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Les « fréquent flyers », nantis de leurs cartes privilèges, sont désormais fondés à enfiler leurs gilets de rebelles dans les avions (fournis gracieusement à bord).
Car faire le coup de poing avec le personnel navigant, peut donc rapporter un « billet prime » en jet privé.
Il fallait y penser et là, nos amis allemands viennent de franchir le mur que l’on croyait demeurer français : notre fameux « mur des cons… »
Là on se fout de nous, mais pas totalement. Certains parlementaires soutenus par des journalistes ont ont largué Swissair à Lufthansa sans discussions, juste pour pouvoir continuer d’utiliser les “miles” gelés par cette passassions de pouvoir. Et ces “miles” ce sont les cadeaux habituels des gentilles compagnies à leur clients très consommateurs. Dans ce cas, à l’évidence, vu le coût exorbitant, des politicards aux commandes des expulsions touchent ces petits cadeaux pour pouvoir faire un jour un beau voyage autour du monde, en famille ou en couple homo… puisque ce c’est leur nouvelle marotte pas du tout désintéressée, histoire d’éponger ces miles qui sont nettement plus lucratifs que les points proposés par les grandes cooopératives, surtout lorsqu’ils sont payés de notre poche. Un peu à l’image de Billag-Seraf qui doit aussi produire passablement de “miles” pour ces chers journalistes qui ne doivent pas manquer de se balader un peu trop pour pas grand chose…
Il faut les cogner, leur faire subir une intraveineuse de soporifiques et les foutre dans un vol de ligne ordinaire, menottés et bâillonnés.
C’est tout, je ne vois pas pourquoi ces nuisibles auraient droit à un traitement préférentiel.
Comme s’il n’y avait pas des millions d’illégaux à expulser dans des avions charter pleins, à déposer sur une île déserte! On peut aussi leur réserver le traitement qu’on doit donner aux envahisseurs mahométans, et qui est le traitement que les mahométans promettent aux chrétiens.
Les « fréquent flyers », nantis de leurs cartes privilèges, sont désormais fondés à enfiler leurs gilets de rebelles dans les avions (fournis gracieusement à bord).
Car faire le coup de poing avec le personnel navigant, peut donc rapporter un « billet prime » en jet privé.
Il fallait y penser, et là nos amis allemands viennent de franchir le mur que l’on croyait demeurer français : notre fameux « mur des cons… »
Ce sera toujours moins couteux que de devoir les garder. Avec les avancées spectaculaires en matière des droits de l’Homme, les coûts sont inversement proportionnels aux progrès accomplis.
N’y a-t-il donc pas de soute dans les avions de Lufthansa ?
On y met bien des animaux.
J’en pense qu’un puissant somnifère administré juste avant d’embarquer dans un avion cargo aurait parfaitement fait l’affaire. Dépenser autant d’argent et monopoliser autant d’accompagnants pour arriver à expulser deux faux réfugiés est une honte.
Malgré un coût exorbitant, ce devrait être amorti en 2 ou 3 ans, vu ce qui est consenti à ces parasites.
Ceci dit, pourquoi en est-on réduit à ces dispositions onéreuses alors qu’il suffit de ligoter le quidam et lui réserver un siège dans la dernière allée du fond d’un vol commercial, avec ses accompagnants ?
Ah, oui, c’est vrai, ça pourrait heurter quelque conscience lévogyre et droit-de-l-hommiste qui se trouverait à bord et réclamerait qu’on débarque l’expulsable.
Un tranquillisant aurait coûté moins cher.
Est-ce le fils d’un diplomate ou d’un ministre qui a du bénéficié d’un tel “privilège”? N’importe quoi. Le menotter et lui donner des somnifères à haute dose et le déposer “en douane” encore somnolant aurait coûté 50 fois moins cher.
BIZARRE AUTANT QU’ETRANGE.
A moins qu’on ne nous cache qu’il y avait d’autres expulsés dans le même avion. Ou bien que le vol du retour a été rentabilisé en accueillant d’autres passagers.
Les allemands qui sont rigoureux dans ce qu’ils font, pourraient dépenser des sommes phénoménales pour deux invidus seulement? Il y a de l’info cachée par les allemands.
Pourquoi? Parce que lorsque l’on parle d’expulsion “la population encore trop importante des bisounours immigrationistes” aurait crier au scandale.
Bravo, les contribuables , monsieur madame tout le monde, paient sûrement pas les socialos et les écolos