiment l’égal de sa tendre moitié !
Ils ont des problèmes postnatales, quel gâchi de l‘homme viril et protecteur de la famille et de la femme.
Qu’il s’agisse de l’homme comme de la femme, toute naissance renvoie à sa propre petite enfance, y compris à sa propre naissance, première alliance à celle qui nous accueille.
Nous ne pouvons lutter contre l’empreinte que cette période première de notre existence laissera en nous. L’empreinte est l’empreinte. On peut l’observer à loisir chez l’animal comme chez l’humain. Elle sera porteuse soit de bien être, soit de peine ou de souffrance. Tout dépendra de la façon dont s’est passé cet accueil primordial.
C’est pourquoi, il faut être très attentif aux enfants qui par leur comportement montrent une souffrance.
Mais nombreux sont les hommes et femmes qui, grâce à leur structure psychique, établirons des digues psychiques pour “maitriser” la flot de peines ou de souffrances si cet accueil et les relations qui ont suivi n’ont pas été satisfaisants.
Mais la naissance d’un enfant, enfant désiré bien souvent, réveille ces souffrances à l’insu du parent. Parent qui se demande pourquoi “le ciel lui tombe sur la tête”. En fait une partie des digues psychiques s’effondre face à une naissance qui devient alors “un CHOC”. L’urgence est de ne pas rester dans cette souffrance qui va “entraver” la bonne relation à l’enfant. Et surtout en parler à des psychologues.
Mais un autre facteur entre en jeu chez l’homme et bien des anthropologues l’ont constaté dans la façon dont l’homme réagit lors de la naissance d’un enfant, dans certaines tribus. Réaction qu’on nomme la couvade. Ou l’homme exprime qu’il a autant couvé “symboliquement” l’enfant attendu dans le corps de la mère, et qu’il mérite aussi toute l’attention pour l’accouchement partagé affectivement. Par la couvade, période pendant laquelle il se couche, il démontre sa participation à l’enfantement et aussi sa “tristesse dans son incapacité biologique à n’avoir pas pu, lui aussi porter cet enfant”.
Symboliquement l’homme a porté et a accouché de l’enfant. Et certaines tribus ou hommes et femmes ONT AUTANT D’EMPATHIE LES UNS POUR LES’AUTRES, acceptent cette manifestation masculine, lors de la naissance de l’enfant.
Tout cela révèle combien nous sommes fragiles, complexes et forts à la fois. Mais il nous semble que l’empathie prendra de plus en plus de place dans l’avenir. Nous sommes en train de changer. Ainsi sera pris en compte, le bouleversement que représente la naissance d’un enfant
AUSSI pour les hommes.
À en croire les gauchistes, nous n’aurions que des sujets friables, dans ce qu’il reste de la société. Ridicule ! À la naissance de nos enfants, ni leur mère ni moi n’avons éprouvé l’ombre d’une dépression, au contraire, nous étions heureux qu’une fille puis un fils nous soit donnés. Et je vois qu’il en est ainsi autour de moi, dans la rude France “périphérique” loin des bobos dégénérés. Mais, évidemment, quand le gauchiste libertarien voit poindre l’enfant, il pousse des cris d’orfraie, d’une part parce qu’il fuit toute responsabilité, d’autre part parce qu’il est un être friable à cause de son éducation et de son idéologie. Stupides bougres !
Et dire que l’entreprise que je dirige paie 910 francs par année pour financer de telles inepties sur le service public !