Les journalistes de gauche du service public veulent rester partiaux
La nouvelle directrice de la radio-télévision suisse alémanique sait de quoi elle parle, puisqu’elle a travaillé en Allemagne de l’Est. C’est pourquoi, avant son entrée en fonction, elle a déclaré que les journalistes du service public devaient en priorité donner des informations et se retenir de polémiser. Ces déclarations pleines de bon sens ont naturellement provoqué une tempête de protestations de la part des journalistes de gauche. Espérons toutefois que Madame Nathalie Wappler tiendra bon et que l'exemple qu’elle donne sera un jour suivi par la radio-télévision romande, que sa direction change ou non.
Traduction (Claude Haenggli) : Les journalistes du service public prennent souvent position, font de la morale et montrent clairement, lors de débats politiques, de quel côté penche leur sympathie. Avec pour résultat que la confiance dans les médias officiels diminue et que la polarisation augmente. C’est une évolution que personne ne peut vraiment désirer. Les déclarations de Madame Wappler ont toutefois déclenché une petite tempête. Les protestations sont venues, il faut le dire, exclusivement de journalistes de gauche, qui n’ont encore jamais brillé par leur ouverture d’esprit envers ceux ou celles qui ne pensent pas comme eux.
Claude Haenggli, 16.11.2018
On voit donc curieusement qu’il n’y a personne en Suisse de suffisamment fiable et qu’il faut aller chercher une ex de l’Allemagne de l’Est pour s’immiscer dans la corruption du système. Reste à savoir si c’est pour un noyautage au service de l’Europe ou pour contrer la dictature bolchevique de la SSR qui y a installé son trône depuis au moins 50 ans.
Faut-il rire ou pleurer ou les deux en même temps….devant ce type de mascarade …?