La folie du genre au jardin d’enfants

Cenator : L’Occident enlève aux enfants le sentiment de sécurité avec les folies du genre.
Lorsqu’on ôte à un enfant la certitude d’être une fille ou un garçon, cela amène un profond sentiment d’insécurité, alors que les enfants, bien plus que des adultes qui se sont déjà construits, ont besoin de repères sûrs, indispensables pour une construction psychique saine.

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La présidente d’un syndicat d’enseignants et une militante transgenre font de la propagande LGBT dans une école maternelle

La présidente du plus grand syndicat d’enseignants des Etats-Unis et un homme qui se considère comme une femme ont fait équipe, la semaine dernière, pour enseigner l’idéologie transgenre à une classe de maternelle d’Arlington, en Virginie.

Lily Eskelsen García, présidente de la National Education Association (NEA), s’est jointe à Sarah McBride, porte-parole de la Human Rights Campaign (HRC), pour lire les livres I Am Jazz et Julien est une sirène aux jeunes enfants de l’école élémentaire Ashlawn.

"J’ai un cerveau de fille mais un corps de garçon " écrit Jazz Jenning dans son livre I Am Jazz."Ça s’appelle transgenre. Je suis née comme ça."

Sarah McBride a lu ce passage aux enfants, puis leur a dit : "Je suis comme Jazz. Quand je suis née, les médecins et mes parents pensaient tous que j’étais un garçon. Ils  le pensaient parce que la société et les gens autour d’eux le leur avaient dit. Il m’a fallu un certain temps pour pouvoir dire que dans mon cœur et dans mon esprit, je savais que j’étais vraiment une fille."

Puis elle a demandé aux enfants : "Est-ce que certaines filles peuvent avoir les cheveux courts ? Et certains garçons avoir les cheveux longs ?"

"N’importe qui peut être n’importe comment", a répondu une petite fille.

L’article précise que McBride a fait son coming-out de transgenre après avoir terminé un mandat de président des étudiants de l’American University. Il a déclaré qu’il voulait plaider en faveur de la tolérance à l’occasion d’une journée  nationale de lecture dirigée par la National Education Association.

"Pour les jeunes, il est très facile d’être gentil et respectueux, a dit S. McBride. "Les jeunes LGBTQ sont leurs camarades de classe, leurs amis. Ils sont peut-être eux-mêmes LGBTQ. Donc, c’est tout à fait logique. Personne n’est jamais trop jeune pour apprendre à être gentil."

Eskelsen García a déclaré qu’il était nécessaire de défendre les personnes LGBTQ parce que l’administration Trump ne leur accordait plus de protections spéciales.

"Nous avons assisté à une régression complète de la protection des étudiants, en particulier des étudiants transgenres", a-t-elle déclaré. "L’administration Trump a été ouvertement hostile, que vous soyez ou non un soldat transgenre ou un petit garçon ou une petite fille transgenres. Il est plus important que jamais de nous exprimer."

En février 2017, l’administration Trump a mis au rebut la politique de l’ancien président Barack Obama fondée sur l’idéologie du genre. Cette politique exigeait des responsables d’écoles qu’ils valident les déclarations des enfants qui disaient avoir l’"identité sexuelle" du sexe opposé. En conséquence, les écoles ont été forcées d’admettre que les enfants partagent les WC, les vestiaires et les équipes sportives avec des enfants du sexe opposé qui se prétendaient transgenres.

[…]

"Il est important de mettre en avant les livres qui disent aux enfants de couleur ou d’identité sexuelle différente qu’ils appartiennent au monde et que le monde leur appartient."

La Fondation du Conseil des droits de l’homme (HRC) déclare : "Notre programme Welcoming Schools est le principal programme de perfectionnement professionnel du pays qui offre une formation et du matériel pédagogique aux enseignants du primaire afin d’accueillir des familles diverses, de créer des écoles LGBTQ et des écoles qui tiennent compte du genre, de prévenir les préjugés et de soutenir les élèves transgenres et non binaires."

