Aras Bacho se trouve devant le tribunal: un migrant exemplaire et un "blogueur réfugié" accusé de harcèlement sexuel multiple
Aras Bacho, né en 1998 et travaillant pour HuffPost et Vice, est maintenant accusé de harcèlement sexuel et d'agression sexuelle sur plusieurs femmes et filles. Son procès doit débuter le 23 novembre au tribunal de Lemgo.
Il s'est fait connaître dans les médias en tant que "blogueur réfugié" et était surtout connu pour ses exigences provocatrices à l'égard de son pays d'accueil. Aujourd'hui, il doit comparaître devant le tribunal, on dit qu'il a agressé sexuellement des filles et des femmes à plusieurs reprises, ce qu'il appelle lui-même un "Fake", mais le tribunal le voit différemment.
Pendant longtemps, on a cru qu'il était un personnage inventé, car les exigences qu'il posait à plusieurs reprises à son pays d'accueil semblaient trop impudentes pour être vraies. Pour lui, "non seulement les électeurs de l'AfD devraient quitter le pays, mais l'Allemagne devrait montrer beaucoup plus de gratitude envers les réfugiés. Par exemple en offrant des smartphones gratuits, des prestations sociales pour les personnes qui rentrent chez elles, des panneaux de signalisation et des emballages alimentaires en arabe. Le fait que les réfugiés mentent souvent sur leur âge est compréhensible et la falsification de documents est normale dans les pays arabes."
Le migrant modèle harcèle ses camarades de classe
D'après les informations de la "Junge Freiheit", Aras B. doit répondre du harcèlement sexuel devant les tribunaux. Le jeune homme de 20 ans aurait touché plusieurs femmes et filles dans son ancienne école de Lemgo, l'école professionnelle de Lüttfeld, ainsi que dans le bus scolaire.
Dans le cadre de la procédure, prévue pour le 23 novembre, cinq cas datant de 2017 et un cas datant mars de cette année doivent être traités. Les victimes présumées sont trois camarades de classe de sexe féminin, qui ont été touchées immoralement par Aras B., et il a aussi agressé les autres en montrant des films pornographiques, selon la "Junge Freiheit",.
Le Syrien n'a pas répondu à une autre demande de la "Junge Freiheit", mais son compte sur Twitter et sa page Facebook ont disparu sans plus attendre hier : en 2016, B. avait déclaré sur Twitter que les femmes étaient à blâmer pour les agressions des migrants le soir du nouvel an à Cologne.
Ce réfugié "exemplaire" souvent utilisée par la gauche pour lutter contre le «racisme» estime également que passer des vacances dans le pays que vous avez fui est normal. Il soutient ardemment Merkel et aurait voté pour elle.
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Epochtimes.de / Voice of Europe
Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch
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