Cenator:
La Municipalité de Lausanne a commandé une étude de l’Ecole des sciences criminelles. L’étude était menée par Pierre Esseiva, le directeur adjoint, une doctorante, et Frank Zobel, directeur adjoint d’Addiction Suisse.
L’étude recommande de ne plus réprimer la vente de drogue mais de tolérer des zones de micro-deal, de canaliser les dealers, tout en collaborant davantage avec les services sociaux. Selon l’étude, c’est grâce à cela que les fameuses scènes ouvertes de la drogue des années 80-90 ont disparu à Zürich et à Berne. Ce qui ne veut pas dire, souligne le fameux professeur Esseiva, que la Riponne deviendrait une zone de non-droit.
Remarquons que les ribambelles de fonctionnaires qui vivent des multiples conséquences de la vente de drogue doivent vivre en bonne harmonie si tout ce monde veut tirer ses propres marrons du feu.
Toute cette étude,… c’est du pipo qui, une fois de plus, a coûté aux contribuables et n’amènera rien de bon. Lausanne n’a pas à tolérer ce deal, les dealers font déjà pratiquement ce qu’ils veulent. Par exemple, depuis au moins 10 ans, à l’Avenue de France, chaque soir les dealers tiennent les mêmes coins de rues vers l’hôpital Ophtalmique, leurs présences silencieuses est glaçante pour la majorité des gens qui passent vers eux. Même scène devant la BCV, devant l’église des Terreaux, à Bel-Air, etc...
Les week-ends, c’est particulièrement frappant de voir à quel point les trafiquants exotiques dominent les rues, et aucun policier n’est visible à des kilomètres à la ronde.
Comment les dealers ont-ils pu faire accepter ceci par tout le monde ?
La journée, lorsque les policiers patrouillent, les dealers se déplacent. Mais le soir tombant, les policiers disparaissent et les trafiquants commencent à affluer vers le centre ville, depuis Crissier-Renens et aussi, depuis leurs squats.
Les dealers bénéficient du soutien des associations pro-migrants, comme l’association Dutoit, les Maraudes, qui leurs amènent chaque soir le soupé sur leurs lieux de travail. Tous ces clandestins bénéficient des soins gratuits, des aides juridiques gratuites, squattent en toute impunité, etc..., et c'est avec toutes ces contradictions psychédéliques que la police devrait se débrouiller pour faire régner l'ordre !
Que pourrait faire de plus la police ?
Eh bien, il faudrait que les policiers de Lausanne plaisent davantage aux médias et aux politicards.
Nous nous souvenons des critiques adressées à l’Académie de police de Savatan par des universitaires du genre ‘Esseiva’. Il était reproché à cette école de former les policiers à la répression au lieu de les amener à être des bons psychothérapeutes/assistants sociaux.
Nous émettons beaucoup de réserves concernant les affirmations selon lesquelles les scènes ouvertes de la drogue ont été contenues à Zürich et à Berne depuis que la police a cessé de réprimer. Nous sommes persuadés que c’est le contraire qui porte des fruits. Nous sommes également persuadés qu’une ville peut être nettoyée du deal, sans que la population finance des shoutoirs et la distribution d’opiacés à certains consommateurs.
Nous voyons également une manifestation de la décadence de la ville de Lausanne dans la manière dont le deal de rue est toléré et même favorisé par des groupes de gauchistes fanatiques. Par ailleurs, cette tolérance envers le deal est aussi nocive pour tous ceux qui voudraient résister à la consommation des stups mais la présence massive de dealers empêche de prendre le dessus.
Remarquons encore que les policiers, les gens d’Esseiva, la majorité de l’establishment gauchiste, n’habitent plus tellement à Lausanne, et surtout, ils n’habitent pas aux endroits où les dealers dominent la rue chaque soir :
- aucun d’eux ne voudrait voir ses enfants passer devant un mur de dealers le soir,
- aucun d’eux ne voudrait contempler ce spectacle au pied de son immeuble.
****************
Une étude suggère aux autorités lausannoises de gérer le deal de rue, plutôt que de s'épuiser à le combattre avec la police. Elle leur conseille d'instaurer une vraie collaboration entre ses différents services, y compris sociaux.
Commandé au printemps dernier par la direction municipale de la Sécurité, et publié mercredi par la Ville de Lausanne, le document de 27 pages est une étude comparative avec les politiques menées dans les villes de Berne et de Zurich. Il ne s'agit pas d'une évaluation, mais d'une analyse basée sur des interviews de différents responsables des trois villes.
Valse-hésitation décisionnelle
Dans leurs conclusions, Pierre Esseiva, directeur adjoint de l'Ecole des sciences criminelles (ESC), Christine Burkhart, doctorante à l'ESC, et Frank Zobel, directeur adjoint d'Addiction suisse, relèvent que Lausanne hésite entre une certaine tolérance vis-à-vis d'une consommation canalisée de drogue (micro-deals) et une réaction prompte contre tout dérapage, par exemple l'appropriation de l'espace public par des trafiquants.
