L'offense publique aux croyances religieuses restera condamnable, en Suisse.
Le Conseil fédéral refuse d'abroger en Suisse le délit de blasphème. Ce serait, selon lui, envoyer un mauvais signal. La jurisprudence permet en outre de ne pas condamner à la légère.
Dans une motion, le conseiller national Beat Flach (PVL/AG) estime anachronique qu'un Etat libéral érige le blasphème en infraction spécifique. Les convictions religieuses ne peuvent pas être critiquées publiquement dans la même mesure que d'autres opinions philosophiques.
Dans son viseur, l'article du code pénal qui punit d'une peine pécuniaire celui qui, publiquement et de façon vile, aura offensé ou bafoué les convictions d'autrui en matière de croyance, en particulier de croyance en Dieu.
Protection assurée
Selon le Vert'libéral, la norme antiraciste permet déjà de protéger les religions contre la haine, la discrimination et le rabaissement ou le dénigrement systématique. Les dispositions du code pénal sur les atteintes à l'honneur et les injures permettent également de se défendre. [...]
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Les religions ne sont que des sectes d’illuminés ayant réussi a imposer leur business-plan, rien d’autre, il n’y a pas pire pour l’humanité et notre terre. Vu leurs resultats respectifs, toutes a interdire! vive la laicité. Foutez-nous la paix et fermez vos clapets, en vaudois dans le texte.
Il est important de souligner que seul l’islam est concerné. Les autres religions se moquent éperdument du délit de blasphème qui a été aboli par la Révolution française. Même les Irlandais l’ont abrogé.