Suède : la police n’a pas le temps d’enquêter sur les viols (mais elle en a pour réprimer les « crimes de pensée »)

Mikaela Blixt a été victime d’une tentative de viol en pleine rue, mais la police n’a rien fait. Pourtant, la victime savait où habitait l’agresseur et on aurait pu facilement l’identifier.

Le quotidien suédois de centre-droit Expressen voulait interviewer Mme Blixt, mais à condition qu’elle ne mentionne pas que son agresseur était un migrant afghan.

Près d’un Suédois sur trois, hommes et femmes confondus, ne se sent pas en sécurité en Suède, selon un récent sondage.

Curieusement, la police suédoise dispose de ressources suffisantes lorsqu’il s’agit de surveiller une manifestation pacifique ou de réprimer de prétendus crimes de pensée.

Suite : Gatestone Institute

Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch

3 commentaires

  1. Posté par miranda le

    PRES D’UN SUEDOIS SUR TROIS NE SE SENT PAS EN SECURITE DANS SON ENVIRONNEMENT.
    Quand-est-ce qu’on va se réveiller au pays des bisounours. Et surtout sortir de son confort, son individualisme, pour déjà se réunir en tant que membres d’un quartier, évaluer les risques d’agression ou non, et envisager une surveillance, partielle ou permanente.

    Le XIXème sera celui des solidarités ou ne sera pas. Parce que les mondialistes fous ont décidé de nous affaiblir. Jusqu’où et jusqu’à quand? Ils vont nous faire “redécouvrir” à “leur corps défendant” que l’union fait la force. SI ON SE REVEILLE.

  2. Posté par Sergio le

    Suède: Pays gaucho-fémino-islamiste en pleine dérive qui aura longtemps donné des leçons à toute l’Europe mais qu’aucun Européen n’envie.

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