Invité sur le plateau de BFM TV le 19 février, jour d'une mobilisation à Paris contre l'antisémitisme, le journaliste Philippe Val n'a pas fait mystère de son aversion pour le mouvement des Gilets jaunes, qu'il considère comme étant devenu fondamentalement antisémite.
«Mettre un Gilet jaune c'est revêtir la honte», a-t-il déclaré face à Ruth Elkrief, avant de lancer un jugement lapidaire : «C'est fini les Gilets jaunes.» Pour l'ancien directeur de France Inter, qui a également occupé le poste de directeur de la rédaction de Charlie Hebdo, le mouvement ne serait désormais plus constitué que de quelques 50 000 personnes, «qui ne sont pas le peuple [...] d'une extrême droite et d'une extrême gauche qui sont d'accord sur tout, y compris sur l'antisémitisme». Quant aux «justes revendications qui ont donné naissance à ce mouvement», elles auraient totalement «disparu», selon Philippe Val.
«Il y a quelque chose là qu'on ne peut plus accepter de voir. [Les Gilets jaunes] c'est le signe de la honte», a encore martelé celui qui a commencé sa carrière en tant que chansonnier. Dénonçant pêle-mêle l'affaire Finkielkraut, les quenelles visibles dans les manifestations ou encore les attaques contre les juifs, Philippe Val a ordonné aux Gilets jaunes de nommer des représentants, qui seraient responsables du mouvement. «On ne peut plus dire : "On a pas de représentant, on est un mouvement libre." Non. Il faut des représentants clairs et nets pour les revendications.» Appelant les manifestants à «trouver un autre signe de ralliement», il a conclu son intervention comme il l'avait commencée : «Le Gilet jaune, c'est le gilet de la honte.»
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Extrait de: Source et auteur
Plus le temps passe, plus je suis content de n’être pas tombé dans le piège “je suis Charlie”.
Ce qu’oublie de dire l’énergumène Vals, c’est que le mouvement a été récupéré par l’extrême gauche dont Charlie est un des piliers; on y trouve des zadistes, blackblocks, “antifas”, et bien entendu, puisque la gauche ultra est acoquinée avec eux, des salafistes judéophobes et probablement djihadistes. Alors le Vals ferait mieux de balayer devant sa porte, ce salaud !
Moi, je suis Charlie… Maurras !
Je suis entièrement d’accord avec lui : pour avancer ce mouvement aurait dû avoir des revendications simples, touchant réellement les gens en souffrance avec des leaders sélectionnés pour les défendre vers les représentants de la république mais pas des leaders extrémistes qui ne désirent que le chaos et l’anarchie. Au départ les revendications avaient un sens : plus maintenant et on voit de tout et du n’importe quoi.
Plus la caste des parasites “bien-pensants” sentira ses privilèges menacés et plus elle deviendra agressive…