Le nombre de résidents vaudois à avoir demandé la nationalité helvétique est passé de 6061 en 2017 à près de 6500 cette année.
Ces 6500 personnes ont déposé leur demande sous le régime de l'ancien droit en 2016 ou 2017, a indiqué Frédéric Rouyard, porte-parole du Département de l'économie et du sport. Ce chiffre ne comprend pas les naturalisations fédérales facilitées qui comptent pour un tiers environ, a-t-il précisé.
En 2016, sachant qu'un durcissement de la loi fédérale, voté en 2014, allait intervenir, il y a eu jusqu'à 7300 demandes, contre 4100 l'année précédente. Le boom s'est poursuivi les années suivantes. Vaud et Genève, notamment ont fortement encouragé les étrangers intéressés à faire les démarches pour obtenir un passeport à croix blanche sous l'ancien droit.
3028 dossiers en 2018
Pour l'heure, dans le canton, personne n'est encore devenu suisse sous le régime de la loi sur la nationalité entrée en vigueur le 1er janvier 2018. Le nombre de dossiers déposé jusqu'au 20 décembre s'est monté à 3028, sachant qu'un dossier peut contenir plusieurs demandes. Ils seront examinés sous l'angle du nouveau droit.
Ce dernier prévoit notamment que, si la durée exigée de séjour en Suisse passe de douze à dix ans, les candidats doivent être titulaires d'un permis C et attester de connaissances d'une langue nationale, non seulement à l'oral, mais aussi à l'écrit. Être à l'aide sociale ou avoir des arriérés d'impôts constitue un obstacle à la naturalisation.
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Par le passé soit avant les super-nationalistes-multiculturalistes-mondialistes, on liait les droits à des devoirs, ce qui est logique, moral et juste. On considérait que le citoyen gagnait ses droits, comme le droit de voter, de ne pas être expulsé, de prendre part aux processus des décisions politiques, de bénéficier de la préférence nationale et d’une bonne sécurité, grâce à l’accomplissement de ses devoirs comme payer ses impôts ou la circonscription pour prendre part en tant que soldat de milice à la défense de son pays. Dans les soit-disantes démocraties modernes et les états providence, la priorité est devenue aux droits, au détriment des devoirs et les naturalisations augmentent et augmentent. Que toute citoyenneté implique avant tout de s’acquitter de ses devoirs, plutôt que de bénéficier de droits, s’est perdue dans le socialo-gauchisme éducationnel introduit dans l’enseignement publique. La citoyenneté, même la naturalisation, ne sont plus perçues comme quelque chose pour laquelle on doit faire des efforts, ni que l’on doit mériter et encore moins comme une responsabilité et des devoirs à assumer. La nationalisation n’est pas qu’une déclaration d’intention de vivre dans une communauté et d’en profiter. Une naissance en Suisse ne fait pas un Suisse. On devient un vrai Suisse qui aime sa Patrie et les siens premièrement par notre histoire et notre culture et deuxièmement par le sang et la terre de nos aïeux. Nos autorités n’ont-elles pas oublié qu’être suisse cela s’hérite de ses parents, se mérite, demande des efforts d’assimilation et comprend aussi des devoirs, pas que des droits?
En 10 ans c’est quand même 65’000 sauvageons à 99 % inintégrables, mais surtout tributaires de l’aide sociale, donc des hausses d’impôts et de taxes qui vont avec. Sans compter le réchauffement… et le CO2 généré par ces imposteurs et le ramassis d’imbéciles politiques qui leur servent la soupe tout en se servant au passage.