“Luxes, fastes et frais mirobolants des potentats genevois : l’image du canton et de la Ville au plus bas”

Communiqué : (UDC-Ville de Genève, 2 novembre 2018)

 

Luxes, fastes et frais mirobolants des potentats genevois : l’image du canton et de la Ville au plus bas

Vos fins de mois sont difficiles ? Pas celles de M. Barazzone : il gagne davantage qu’un Conseiller d’Etat en sa qualité de Conseiller administratif, il cumule un revenu de Conseiller national, mais il fait prendre en charge par la collectivité ses frais de bouche tard dans la nuit, durant des jours fériés ou dans des lieux inhabituels pour la fonction publique, ainsi que des alcools forts ou encore des bouteilles de champagne de prestige !

 

Pour l’UDC-Ville de Genève, cet énorme scandale réduit à néant l’image de notre ville et de notre canton dans toute la Suisse. Rarement un rapport de la Cour des comptes s’est révélé aussi accablant. Après l’image de l’exécutif cantonal genevois ternie par l’affaire Maudet, c’est au tour du Conseil administratif de la Ville de Genève de pâtir des agissements de l’un des siens. Pour la Cour des comptes, sa mission « s’est déroulée dans un climat tendu, et les travaux ont été compliqués par de nombreux freins et oppositions, tels que les refus initiaux d’accès aux données comptables, de procéder à des vérifications d’usage sur le caractère professionnel de certaines dépenses et hors la présence d’un avocat. La Cour a dû rappeler plusieurs fois au Conseil administratif qu’il était tenu par une obligation de renseigner et de collaborer en application de l’article 8 de la loi sur la surveillance de l’État (LSurv). »

 

Egalement désolant le refus du Conseil administratif de mettre en œuvre trois des onze recommandations faites par la Cour de comptes, dont notamment celle visant à instaurer plus de transparence, ce qui « illustre le fait qu’il n’a pas pris pleinement la mesure des dysfonctionnements préoccupants relevés par la Cour. » Enfin, le Ministère public, s’appuyant sur le rapport de la Cour des comptes, pourra vérifier si certains faits sont susceptibles de constituer une ou plusieurs infractions pénales.

 

Pour tous renseignements :

Pierre Scherb, chef de groupe, 078/743 02 34

Eric Bertinat, conseiller municipal, président UDC-Ville de Genève, 076 / 391 25 03

 

5 commentaires

  1. Posté par combattant le

    Combien faudra-t-il encore à cette population Hélvétique lobotomisée par cette gauchiasse,que nos prétendus dirigeants en cols blancs,sont simplement des sinistres individus,sans état d’âme,sans éducations rigoureuses qu’ils auraient certe méritée,quitte à passer par la trique ou le coup de ceinturon.A l’époque de leur enfance,il était certainement le cancre ou la bête noire de la classe.Ils font partie hélas des indésirables dans notre sociètè,gangrénés à l’abu de pouvoir et à faire du fric coûte que coûte !On ne doit surtout pas regretter leur départ soudain d’une scène politique complètement corrompue et pourrie jusqu’au trognon.Mettons leurs le NEZ ROUGE ! mais celui qui ne fait plus RIRE personne.

  2. Posté par Le raisonneur le

    Le PDC fait très fort avec Barazzone qui cumule toutes les tares du politicien véreux : courbettes à Abu Dhabi aux frais des émirs, champagne et taxis aux frais du contribuable genevois et promotion facile de l’Aquarius au détriment des citoyens suisses !
    A côté de lui, Neyrinck fait tout petit couteau, même en soutenant le violeur Tariq Ramadan…

  3. Posté par Dominique Schwander le

    Et voilà Genève république bananière, Maudet en tête! Les prébendes à la française ne suffisent plus à ces élus combinards. Ces autorités genevoises corrompues qui manipulent le peuple genevois ne mènent pas une vie exemplaire sur le plan moral, bien au contraire. A force d’être manipulé, tôt ou tard, le peuple laisse un régime autoritaire puis une dictature être instaurés. Les supporters de cette dictature manipulent à loisir, profitent de la situation, la corruption se généralise et contamine toute la société, de haut en bas. Ils oublient vite que, dès que la classe dominante cesse d’être un symbole des valeurs éthiques, sa chute devient inévitable, même si cela prend beaucoup de temps comme au Venezuela à la Chavez-Maduro. Bientôt à Genève, comme on peut l’observer en Afrique et en Amérique latine, les entrepreneurs et les élus feront l’apologie de la corruption en affirmant que grâce à ce moteur de l’économie, l’économie est florissante et le produit national brut augmente chaque année. Déjà en 1714, dans La fable des abeilles, le Hollandais Bernard Mandeville affirmait que ce sont justement les vices, tels que le mensonge, le goût du luxe ou la vanité qui permettent la prospérité publique: « Quittez donc vos plaintes, mortels insensés! En vain vous cherchez à associer la grandeur d’une Nation avec la probité. Il n’y a que des fous qui puissent se flatter de jouir des agréments et des convenances de la terre, d’être renommés dans la guerre, de vivre bien à son aise et d’être en même temps vertueux. » … « Le vice est aussi nécessaire dans un Etat florissant que la faim est nécessaire pour nous obliger à manger. Il est impossible que la vertu seule rende jamais une Nation célèbre et glorieuse. » Promus dans la caste aux côtés d’oligarques enrichis ou rêvant de le devenir, ces élus et entrepreneurs ne voient plus que, sauf quelques exceptions semblables à eux, la classe moyenne s’appauvrit, le pouvoir d’achat baisse plus que le PIB augmente, les pauvres augmentent, sont prêts à écouter un groupe d’aristocrates de l’esprit communistes et arrivistes et à les soutenir afin de rompre sciemment avec le démocratisme ploutocrate, corrompu et exploiteur.

  4. Posté par Sergio le

    Ils sont comme les clandestins qu’ils protègent, ils profitent un maximum de ces cochons de payeurs qui jour pour jour se lèvent le matin et s’esquintent au boulot. Profiteurs, menteurs, imposteurs, tricheurs, tous autant que vous êtes.

  5. Posté par Elle-en-a-marre le

    Elle-en-marre !!! Pendant ce temps on coupe les annuités du personnel administratif alors que le coût de la vie et des assurances maladie ne cesse d’augmenter, les caisses de retraites sont vides, l’AVS en danger à cause des migrants qui n’ont jamais cotisé !! Pour la 100’000 fois, que font nos politiques ???? Ils se foutent ouvertement de nos gueules, des lois. Rage et désespoir ! C’est tout ce qui nous reste puis qu’à la fin du mois on est pauvre. Eh oui mon commentaire n’est pas tellement analytiste, ni intillegent. Je me sens tellement impuissante! Depuis la naissance des Observateurs, nous sommes, heureusement et merci, au courant de tout ce qu’on tente de nous cacher ou de minimiser, mais “0n” en est toujours au même point ! On râle sur un forum, on se plaint, mais personne pour nous fédérer, nous guider pour agir. Où sont passés les leaders qui pourraient donner un grand coup de pied dans ce foutoit qu’est devenue la Suisse ?? Je vous parle même pas des votations à venir …!

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