Il faut que la situation se dégrade vraiment, que les réactions de la population augmentent, que les médias s'y intéressent pour que des mesures urgentes soient annoncées, constatent ces spécialistes.
La police bien seule au front
Et ces mesures passent par des plans d'action revus et corrigés pour la police, corps auquel il est à l'évidence le plus facile de donner des ordres. L'étude montre pourtant à plusieurs reprises les difficultés pour la police de se retrouver en pointe et isolée sur ce dossier.
Elle déplore également que les efforts de la chaîne pénale "restent dans des schémas répressifs traditionnels (...) sans intégrer franchement et de manière équilibrée les autres acteurs dans une approche plus transversale".
Manque de souplesse et de pragmatisme
[...]
Même sujet:
https://www.lematin.ch/vaud-regions/Lausanne-pointee-du-doigt-en-matiere-de-deal-de-rue-/story/28333532
Une étude commandée par la Municipalité compare l’approche de Berne, de Zurich et de la capitale vaudoise. Cette dernière est invitée à inclure davantage ses services sociaux.
Plus... ABO+ Par Romaric Haddou
https://www.24heures.ch/vaud-regions/lausanne-region/lausanne-paie-retard-lutte-deal/story/13081998
*****
Pierre Esseiva :
https://www.24heures.ch/portraits/L-expert-des-stups-descend-de-sa-tour-divoire-en-baskets/story/18248656
*****
Frank Zobel : Il est également favorable à la dépénalisation des drogues, ce qui entraînerait automatiquement une régulation étatique avec une armée de spécialistes pour contrôler les produits et le financement de cette nouvelle usine à gaz incomberait finalement à la collectivité.
Le 12h30, 23.08.2018, : https://www.rts.ch/play/radio/le-12h30/audio/depenalisation-des-drogues-interview-de-frank-zobel-vice-directeur-daddiction-suisse?id=9777358
ah oui? Vraiment , quand il y a la collaboration entre les toxs, dealers et system psychiatrique.
FOU TAI SE !!!!!!
même pas laxiste mais encourageante la politique lausannoise face au deal.
la police…. K D
ce n’est pas que le deal mais c’est de la crime organisée.
faut jamais mettre le pied dans cette cloaque.
l’argent coule a flot et de meme les victimes
Est-ce que Berne est au courrant ?
En tout cas les bobos habitent loin ou ils ont une vie ” ecologique” et avec des “plantes” bio
A eviter à tout prix.
Lorsque l’on voit le faciès diaphane, souriant benêtement , insignifiant, transparent comme un hologramme, niais et naïf de Payot le fayot, et qu’il est censé présider au bien-être de la population lausannoise, les bras m’en tombent.
Je sais pas si je suis le seul mais quand je vois la tête de David Payot j’ai envie de le gifler. Il a vraiment une tête à claques.
Les pauvres! Il y en a qui font 3000.- net par jour et il touchent en plus des sous de l’hospice général. Moi je suis pour tolérance zéro! Ce sont des criminels et pas de procès mais un billet d’avion pour un pays africain qui accepte contre argent de nous en débarrasser. Entre nous beaucoup de ces dealers sont musulmans et les musulmans punissent très fortement les dealers…
Et… bon débarra!! Mare de voir revenir tout les quelques ces dealers avec personne qui ne fait rien sinon la police qui n’est pas aidée politiquement par des politiques qui se font des soirées (certainement) grâce à leur amis dealers. Pas tous heureusement!!
La politique lausannoise répressive ????? Sérieux….. C’est déjà le 1er avril ??!!!! Alors là, y’a bien longtemps que je n’avais rien lu d’aussi marrant !! Enfin, ça serait marrant si c’était du 2e degré….. Une étude à la con qui va coûter une blinde aux cons-tribuables juste pour se foutre de leur gueule, merci Payot & co !!
une solution qui coûte pas cher…que les ateliers protégés du canton fabriquent un million de fausses boulettes de coke et un million de faux packsons d’héroïne….et qu’on les balancent toute l’année sur tous les lieux de deal du canton et dans les planques qui les environnent..
vous allez voir l’ambiance dans la grande famille des dealers-consommateurs…il faut instaurer cette mesure par un Arrêté Cantonal Urgent…des tests à Payerne..Bulle..et même à Berne…ont donnés d’excellents résultats…sans aucun policier..et sans frais..!
le micro deal dans la petite cour en face de la Reithalle…c’est quand même plus de 60 kilos d’héroïne par année…..! comment arrivent tous les matins des centaines de grammes dans cette cour fermée contrôlée par un securitas..? en face des bureaux du ministère public a la Hodlerstrasse..? ..en tout cas ..c’est bien organisé….!
