C’est bien connu, le racisme anti-Blanc n’existe pas car seuls les Blancs sont racistes ; toutes les autres races – bien que celles-ci n’existent point (n’est-ce pas !) – seraient forcément, naturellement, évidemment et obligatoirement incapables d’une telle opinion criminelle.
Patatras, la preuve du contraire par l’Algérie et son concours de Miss Algérie 2019 : depuis sa victoire, Khadidja Benhamou n’en finit plus d’essuyer insultes et discriminations à cause de la couleur de sa peau un peu trop foncée pour les autochtones : native d’une région du sud du pays, l’Adrar, elle a également les cheveux crépus ; en tout cas, bien davantage que les autres candidates.
Redha Menassel, journaliste de la radio Alger chaîne 3, raconte ainsi que « certains commentaires, qui suggéraient de mettre la Miss dans une machine à laver pour la blanchir, étaient révoltants. Mais ce n’est que »
Et d’ajouter : « Il faut que l’on arrive à ce que les Algériens acceptent la différence. »
De même, Rym Amari, élue, elle « Miss Algérie en 2013 », avait alors pour beaucoup de ses compatriotes une beauté « trop européenne » ! C’est ballot !
Autre témoignage encore, celui d’Imène Shetae qui a lancé une chaîne YouTube en 2013 pour présenter tutoriels de maquillage et astuces pour dissimuler ses cheveux (elle apparaît voilée) : « Le cyberharcèlement et le body shaming sont pris à la légère dans notre société, ils sont même normalisés alors que ça ne devrait pas. »
La lutte contre la discrimination raciale n’est donc pas le monopole des seuls Blancs, on pouvait s’en douter !
Que pourrait la France pour venir en aide à ces Algériennes en détresse ? Peut-être leur faire don de notre secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes Marlène Shiappa, de la journaliste Caroline Fourest et, pourquoi pas ! de quelques Femens ?
Comme dit dans le très pertinent film Le Père Noël est une ordure : « Quand on peut faire plaisir et que ça débarrasse… »
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Extrait de: Source et auteur
De toute façon, les Algériens sont racistes vis-à-vis des Noirs: ce sont leurs anciens esclaves! Ils sont même un terme péjoratif, “baboï”, pour les désigner (un peu le genre “bougn…” chez nous vis-à-vis des Algériens)