Cenator : Le glissement sémantique est arrivé avec un matraquage incessant des médias qui dure depuis cinquante ans. Les méchants Occidentaux capitalistes détruiraient la planète.
Jadis, tout le monde était généralement d’accord de diminuer la pollution afin de protéger la santé de chacun.
Aujourd’hui, toute la jeunesse, et pas qu’elle, est communément acquise à l’idée de « sauver la planète » et réclame plus de taxes, taxes destinées aux fonctionnaires supplémentaires qui s’occuperaient de la « planète ».

En 1988, le GIEC a été créé par le président américain Ronald Reagan et la première ministre britannique Margaret Thatcher. Cela afin d'empêcher qu’une agence de l’ONU, déjà soupçonnée de militantisme écologique, ne mette la main sur la nouvelle structure destinée à l’expertise climatique.
L’ONU, qui était déjà dominée par les pays musulmans, n’a jamais cessé de vouloir détruire notre civilisation occidentale. A l’époque l’URSS était l’ennemi principal de l’Occident ; de nos jours, les pays musulmans cherchent toujours à détruire le monde chrétien et, malheureusement, Poutine est l’allié principal de l’Iran.
Force est de constater que la tentative de Thatcher/Reagan a échoué : la gauche a quand même pris le dessus, et tout s’est aggravé. Depuis la création du GIEC, ceux qui vivent de l’idéologie verte se sont emparés de l’écologie.

Par ailleurs, la civilisation occidentale est à l’agonie à cause de dérives qui se conjuguent pour l’amener à sa perte :
- les idéologies de gauche,
- le putsch antidémocratique des ONG,
- les médias qui enseignent et dictent à la population le nouveau sens du bien et du mal.

Pourtant, après les révélations concernant les horreurs « rouges », les goulags, le génocide au Cambodge, les actions sanglantes des Brigades Rouges, le marxisme était en chute libre en Occident.

La population française était soulagée de constater que la grande foire de mai 68 était terminée et personne n’aurait cru à l’époque qu’un recyclage et une glorification de l’événement serait possible ultérieurement.

L’Occident a complètement baissé sa garde après la chute du communisme à l’Est, mais il y avait des signes antérieurs qui ne trompaient pas, le marxisme culturel n’avait jamais cessé de combattre le monde libre. Les anciens communistes de mai 68 ont formé des écoles comme Adorno, et ont commencé à envahir les facultés avec les idéologies déconstructivistes.

Avec les méthodes du KGB décrites par Bezmenov, une gauche puissante était à l’œuvre pour imposer sournoisement son point de vue.

Deux exemples de recyclages:
- Cohn-Bendit, un exemple typique, a été déchu de son piédestal à la fin de mai 68. Ensuite, il s’est reconverti dans l’écologie et devient député au PE. Un nouveau Karl Marx européiste vert était né !
- Al Gore avait perdu contre G. W. Bush. Il repart en tournée mondiale pour « hystériser » le réchauffement climatique, devient la coqueluche du GIEC et obtient le prix Nobel.

Le terrain était ainsi préparé pour les détraqués à la Greta Thunberg et nous en sommes là. Actuellement, dans nos contrées, pour plaire, pour être élu, pour faire carrière, il faut être « pastèque ».
Chaque élu se doit d’être un expert « climatique » :
- Lisa Mazzone, avec une licence en Lettres,
- Adèle Thorens, avec un master en philosophie, histoire et sciences politiques UNIL,
- la Pianiste, avec une licence socialiste, tout simplement,
- Greta Thunberg, qui n’a même pas fini sa scolarité obligatoire.

Très majoritairement, ces « experts » sont dépourvus de toute expérience de vie, hormis celle d’évoluer dans un milieu culturel marxiste du berceau au tombeau.

La tendance des rouges qui se recyclent en verts s’accélère, ils surfent simplement sur le fait que la Terre peut sembler être dans une phase de réchauffement. De toute façon, même si la Terre était dans une phase de refroidissement, l’hystérie climatique serait du pareil au même. Quant aux Verts-libéraux, ce n’est qu’une version opportuniste, du même tonneau que le PBD, les démocrates chrétiens, etc., qui veulent être élus, leurs convictions variant selon les idéologies à la mode.

Et comme la Gauche a réussi à s’emparer de la quasi-totalité des médias et de l’enseignement,  en Suisse Romande, et que la population est totalement désinformée et a perdu toute capacité de réfléchir par elle-même,… rien ne semble pouvoir freiner ce processus.