On assiste a une volonté croissante de la part des dirigeants mondiaux,qui consisterai a inclure au PIB des nations tout ce qui crée de la valeur ajoutée,drogue,armes,prostitution etc…quand j’observe cette permissivité souhaitée qui trouvent un écho favorable même chez certains élus a Berne,pourquoi ne pas les prendre dans les filets de leurs propres contradictions et allons y franchement,ouvrons grand les vannes ! Mais que l’on taxe tout les monde sur un pied d’égalité, que le trafiquant d’organe,le banquier fou dans son casino,le tueur a gage crache au bassinet comme les autres.Mais si nous petits prolos on voulais en profiter pour arrondir nos fins de mois en vendant quelques ‘amphétes dans ces “zones dites franches” j’ai de sérieux doute que l’on nous laisse faire…..
Il fait libéraliser la vente, fournir de l’extra pure, le nettoyage se ferait tout seul.
C’est la même chose a Kalvingrad-la-Grise… Suffit de se ballader le soir sur la Plaine de Plainpalais, c’en est truffé! Psss tu cherches toutes les 8m50, Une des raison de mon déménagement en Valais dans un coin perdu!
Ok.mais quand vous avez juste en face de chez vous le dealer qui fait son commerce sans impunité et dans son appartement .les autorités font quoi dans ce cas ???RIEN.merci .
Puree, meme a des milliers de kilometres de distance , la honte de devoir cotoyer de telles malades mentaux -gauchiottes desirant assassiner notre pays .Ces immenses merdes doivent absolument passer par la case bagne a perpet !
Une prise de position à la truelle!
Bémol tout de même, j’habite et je circule quotidiennement dans ces rues de l’hyper-centre encore TENUES par les dealers l’été dernier, la situation s’est depuis nettement améliorée, au moins la journée de 8h00 à 19h00.
Au centre-ville de Lausanne, passage Chauderon, Petit-Rocher, rue du Tunnel, Saint-Laurent les choses se sont bien calmées les dealers nigérians se font plus discrets et passablement moins arrogants…
Reste toutefois Riponne-Nord où depuis des années une poignée de dealers maghrébins squattent à la journée et en toute impunité la “Grenette” ou les arrêts de bus de la Borde Migros/Denner en particulier où on les croise à toute heure.
On peut tout de même déplorer une certaine persistance des principaux acteurs du deal, les mêmes têtes sont en effet à l’oeuvre dans le quartier depuis… DES ANNÉES pour nombre d’entre eux!
Qu’ils continuent la révolution de droite est en marche.
Le cloaque lausannois dans toute sa splendeur, si l’on peut dire. Venez decouvrir Singapour et comment ils gerent ce genre de galeux, vite fait bien fait. On marche sur la tete en Suisse, sont tous complices, alors autant legaliser, sera plus simple. Et tous les dealers pseudos demandeurs d’asiles doivent etre traités/soignés au plus vite, ces pôvres victimes stigmatisées par les horribles fachos de la police locale, une 9mm dans la nuque sera suffisante!
Les dealers africains clandestins ou requérants d’asile prolifèrent pourtant partout en ville, pratiquement leur commerce de mort dans une impunité totale. J’habite Lausanne depuis 15 ans et JAMAIS je n’ai vu un de ces types contrôlé par la police.
C’est tellement gros que ça en devient marrant !
Je vois effectivement une approche plus transversale…. c’est-à-dire d’obliger ces Messieurs Esseiva, Zobel et la doctorante de vivre dans les quartiers où les dealers font leur commerce !
Et oui, ça change tout non ? De passer de la théorie à la pratique….
”Dealers. Une étude juge sèchement la politique lausannoise trop répressive face au deal de rue”.
La politique lausannoise est des plus LAXISTES de Suisse et cela depuis des décennies !
Encore une étude d’un soi-disant ”expert”.
Une petite promenade nocturne (place Chauderon, Rue du Maupas et environ) vous permettrons de vous rendre compte par vous-même de l’ampleur du trafic (majorité de Nigériens) !
”La police bien seule au front”
Les politiciens chouchoutent les dealers et la justice (avec un ”j” minuscule) aux ordres des politicards appliquent les sanctions avec 2 poids et 2 mesures !
Je plains les forces de l’ordre qui font correctement leur boulot et qui sont en face d’un problème majeur ! Une fois arrêté, le dealer est remis en liberté dans les 2 heures … !
Et le con-tribuable continue à payer ses impôts … c’est le tonneau des Danaïdes.
Ça ne pouvait évidemment pas se passer ailleurs qu’à Lôzane-la-gôchiste.
Demandons à Fernand Melgar ce qu’il en pense!