Eglise universelle : Un automne romain. Journal sans moi
En octobre 1996, Michel De Jaeghere, est envoyé par son journal « couvrir » la mort de Jean-Paul II, qu’on annonce imminente, et le conclave qui désignera son successeur. Le pape, en fait, ne décédera qu’en 2005. Désœuvré, l’envoyé spécial, aujourd’hui directeur du Figaro-Histoire et des Hors-série du Figaro, arpente la ville éternelle, explore le Vatican, les ruines de la Rome antique, les musées. Il multiplie les rencontres avec vaticanistes, prélats et cardinaux. C’est le récit coloré, érudit et amoureux de cette promenade automnale que nous sommes invités à suivre.
Eglise en France : Prier un automne avec les saints au jour le jour
Directeur du séminaire saint curé d’Ars à Flavigny (21) l’abbé Troadec achève, avec ce livre : Prier un automne avec les saints, une série de dix volumes couvrant toute l’année liturgique et permettant d’avoir, chaque jour de l’année, les textes de la liturgie commentés et enrichis de notes historiques et de propositions de résolutions. L’objectif est de mettre à la disposition de chaque fidèle, chaque jour un texte clair, simple et abordable pour l’aider à progresser vers la sainteté.
Eglise en Marche : Après l’IVG, des femmes témoignent
Responsable du site ivg.net Marie Philippe a écouté depuis dix années des milliers de femmes témoigner de leurs souffrances et de leur détresse face à l’avortement. C’est une partie de ces témoignages qui sont recueillis et analysés dans cet ouvrage : Après l’IVG des femmes témoignent. Ils sont complétés par des expertises de médecins et de psychologues. Un coin du voile se lève sur une réalité douloureuse et cachée que notre société peine à entendre.
Tous ces auteurs seront présents à la fête du livre de Renaissance Catholique le 9 décembre prochain à Villepreux (78).L’article Terres de Mission n°103 : Après l’IVG, des femmes témoignent est apparu en premier sur TVLibertés - 1ère chaîne de réinformation | Nous, c'est vous.
Extrait de: Source et auteur
Il faut arrêter avec ce point de vue unique sur les femmes traumatisées par un IVG. Je connais plusieurs femmes qui en ont subi un (et même une qui a été emmenée chez un “médecin” par son curé à l’époque où c’était interdit, lequel avait eu pitié d’elle après sa 10e grossesse !) et qui vont très, très bien, beaucoup mieux que si elles avaient eu cet enfant non désiré. De plus, je suis fatiguée que l’on n’évoque jamais la responsabilité des pères, ces enfants ne sont pas nés du Saint-Esprit !
Par contre, je connais un enfant qui n’était pas désiré. Je ne l’ai jamais vu heureux.