[…] Entre 1988 et 2018, le nombre de prisonniers a explosé: + 50%. Un sur quatre est Suisse, 31% sont des étrangers domiciliés dans notre pays et la plus grande communauté, celle qui augmente le plus aussi, est celle des étrangers qui ne vivent pas en Suisse. […]
[…] Parallèlement, les établissements pénitentiaires sont un tiers moins nombreux, mais ils sont devenus plus grands.
[…]
Article entier : ATS/20 minutes
Voir aussi :
Suisse: L'occupation des prisons a légèrement diminué
Vaud: «La prison suisse, c'est le paradis, comme un hôtel»
« I really enjoyed the week » (voir fin de l’article)
C’est une grosse blague à la Maudet et ses trahisons avec Papyrus, de faire croire que seul 31% sont domiciliés dans notre pays. Combien ont annoncé leur domicile étranger alors qu’ILS AGISSAIENT ICI EN CLANDESTINS, histoire de ne pas aggraver le nombre de leurs délits ? ON NE PEUT PAS ÉCHAPPER A CETTE CONCLUSION: SI LES PRISONNIERS ONT DOUBLÉ, DANS UNE SITUATION NORMALE, C’EST-A-DIRE SANS L’INVASION GRÂCE A L’ACTION FOUDROYANTE DE NOS TRAÎTRES DE L’INTÉRIEUR, CELA SIGNIFIERAIT QUE LA POPULATION SUISSE AIT AUSSI DOUBLE, CE QUI EST LOIN D’ÊTRE LE CAS… Donc l’immigration et la clandestinité qui va avec, sont une cause essentielle de l’accroissement de la criminalité.
Parmi le nombre élevé d’étrangers qui sévissent sur notre territoire et emplissent nos prisons, combien proviennent des pays de l’UE, en ont les papiers et profitent ainsi de la libre circulation ?
Si la proportion est élevée, que penser de la qualité de cette citoyenneté européenne ? L’UE devrait se donner les moyens de mieux résorber cette délinquance sur les territoires des pays qui la composent et ceux-ci devraient eux-mêmes prendre en charge ses malfrats : la libre circulation des délinquants sans compensation des dégâts et charges énormes qu’ils induisent est intolérable !
Si cette délinquance vient de ressortissants de pays extra-européens (un nombre minime se déplace en avion), que l’UE se donne les moyens de bien contrôler ses frontières et de bien surveiller de contrôler les « illégaux ».
La libre circulation n’est viable qu’avec des vrais citoyens qui ont à cœur de se comporter comme tel et non de louvoyer avec les lois pour satisfaire des intérêts exclusivement personnels.
Selon la pianiste, les populations carcérales suisses et étrangères seraient représentées de façon équivalente. Le seul vrai problème pour Dame Pipi, est que le crime et la violence sont une affaire d’hommes. Avec un tel esprit et compte tenu du nombre de gauchistes, les étudiants en psychiatrie ont tous un avenir assuré.
On ne nous dit pas combien cette “richesse” coûte à la Suisse. Et va coûter car il faudra ouvrir de nouvelles prisons pusqu’elles sont surchargées.