Le Figaro, 28.02.2018
La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a condamné aujourd'hui le Royaume-Uni à propos d'un interrogatoire de Sylvie Beghal, la femme de l'islamiste algérien Djamel Beghal, dans un aéroport britannique en 2011, avant que la législation antiterroriste ne soit modifiée.
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[…] Sylvie Beghal, née en 1969, avait été interpellée et interrogée, en l'absence de son avocat, le 4 janvier 2011 à l'aéroport des East Midlands (centre), alors qu'elle venait de rendre visite à Djamel Beghal, alors emprisonné en France pour des infractions terroristes.
A l'époque, la législation antiterroriste britannique permettait aux services de police et d'immigration d'interpeller, fouiller et interroger des passagers dans les ports, aéroports et gares internationales sans autorisation préalable et sans accès obligatoire à un avocat. […]
Sylvie Beghal avait déposé un recours auprès de la CEDH en janvier 2016 […].
Dans le viseur des autorités françaises depuis le milieu des années 1990, Djamel Beghal […] est considéré comme le mentor de Chérif Kouachi et d'Amédy Coulibaly, deux des auteurs des attentats de janvier 2015 à Paris.
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Rappel : « En prison, ce vétéran de la lutte armée djihadiste fait figure de ‘star’. »
En plus elle a gagné 25 000 euros ! Ces juges détournent l’esprit des droits de l’homme , car ceux-ci n’ont pas été conçus pour protéger les criminels contre un état qui protège ses citoyens, mais pour protéger les innocents d’un état criminel. La déclaration européenne des droits de l’homme date de 1948, juste après la deuxième guerre mondiale, et à l’époque on pensait protéger les gens contre un retour du nazisme. Maintenant les juges les détournent pour protéger les islamo-nazis. Les droits de l’homme sont des droits vagues, et il y a une large marge de manoeuvre pour les interpréter. Ces juges ont chois de les interpréter en faveur des criminels et contre l’état et les citoyens. Il va falloir réformer le système, et enlever ce pouvoir gigantesque qui a été offert sans contrepartie à des juges que personne n’a élus.