Le Financial Times avertit automatiquement ses journalistes si leurs articles citent trop d’hommes, afin de contraindre ceux-ci à chercher plus de spécialistess femmes à inclure dans leurs articles.
Le journall a constaté que seulement 21% des personnes citées dans le FT étaient des femmes, ce qui a motivé le développement d’un robot qui se base sur les pronoms personnels et sur les prénoms pour voir si une source est un homme ou une femme. Les rédacteurs en chef des sections seront alors avertis s’ils n’en font pas assez pour mettre les femmes en vedette dans leurs articles.
Le journal, qui traite de nombreux domaines à prédominance masculine, souhaite attirer davantage de lectrices, ses enquêtes donnant à penser que les femmes tendent à se détourner des articles qui donnent trop exclusivementla parole à des hommes.
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Une autre expérience avec davantage d’images de femmes pour illustrer les articles a montré que "les femmes sont plus enclines que les hommes à cliquer sur l’image d’une femme et moins enclines qu’eux à cliquer sur une image contenant uniquement des hommes".
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Source : The Guardian, 14 nov. 2018
Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch
En voilà une positive-action qu’elle est bonne. Pourquoi ne pas introduire directement des quotas ?
Bien que Gaël Monfils ait remporté dernièrement un titre ATP, mon logiciel me dit qu’il y a beaucoup trop de Blancs qui gagnent des tournois de tennis. Ainsi, il faudra changer les règles. Dorénavant, chaque point marqué par un joueur noir comptera double. En revanche, on conservera les mêmes règles pour le chronométrage du marathon, sauf si le Blanc Julien Wanders avait le toupet de devenir champion olympique ou du monde en battant tous les Africains.