GENÈVE Une vaste étude universitaire se penche sur les sans-papiers en voie d'être régularisés.
«On vit toujours dans la crainte; même la sonnerie de la porte fait peur, à cause de la police.» Ainsi témoignait une clandestine brésilienne, il y a 18 mois, alors que le Canton annonçait son opération Papyrus. Fin 2017, l'Uni de Genève a lancé Parchemin, une étude pour connaître les effets de la régularisation sur les sans-papiers. Avant d'en connaître les résultats, dans quatre ans, les chercheurs ont fait un état des lieux actuel: il met en lumière leur détresse psychique.
«Ils sont plus nombreux à souffrir de maladies chroniques, comparé à la population résidente en Suisse, et sont particulièrement atteints dans leur santé mentale, décrypte le docteur Yves Jackson, coresponsable de l'enquête. Leur situation les place dans un stress permanent. Ces gens s'exposent davantage à la dépression.» Ces individus en situation irrégulière jugent aussi leur état de santé moins bon L'économie domestique emploie de nombreux sans-papiers. que les autres habitants. «L'autoévaluation est un excellent indicateur de risques de maladie à terme, souligne le Dr Jackson. Les gens qui pensent tomber malades sont plus susceptibles de le devenir que ceux qui s'estiment en bonne santé.» Enfin, les clandestins, aux revenus limités, renoncent souvent aux soins médicaux. Le responsable du syndicat SIT pour Papyrus n'est pas surpris de ces résultats: «Les exemples sont légion, assure Thierry Horner. Malade, blessé, un sans-papiers ne se soigne pas faute d'argent. Il travaille de moins en moins, se retrouve sans ressources et tombe en dépression. C'est la descente aux enfers »
Source : 20 minutes Lausanne
J’ai compris. Les voitures folles, les camions et les couteaux fous c’était donc cela ? Moi qui pensais stupidement qu’ils étaient nourris, logés, blanchis, qu’ils bénéficiaient de soins gratuits et même de conseillers juridiques. Ce n’était que propagande UDC.
Désolé mais je ne marche pas du tout dans ces déclarations aussi simples ,quand vous vivez dans un pays ,et que vous avez des problèmes ,vous vous battez pour votre pays ,votre patrie ,vos idées ,mais partir est beaucoup plus simple ,car ailleurs le pays qui vous accueille est généreux ,et cela se dit .
En résumé nous avons que des personnes malades ???
Et pour entrer dans un pays ,il est évident que la clandestinité fait peur à cette pauvre dame ,mais il y a des lois et il faut les respecter ?
Comme il y a une grande majorité de musulmans……et qu’on vous dit que l’islam est une maladie mentale…..(tout comme être de gauche d’ailleurs)…il n’est dès lors pas difficile de faire le rapprochement et d’en comprendre la cause !
Les psychologues et psychiatres veulent aussi leur part du gâteau de l’immigration alors ils s’organisent une clientèle ….
ils n’ont qu’a repartir chez eux….pour retyrouver la sante!
À quand une enquête pour évaluer les dégâts psychiques causés aux petits suisses remerciés sans aucune raison, pour leur préférer des étrangers moins chers…. Ou sur les aînés qui ont bossé et rempli les caisses de l’AVS mais qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts et à vivre dignement qui doivent s’exiler au Portugal et quitter leurs familles pour vivre loin des leurs, ou la durée vie des gens aux sociaux, etc etc
La raison est donc tout trouvé pour pardonner le prochain attentat ou massacre au couteau. Les gauchos vont mettre l’acte sur le dos de l’UDC vu que c’est nous qui traumatisons les pauvres migrants, ajouter le caractère fragile de la personne et la boucle logique bobo est bouclée.
Mais oui, bien sûr, il faut tous les régulariser, et régulariser les 1 ou 2 milliards de pauvres que compte la planète et qui pourraient venir suite à l’appel d’air !
A qui la faute? Si je vais vivre clandestinement dans un pays, je m’expose aux mêmes souffrances psychologiques.
À un moment, il s’agit s’assumer ses choix plutôt que toujours faire porter le chapeau aux autres.
L’article est très intéressant, mais achoppe sur un problème fondamental; c’est qu’il n’analyse le problème que sous l’angle humanitaire de la condition du migrant sans papiers.En somme leur situation incertaine est cause de stress (ce qui est plausible) et ce stress cause de graves complications médicales, dont particulièrement des troubles mentaux. Ce que l’article ne développe pas, c’est que ces troubles mentaux ne sont pas seulement le problème personnel du migrant, mais représentent aussi un danger pour la société prise dans son ensemble. Si par exemple les troubles mentaux conduisent le sans-papier à agresser au couteau des citoyens suisses dans la rue, ces derniers sont victimes également alors que personne ne leur a demandé leur avis sur l’opportunité de cette aide humanitaire. De même en cas de commission d’un acte terroriste islamique sous l’influence d’un déséquilibre mental! La politique pénale classique est elle même inefficace, n’ayant été prévue que pour des criminels, plus ou moins en possession de toutes leurs facultés et donc accessibles aux menaces de sanctions. Cela pose le problème de principe de la légitimité d’une politique d’immigration mettant en danger la population autochtone!
J’ en ai les larmes aux yeux. Que c est triste. Et nos retraités et nos chômeurs, vous pensez qu ils dépriment aussi avec leurs maigres revenus?
Et s ils sont si mal ici, il y a pleins de beaux coins tellement mieux il faut pas qu ils hésitent.
Et ces universités gauchistes, une vraie plaie.
J’ ai eu de graves soucis et traumatismes de part mon passé aussi. Et alors ? Je me suis relevé comme beaucoup et j’ ai continué sans rien demander. Abe!