Publié le 18 décembre 2018 - par Gérard Brazon
Je te hais, la gauche, et tu le sais bien ! Je te déteste depuis que j’ai réalisé que tu étais une menteuse ramenée dans les bagages de la République !
Tu as tué tellement de gens sur les barricades, y compris ceux qui croyaient en toi et qui sont morts pour toi, pour te défendre, te soutenir, te porter, te mettre en avant sur l’estrade de la place publique ! Tu n’es qu’une bourgeoise au fond ! Bien grosse, bien grasse, bien nourrie.
Les bourgeois de gauche sont comme les cochons, plus ils deviennent vieux, plus ils deviennent bêtes et plus ils deviennent cons ! Les pires sont ces jeunes devenus vieux avant l’âge, les lycéens, les étudiants gavés de la légende de Mai 68, de littérature pour étudiants au ventre plein qui ne connaissent la misère qu’à travers Victor Hugo, Balzac, Zola et les héros de leurs romans ! Quand ils sont tout neufs, qu’ils sortent de l’œuf, du cocon, tous les jeunes blancs-becs prennent les vieux mecs pour des cons, chantait le grand Brassens !
Les mêmes qui, par ailleurs, s’alarment sur la pomme ou l’orange qui ne serait pas bio, la patate ou le poireau venant d’Espagne, les OGM venus des USA, tout en se repassant la dernière vidéo de leurs exploits destructeurs de poubelles et de voitures sur le smartphone acheté par leurs parents et fabriqué par les esclaves de Chine ou d’ailleurs ! Qu’importe la pollution et les fumées toxiques, c’est la révolution, n’est-ce pas ! C’est le drapeau de Che Guevara qu’ils brandissent, ce tueur de mômes de leur âge à Cuba, dans les années cinquante ! Ce n’est pas sur leurs professeurs gauchistes qu’il faut compter pour qu’ils le sachent ! Eux préfèrent dénoncer la « répression policière » qui fait mettre des voyous, des pilleurs, des casseurs, des incendiaires à genoux !
Le temps ne fait rien à l’affaire, quand on est con, on est con ! Qu’on ait vingt ans, qu’on soit grand-père ! Je m’inquiète souvent, tout comme Baudelaire, de l’ombre de la bêtise qui pourrait planer sur moi !
Je te méprise, gauche infâme, de laisser ces mômes croire en toi !
À chaque génération, tu les rends plus idiots avec tes sbires gauchistes ! Tu leur fais imaginer qu’ils possèdent la vérité et tu les laisses partir dans les rues à hurler leurs fadaises de révolutionnaires de salon en cassant tout, y compris leurs écoles, leurs collèges, leurs lycées et leurs facultés, tous ces lieux du savoir, enfin, ce qu’ils devraient être ! Ce n’est pas grave, c’est gratuit, c’est l’État qui va payer, ce sont les contribuables, leurs parents finalement, en fait ceux qui paient des impôts ! Tu es cette gauche qui pousse l’âne, « tous derrière et lui devant », et qui fait chaque année de plus en plus d’incultes !
Elle est à toi cette chanson, toi la gauche qui, sans façon, as donné quatre bouts de bois pour tout brûler sans foi ni loi ! Toi qui as donné le feu quand la France et tous les vrais enseignants, tous les gens bien intentionnés, avaient tout donné pour étudier. Toi la gauche, quand tu mourras, quand l’Histoire t’emportera, qu’elle t’emmène au fond d’un trou, chez Lucifer, en enfer !
La bourgeoisie de gauche est donneuse de leçons, fournisseuse d’idées fausses clés en main, elle « murielrobinise » tout et pourtant, tu as tué combien de tes adeptes au nom de la République depuis que celle-ci existe et justifie à chaque fois tes crimes ?
De la Révolution de 1793 à la Vendée jusqu’à aujourd’hui sous les gaz et les jets d’eau ! Combien de misérables as-tu fait fusiller par ta Garde nationale lors des grèves de la misère, au nom de la République ! (SOURCE) + (SOURCE) + (SOURCE)
Ce n’est pas la France que tu défendais, mais bien les copains à bord. « Tu as navigué en père peinard, sur la grand-mare des votants, en gratifiant les copains d’abord ! »
Combien de ces Français qui confondent encore humanisme et socialisme ?
Combien faudra-t-il encore de morts pour qu’enfin les yeux s’ouvrent et voient la réalité des dégâts que le socialisme a commis ! Combien de ces personnes, si généreuses souvent, croient encore par inculture historique à tes discours !
Combien, par ignorance assurément, savent qui tu es, toi, la bourgeoisie de gauche ! Cette volaille bien grasse, vivant dans les beaux quartiers de Paris et de Neuilly-sur-Seine, voire dans les quartiers bobos, et qui, en chœur, récite les valeurs républicaines comme un mantra, décline les sempiternels couplets compassionnels, allume par centaines des bougies, dépose des centaines de fleurs et puis, séchant ses petites larmes de trouillarde hypocrite, passe à autre chose dans l’heure suivante, sans même avoir nommé les vrais responsables des massacres au nom du « padamalgame » !
Petits cons d’la dernière averse, vieux cons des neiges d’antan, vous êtes si nombreux encore à croire à cette bourgeoisie gauchiste de nantis, au point d’être allés voter pour un jeune con plus malin que les autres !
Alors de grâce, Mesdames et Messieurs les lecteurs, si le temps ne fait rien à l’affaire, qu’on ait vingt ans, qu’on soit grand-père, faites mentir Georges Brassens qui serait sans doute bien étonné de cette situation et, qui sait, là où il est, descendrait nous voir et prendrait sa guitare pour nous composer autour du feu, sur un rond-point, une ode aux Gilets jaunes !
source: https://ripostelaique.com/gauche-bien-pensante-gauche-lache-et-menteuse-je-te-hais.html
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