Les organisations d'entraide partenaires réclament plus de transparence
La «SonntagsBlick» a lancé un gros pavé dans la mare des organisations d'entraide dimanche. Elle a en effet révélé que le patron de Texaid, l'entreprise qui récupère les vieux habits des Suisses, touchait un salaire de 550'000 francs par an. Et l'homme a acheté deux villas à Baar (ZG), une commune fiscalement intéressante, pour les démolir et construire du neuf. Le projet est devisé à 10 millions de francs, selon le journal.
Le «Blick» revient lundi sur le sujet et se demande s'il est possible de gagner autant d'argent avec les vieux habits que les Suisses abandonnent dans un but charitable. Hic: Texaid est une société privée qui n'est pas obligée de publier ses comptes annuels. [...]
100 millions de chiffre d'affaires
Il existe pourtant quelques chiffres. Fondée en 1978 et basée dans le canton d'Uri, elle a été créée comme un partenariat entre une entreprise privée allemande et la Croix-Rouge Suisse, Caritas Suisse, Secours suisse d'hiver, Solidar Suisse, Kolping Suisse et EPER. On sait que Texaid génère environ 100 millions de francs de chiffre d'affaires par an et qu'en 2017 elle a versé 7,8 millions de francs aux organisations humanitaires et quelque 40 millions au cours de ces 5 dernières années. Mais le flou règne sur le montant et la répartition de ses bénéfices, souligne le quotidien.
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(cht/nxp)
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https://www.rts.ch/play/tv/outre-zapping/video/texaid-ou-le-business-de-la-charite?id=6361148
@pépé le moko: Si vous nous donnez votre adresse, on veut bien déposer les vieux vêtements devant de chez vous. Vous voulez apparement nous en débarasser gratuitement.
C’est reconnu depuis longtemps : charité bien ordonnée commence par soi-même.
A part ça, c’est écoeurant.
L’INIQUITÉ DU BOLCHEVO-NAZISME INSTITUÉE PAR LES RACAILLONS ROUGES-ROSES-VERTS. C’est TOUTE LA GESTION DES DECHETS QUI DOIT ÊTRE REMISE EN CAUSE et ne pas être systématiquement offerte à DES GAUCHISANTS ESCLAVAGISTES PRIMAIRES sur un plateau d’argent, c’est comme c’est le cas.
Aujourd’hui la gestion de déchets ne vise qu’à maintenir des privilèges indus. Il y a longtemps qu’on devrait avoir des entreprises qui fournissent des machines pour automatiser le traitement intégral de déchet. Les citoyens n’ont pas à servir de main-d’oeuvre subalterne gratuite à des pourceaux propulsés par les politiques, sans être payés, tout en courant le risque de l’accident pour sa pomme avec une infirmité partielle comme c’est arrivé à quelqu’un que je connais et ce sans aucune indemnisation, ni traitement juridique, qui est pourtant bien intégré dans les primes de l’assurance maladie-accident.
Je comprends maintenant pourquoi les déchetteries ne veulent pas qu’on touche aux vêtements, c’est pour les donner au directeur de Taixaid
J’ai l’ impression qu’en Suisse il n’ y a plus que le fric qui compte !
“s’il est possible de gagner autant d’argent avec les vieux habits que les Suisses abandonnent dans un but charitable.”
Visiblement, il est possible de gagner de l’argent avec la revalorisation de déchets. Heureusement que ce genre d’entreprises existe, sinon le gouvernement trouverait encore une excuse pour prélever une taxe de recyclage sur les vêtements au moment de l’achat.
Mais personne n’est obligé de faire recycler ses vieux vêtement par cette entreprise.
Il existe beaucoup d’autres possibilités, mais selon cas, il faut y mettre de l’initiative et de l’effort personnels.
Chacun peut décider pour lui-même:
– vendre/donner à des personnes dans l’entourage
– faire des collectes et organiser des foir’fouilles ou des trocs
– acheminer les vêtements directement aux groupes de personnes qui sont dans le besoin
– jeter les vêtements avec les déchets incinérables (une source d’énergie).
– créer une entreprise de recyclage à l’instar de Texaid et devenir riche, très riche même, légalement.