La semaine dernière, l'expulsion infructueuse d'une famille a fait la une de l'actualité nationale. 49 expulsions sur 51 ont échoué à ce jour dans la ville de Brandebourg.
Le Tchétchène a été renvoyé, mais le reste de la famille est resté en Allemagne. L'homme s'était retranché avec sa femme et ses deux enfants et était armé d'un couteau. L'homme a menacé de se tuer.
Le Département des étrangers du Brandebourg est visiblement frustré et se plaint d'un système d'expulsion qui ne fonctionne pas. "Notre service des étrangers a même essayé d'organiser deux expulsions vendredi." a déclaré le député Michael Brandt (CDU). Et comme dans la plupart des cas, ces expulsions ont échoué. Dans un cas, la personne concernée n'a pas été retrouvée. Le deuxième cas, celui du retour de la famille dans la Fédération de Russie, a été un échec à Leipzig. (...)
Depuis des années, l’expulsion des étrangers qui doivent quitter le pays et dont les recours légaux sont épuisés pose des problèmes.
"Les prérequis de rapatriement sont si élevés et si complexes que les procédures prolongées risquent davantage d'échouer que d'être exécutées. Sur les 51 tentatives d'expulsion dans la ville de Brandebourg en 2018, 49 ont échoué." Dans la plupart des cas - ce qui n'est pas surprenant - les personnes concernées n'ont pas été retrouvées et ont disparu après le refus, explique un initié.
À l'heure actuelle, 135 personnes vivant dans la seule ville de Brandebourg seraient obligées de quitter le pays, mais elles sont tolérées. Pour 127 d'entre elles, la raison en est très simple : l'expulsion est suspendue en raison du manque de papiers d'identité.
Selon le droit allemand, il n'est pas possible d'être expulsé sans passeport. Souvent un long temps passe avant que de nouveaux documents soient disponibles.
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Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Et les parachute, plus de stock?
La lice et sa compagne de La Fontaine (1621-1695) n’a pas pris une ride.
”Sur les 51 tentatives de ”déportation” (expulsion serait plus judicieux !) dans la ville de Brandebourg en 2018, 49 ont échoué.”
– Les traités internationaux apparemment ne servent à rien ou n’ont pas bien été négociés …
– Il y a du boulot pour tous les diplomates !
– Il n’y a aucune raison que des pays ”civilisés” refusent de réadmettre leurs propres concitoyens. Sinon il faut faire appel à la CEDH ! Pour une fois que cette organisation serve à quelque chose !!
En Suisse, une expulsion est encore plus difficile qu’en Allemagne. Il faut non seulement que l’expulsé soit en possession d’un passeport valable, mais en plus il faut qu’il soit d’accord de partir en général avec un petit pactole. Difficulté supplémentaire, il faut également l’accord du parti socialiste. Lorsque ces éléments sont réunis, un juge est chargé du dossier. La procédure est d’ordinaire longue et couteuse. Souvent, la nationalité Suisse est accordée avant que le processus n’aboutisse.
Vous n’avez pas pensé à un instant à la sulfateuse ? Faut-il demander la permission à mémé Merdkel ? Si vous avez dans cette clientèle de NAZES à expulser,une demande de l’un de ces blaireaux de ce foutre en l’air.ACCEPTEZ et buvez un verre à la santé du POPULISME ! Faudra quand même se presser le popotin,devant la demande GRANDISSANTE DU PEUPLE DE PATRIOTES DE SE DEBARRASSER DE CES DECHETS ENCOMBRANTS ET COÛTEUX pour les NÔTRES !