Ce parasite vit en Suisse depuis trente ans et les zélites politico-médiatiques lui trouvent des excuses

Cenator : Selon le journaliste, la chance de la vie de Mehdi aurait été de trouver enfin un travail, après avoir vécu sur le dos des contribuables durant trente ans. A notre avis, la chance des Suisses aurait été que ce genre de spécimen ne mette jamais les pieds sur le sol helvétique.

Arrivé comme clandestin il y a trente ans d’Algérie, il aurait dû être expulsé il y a déjà vingt ans... mais il est inexpulsable faute d’accord de réadmission.

Mais où est passé la diplomatie légendaire de la Suisse ?

Allô Burkhalter, n’aviez-vous pas été payé 450'000 francs par an pour régler en priorité ce genre de problèmes au lieu de courir faire la paix entre Poutine et le gouvernement d’Ukraine?

Allô Simonetta Sommaruga, au lieu d’aller faire des emplettes de faux réfugiés à Bruxelles, n’auriez-vous pas dû plutôt attaquer ce genre de problèmes ?

Mais Mehdi trouve une femme (de nationalité x) qui l’épouse au dernier moment et lui fait un enfant qu’il n’assumera jamais. Car Mehdi, malgré lui, se retrouve en prison dans une affaire de trafic de drogue, dans laquelle il n'y serait pour rien. (C’est ça, il transportait à son insu 0,2 gramme de marijuana !) C’est à cause de cette cruelle et injuste incarcération que le couple se sépare. A sa sortie de prison, il se cache pendant des mois dans les bois (il vivait avec la marmotte qui emballe le chocolat dans le papier d’alu). Et à la 30ème année de son séjour en Suisse, le syndic de Bulle lui trouve du travail. Mais la malchance s’acharne sur Mehdi : le contrôleur CFF lui demande, comme toujours, un billet de transport valable, chose que le pauvre homme ne peut pas présenter, comme d’habitude, et il est incarcéré de nouveau. (Les CFF auraient dû savoir, avec le temps, que Mehdi n’avait jamais de billet.) Mehdi, l’éternelle victime, perd ainsi, par la faute des CFF, son travail tant recherché.

Nous sommes quelque peu optimistes concernant l’avenir de Mehdi, avenir qui s’inscrit résolument en Suisse. Son cas d’école fera jurisprudence pour tous ceux qui ont été si mal accueillis en Suisse. Une fois sorti de prison, un service juridique pour migrants et une armée d’assistants sociaux feront les démarches pour l’obtention d’un permis B humanitaire et Mehdi aura l’assistance, puis, au bout de cinq ans, une rente AVS assortie de logement et de soins gratuits grâce aux PC. Ensuite, pourquoi pas, une naturalisation accompagnée d’un reportage de la totalité des médias romands : « un exemple d’intégration d’un homme contre qui le sort s’est acharnés durant trente ans... ».

La faillite de l’AVS et du système social suisse est assuré avec de telles « chances pour la Suisse » – dont notre pays regorge !

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20Minutes: Il rate la chance de sa vie à cause d’un billet de train

Par Xavier Fernandez

Alors qu'il avait enfin trouvé un job, un homme s'est retrouvé derrière les barreaux pour avoir resquillé.

De nationalité algérienne, Mehdi* vit en Suisse depuis bientôt trente ans. Durant toutes ces années, il a accumulé les galères. Mais, alors qu'il entrevoyait enfin le bout de ce long tunnel, tout est allé de travers.

De confession chrétienne, il a fui son pays et est arrivé en Suisse en tant que clandestin. A l'époque, il n'avait pas 30 ans. Après une dizaine d'années, l'homme a bien failli se faire expulser. Mais, au dernier moment, sa compagne lui a permis d'obtenir une autorisation de séjour en annonçant leur mariage. Une union qui a été célébrée une semaine plus tard. De cette union est né un fils. Selon la mère, «ce dernier a toujours été très proche de son père». Mais il ne l'a pas côtoyé autant qu'il l'aurait souhaité, Mehdi s'étant retrouvé une première fois sous les verrous pour avoir servi de chauffeur dans une affaire de drogue.

Dégringolade

Cet épisode, qui est à l'origine de la séparation des parents, a eu une autre conséquence: «Son permis B lui a été retiré, et il s'est retrouvé sans statut. D'un côté, il ne peut pas être expulsé faute d'accord de renvoi avec l'Algérie, mais, de l'autre, il n'a pas de permis de résidence», explique son ex.

A sa sortie de prison, l'homme s'est caché pendant des mois dans les bois, jusqu'au jour où le syndic de Bulle lui a dégoté un emploi dans son entreprise. Mais Mehdi s'est fait pincer une énième fois sans billet à bord d'un train. Il a donc été incarcéré. Et la peine, qui n'aurait dû durer que quelques jours, a été prolongée pour séjour illégal. Une séquestration qui l'a du coup empêché se présenter à son nouveau travail.

«Le plus absurde, c'est qu'il est en prison à cause de ses dettes. Mais il ne peut pas les rembourser, parce qu'il est en prison. Dès lors, il reste un fardeau pour la société», commente son ex-femme.

*Prénom d'emprunt

Source : 20 minutes

6 commentaires

  1. Posté par Guillaume Tell le

    Moi je trouve qu’on devrait lui offrir le passeport suisse. On n’est vraiment pas gentils nous les suisses!Offrons-lui le passeport ! Je suis sûr qu’Ada Marra, la Sommaruga et compagnie seraient tous d’accord pour lui accorder la nationalité suisse à ce pauvre bougre qui est venu vivre l’enfer en suisse….

  2. Posté par Sergio le

    De ces Mehdi, nous en avons par milliers. Ils sont cultivés par des tribus de politicards et de fonctionnaires haineux et gauchistes, ils sont aussi nuisibles que lui. Ils appauvrissent la nation et contribuent à la baisse du niveau social. Racailles et socialistes, même combat.

  3. Posté par leone le

    “A sa sortie de prison, l’homme s’est caché pendant des mois dans les bois, jusqu’au jour où le syndic de Bulle lui a dégoté un emploi dans son entreprise.”
    Le syndic lui a dégotté un emploi alors qu’il se cachait dans les bois? Donc les syndic savait où il était. Bizarre, bizarre! On ne nous dit pas tout.

  4. Posté par Maurice le

    Fardeau un jour, fardeau toujours…
    Je préfère la marmotte emballant le chocolat : elle, elle travaille même en hiver…

  5. Posté par Bussy le

    Et le couronnement de cette belle carrière de parasite sur le dos du cochon de payeur sera quand Mehdi demandera son admission dans un EMS, à 6 ou 7’000 francs par mois….. n’ayant jamais rien payé ou cotisé de sa vie !
    Et en plus comme il aime que les autres travaillent pour lui, son entrée en EMS se fera tôt…

  6. Posté par Antoine le

    ”Arrivé comme clandestin il y a trente ans d’Algérie, il aurait dû être expulsé il y a déjà vingt ans… mais il est inexpulsable faute d’accord de réadmission.
    Mais où est passé la diplomatie légendaire de la Suisse ?”
    On doit bien avoir un ou des diplomates dans chaque pays, donc ces gens-là sont payés avec NOS impôts pour négocier la réadmission des personnes expulsées de Suisse.
    Si ce n’est pas le cas, il y a un grand coup de balais à faire dans notre corps diplomatiques.
    On peut se poser la question … que font-ils ? Surtout en cas de crise due à l’immigration de masse illégale et forcément au refoulement de tous ces illégaux !
    Il y a du boulot ! Négocier, mais négocier rapidement !

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