Cenator : Il est révoltant qu’aucune statistique ne soit mise à la disposition de la population suisse au sujet des les coûts que les immigrants lui infligent alors que son establishment l'oblige à les entretenir. Nous pouvons cependant observer jour après jour les nombreux migrants qui flânent dans les centres-villes ou les magasins durant les heures de travail.

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Le Conseil pour les relations américano-islamiques (CAIR) qualifie de « cruelle et contre-productive » la proposition de Trump de « restreindre l’octroi de Green Cards pour les bénéficiaires de l’aide publique ».

Le projet d’amendement a été publié le 10 octobre 2018 au registre officiel pour consultation et devrait entrer en vigueur dans les 60 jours.

Le 25 septembre, le CAIR s’est joint au Centre pour la loi et la politique sociale (CLASP) et au Centre juridique national sur l’immigration (NILC), qui co-président la campagne Protecting Immigrant Families, Advancing our Future (PIF) et à plus de 1100 autres organisations dans une déclaration publique s’opposant fermement à ce projet et exhortant « l’administration à retirer cette proposition dangereuse et à travailler avec nous pour bâtir des politiques qui soutiennent les immigrants en tant que membres productifs, sains et efficaces des familles et des communautés américaines ».

La politique d’immigration actuelle ne considère comme bénéficiaires de l’aide publique queles immigrants ayant reçu une aide sociale en espèces ou une aide fédérale pour payer des soins de longue durée, ce qui les empêche d’obtenir des cartes vertes et des visas. La nouvelle règle proposée élargirait cette définition à ceux qui ont déjà bénéficié de programmes comme Medicare, les coupons alimentaires et l’aide au logement ou qui « risquenbnt é tizt ninebt de le devenir ». Le changement toucherait plus de 380 000 personnes.

« En septembre 2015, le Centre d’études sur l’immigration (CIS) a publié une étude qui fera date sur l’immigration et le recours à l’aide sociale, montrant que 51 % des ménages dirigés par des immigrants avaient recours à au moins un programme fédéral d’aide sociale – argent comptant, nourriture, logement ou soins médicaux – comparativement à 30 % des ménages autochtones. » « Le ménage moyen dirigé par un immigrant (légal ou illégal) coûte aux contribuables 6234 $ en prestations fédérales d’aide sociale, soit 41 % de plus que les 4431 $ reçus par le ménage autochtone moyen », selon le CIS.

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A propos d’aide sociale : des immigrants musulmans somaliens ont été pris à voler des millions d’aide sociale au Minnesota pour en envoyer une grande partie aux terroristes Shebab en Somalie.

Les musulmans somaliens installés aux Etats-Unis ont une longue liste de trucs pour profiter indûment des avantages de l’Amérique, mais l’une a été révélée par Fox 9 à Minneapolis dans le cadre d’une enquête qui a révélé que les Somaliens utilisaient un faux système de garderies pour voler l’argent du peuple américain.

Ils sont arrivés aux Etats-Unis sous la présidence de Barack Obama en tant que « réfugiés », mais on a découvert qu’un certain nombre d’immigrants somaliens volaient des centaines de millions de dollars d’aide sociale américaine pour l’envoyer en Afrique dans des valises. Pire encore, une partie de l’argent va servir à financer les différentes armées terroristes islamistes dans ce pays.

En 2015, une femme de Minneapolis a été accusée dans une affaire de fraude portant sur 14 millions de dollars. Mais elle s’est enfuie en Somalie juste avant le procès.

Source en anglais

Traduction libre Cenator pour LesObservateurs.ch

Rappels :
2017 : États-Unis : des dirigeants musulmans poursuivent Trump et son décret
2016 : Importants flux d’argent vers l’Afrique de l’Est : pour les familles ou pour les Shebab ?