L’enseignant de la maternelle Ashlawn est Jaim Foster, un homme gay qui milite pour les causes LGBTQ. Selon le Post, il a déclaré que bien que le district scolaire d’Arlington n’ait pas de programme spécifique pour enseigner aux jeunes enfants l’idéologie du genre, il parle des expériences de sa propre vie et fournit pour sa classe de maternelle des livres tels que Heather a deux mamans et Mon garçon princesse.

"Nous parlons tout le temps, d’une manière ou d’une autre, du fait d’accepter les familles et les différences ", dit-il.

Source : NEA President, Trans Advocate Push Gender Ideology on Kindergartners - Breitbart

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Voir aussi cet article sur le carnaval de Hambourg :

Il faut des costumes qui « respectent les cultures » et n’entretiennent pas les clichés, donc il est interdit aux enfants de se déguiser en Indiens (cliché colonial non conforme à la réalité).

Il est déconseillé aussi aux filles de se déguiser en princesses et aux garçons de se déguiser en pirates.

Par contre, pour les filles déguisées en pirates et les garçons déguisés en sirènes, c’est d’accord.

Article entier : Hamburger Kita lässt nur „kultursensible“ Kostüme zu - Junge Freiheit

 

5 commentaires

  1. Posté par Vautrin le

    Il faut combattre ces perversions avec vigueur ! Je termine la traduction de l’article de Lisa Littman : “Rapid-onset gender dysphoria in adolescents and young adults: A study of parental reports” (article évoqué déjà sur LesObservateurs.ch), étude très fouillée sur la dysphorie du genre. C’est un travail sérieux, et on apprend des choses terrifiantes, qui confortent mon hypothèse d’une pathologie psychique bien entendu déniée par les pro-généristes (qui en sont peut-être bien eux-mêmes atteints).

  2. Posté par miranda le

    Pauvres enfants devenus “un champ d’expérimentation”. Alors que cette période capitale de l’enfance devrait être préservée de ces folies parce que l’enfant a besoin d’images stables pour sa construction. Ces nouveautés que sont ” les genres ne peuvent être digérées” qu’après l’adolescence.
    Souvenons d’une autre époque, celle de l’expérimentation de la méthode globale qui a produit tant de jeunes illétrés. Il suffit de le constater dans les échanges sur les réseaux sociaux

    Nous sommes à une époque où enfance et jeunesse sont sacrifiées dans le but d’en faire des
    êtres dociles, sans réaction face à l’adversité. Ils n’auront même pas la “force de dire cette parole qui signifie la soumission : “vous n’aurez pas ma haine”, ils resteront simplement silencieux ou amorphes.
    PARENTS si vous ne vous réveillez pas, il sera bientôt trop tard.

  3. Posté par meulien le

    la connerie n’a pas de limites

  4. Posté par Michel Vasionchi le

    Ca rappelle ,les enfants de mes voisins , qui en rentrant de l’école anxieux ,demandent à leurs parents , Papa, Maman (les vrais ,ce n’est pas parents 1 parent 2) …..pourquoi la Maitresse s’acharne à nous dire que les filles et les garçons ,c’est pareil …. alors que toute la classe sait que ce n’est pas vrai…..!

  5. Posté par Antoine le

    La question pour savoir si on est une fille ou un garçon :
    “Est-ce que certaines filles peuvent avoir les cheveux courts ? Et certains garçons avoir les cheveux longs ?”
    Les fous sont à l’œuvre :
    ”La présidente du plus grand syndicat d’enseignants des Etats-Unis et un homme qui se considère comme une femme ont fait équipe, la semaine dernière, pour enseigner l’idéologie transgenre à une classe de maternelle d’Arlington, en Virginie.”
    C’est super tendancieux cela devrait être INTERDIT !
    A cet âge-là, cela s’appelle de la MANIPULATION !!

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