Un homme de 38 ans, Karim*, accusé d’avoir proféré des menaces de mort contre une assistante sociale. Taille modeste, petit gabarit. Cheveux crépus. Il n’a pas d’avocat. Déjà condamné pour des faits identiques, l’an passé, à l’encontre de policiers.
La présidente lit les faits (avec la même jubilation) :
« Vous vous êtes présenté, devant votre assistante sociale, avec votre épouse, vous teniez à ce que celle-ci bénéficie du RSA. Mais pour avoir le RSA, il faut signer un contrat d’insertion, et là, on a du mal à comprendre pourquoi, vous avez décidé que votre épouse ne signerait pas ce contrat. L’assistante sociale vous a expliqué que si elle ne signait pas, le RSA serait suspendu. Et là, vous êtes entré dans une très grande colère […] Vous avez jeté votre gobelet de café contre le mur. Vous avez dit : ‘Je ne veux pas être traité par une gamine !’ On a cherché à vous apaiser. Dans un premier temps, vous vous êtes excusé. Mais vous ne vous êtes pas calmé du tout. Vous avez déclaré : ‘Si elle me supprime le RSA, je la suivrai jusqu’à chez elle, je la buterai ! Je suis fils de moudjahidine.’ »
Source : nouvelobs.com
Via Suavelos.eu
Et dire que ces cons, qui ne respectent aucune de leurs obligations, imaginent avoir des droits dans un pays qui n’est pas le leur. Le seul moyen est l’éjection définitive à grands coups de pied au cul, vers l’Arabie saoudite par exemple. On verrait comment ils seraient accueillis et traités s’ils menaçaient les autorités islamistes de ce royaume.
Même à grand recours de quotas, ce n’est pas gagné par les ultras féministes de “Me To”. Ti veux “refugees welcome” et devenir une moukère ou ti veux t’émanciper ? C’est logique.