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Voici les dernières  décisions que la Pianiste veut imposer au peuple pour lutter contre le « changement climatique »:

Simonetta Sommaruga veut des mesures plus concrètes pour le climat

RTS : Le Journal horaire / 3.03.2019/ à 06:00

La nouvelle ministre de l'Environnement Simonetta Sommaruga appelle à resserrer les rangs contre le changement climatique. La conseillère fédérale socialiste plaide en faveur de mesures visant les trafics routier et aérien ainsi que la place financière.

"Tout d'abord, nous devons cesser de considérer la protection du climat comme quelque chose qui nous coûte uniquement de l'argent", affirme la Bernoise de 58 ans lors d'un entretien à la NZZ am Sonntag. Car "ne rien faire nous coûte aussi", complète la cheffe du Département de l'environnement, des transports, de l'énergie et des communications (DETEC), en fonction depuis janvier, en référence aux dommages causés par les glissements de terrain et les inondations.

Nous devons travailler ensemble sur la politique climatique pour que l'environnement, mais aussi les employés et la population puissent en bénéficier, souligne Simonetta Sommaruga. Il appartient maintenant à la politique de mettre en œuvre des mesures concrètes de protection de l'environnement.

Trop de grosses voitures

En matière de trafic routier, Simonetta Sommaruga vise notamment les tout-terrains. "De nombreuses voitures lourdes et grandes sont vendues en Suisse. De fait, le parc de voitures neuves de notre pays est celui qui émet le plus de CO2 en Europe, soit 134 grammes par kilomètre. La Norvège, bien que nation pétrolière, en est déjà à 84 grammes."

Il nous faut revoir notre stratégie, affirme en substance la ministre. Celle-ci veut abaisser autant que possible les normes d'émission pour les voitures neuves en harmonie avec l'UE et veiller à ce que les réglementations relatives à l'importation de voitures à forte consommation ne soient pas contournées.

Place financière et trafic aérien

La conseillère fédérale soutient également les exigences environnementales pour la place financière. Des exigences que la Commission du Conseil des Etats a d'ailleurs l'intention d'inclure dans le projet de loi sur le CO2. "Il est contradictoire pour nous de poursuivre la protection du climat en Suisse tout en investissant dans le secteur pétrolier, par exemple par le biais de nos fonds de pension et de prêts bancaires", explique la ministre.

La cheffe du DETEC souhaite également que le trafic aérien endosse sa part. "Personne ne comprend pourquoi le trafic aérien est systématiquement exclu du débat sur le climat". Reste à savoir s'il y aura une majorité en faveur d'une taxe sur les billets.

Hommage aux jeunes

Enfin, Simonetta Sommaruga rend hommage dans cet entretien aux jeunes qui manifestent pour la protection du climat. "Je comprends parfaitement les préoccupations et l'impatience de ces jeunes gens. Il s'agit de leur avenir". Elle a reçu mercredi une délégation et a été impressionnée. Ces jeunes de 15 à 22 ans s'engagent avec la tête et le coeur. "Ils sont rebelles, bien informés et forts dans leur argumentation".

ats/kkub

https://www.rts.ch/info/suisse/10260161-simonetta-sommaruga-veut-des-mesures-plus-concretes-pour-le-climat.html

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«Il ne faut pas laisser passer une chance de faire évoluer notre politique climatique», a déclaré samedi Simonetta Sommaruga devant l'assemblée du PS. «Je partage l'impatience des jeunes», a précisé la conseillère fédérale.

«Je ne veux pas qu'on dise dans 40 ans qu'en 2019 nous sommes passés à côté d'une chance de faire évoluer notre politique climatique», a déclaré la conseillère fédérale. Il faut agir maintenant et pas en 2030. «Nous sommes la première génération qui ressent au quotidien» le changement climatique et ses conséquences pénibles et coûteuses.

source:

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RTS, Forum, 3.3.2019 [11 :48]

Comment la Suisse contribue à la protection du climat: débat entre Adèle Thorens et Jacques Bourgeois

« Débat » entre Adèle Thorens, conseillère nationale Verte vaudoise, et Jacques Bourgeois, conseiller national PLR fribourgeois.

Tous deux sont partisans de rajouter des taxes sur les billets d’avion, d’obliger les distributeurs à mentionner, sur les emballages de produits alimentaires importés, un éventuel« transporté par avion », et taxer, taxer taxer…

Jamais nous n’entendrons de ces politicards que :
- la Suisse subit depuis des décennies une immigration insoutenable,
- le réel danger ne provient pas des voyages en avion ou des 4x4,
- le réel danger pour la survie de la Suisse est le remplacement de population en cours, car la grande majorité des nouveaux immigrés sont culturellement incompatibles et inassimilables.