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Le commissaire européen Pierre Moscovici a traité vendredi de "fasciste" l'eurodéputé italien qui a piétiné ses notes avec sa chaussure, promettant de combattre "ces gens-là" jusqu'à son "dernier souffle".
Pierre Moscovici, invité au journal télévisé romand, a répété le même genre de propos :
Rochebin : L’image du député léguiste qui écrase sa chaussure sur vos notes a fait le tour de l’Europe. Votre première impression, c’était quoi ?
Moscovici : Incrédulité, devant une attitude aussi ridicule, grotesque. Puis, en réfléchissant, je me suis dit que ce n’était pas si anodin que ça : la violence, même symbolique, d’un parlementaire contre une sorte de ministre, il ne faut pas laisser passer. Parce que si on laisse passer, un jour on se réveille, c’est trop tard, le fascisme est là.
Puis Rochebin lui sert sur un plateau l’occasion des réponses attendues :
Rochebin : Vous avez prononcé le mot fascisme. Est ce que ce danger existe, selon vous, en Italie ? (0:41)
Moscovici : Oui, il existe. Je ne dis pas que nous y sommes, mais quand on a cette tendance à insulter ceux qui ne pensent pas comme vous, quand il n’y a plus de bornes, quand on est capable de déclencher des actions, qui sont des actions violentes, on ne s’est pas battu avec ce député mais tout de même, quand on ne respecte plus les institutions, qui elles-mêmes sont des institutions démocratiques (sic !), quand on ne respecte plus les règles, alors, petit à petit, on peut dériver vers une forme de démocratie illibérale, comme en Hongrie ou en Pologne, c’est à dire, on arrive au pouvoir par des urnes et on confisque ce pouvoir, on attaque la liberté de la presse, on attaque l’indépendance de la justice, on attaque l’Union européenne et un jour, oui, on est dans une sorte de fascisme.
https://www.rts.ch/play/tv/lactu-en-video/video/pierre-moscovici–il-y-a-un-risque-de-fascisme-en-italie?id=9945731
Commentaire :
Comment ce député socialiste ose-t-il parler de démocratie à la RTS, alors que la droite est inexistante sur ces ondes ?
Comment ce ministre socialiste du Parlement européen ose-t-il parler de démocratie alors que personne ne l’a élu ?
Comment nos médias en Suisse romande, qui diffusent la propagande de gauche jusqu’à la nausée, chaque jour, sans limite, osent-ils critiquer la Hongrie où la pluralité des médias est une réalité, où des opinions de gauche comme de droite sont exprimées dans la presse, à la TV, à la radio, en toute liberté ?
Souvent, les médias hongrois nous renseignent bien mieux que les médias occidentaux sur ce qui se passe chez nous.
Lorsque les juges, dans des pays comme la Hongrie ou la Pologne, ne sont plus inféodés à la démagogie socialiste-multiculturaliste-nihiliste, mais servent le peuple, la gauche les affuble des sobriquets de “fascistes”, “extrême droite”, etc., qui n’ont rien à voir avec la réalité.
Démocratie illibérale signifie pour les Hongrois une démocratie sans l’idéologie de la gauche – libéral étant pris au sens américain, c’est-à-dire gauchiste.
C’est en jouant sur le double sens du mot que les eurocrates et les médias d’ici créent délibérément la confusion et diabolisent ces pays qui tiennent à leur souveraineté nationale.
Étonnant qu’il n’ait pas balancé sa chaussure dans la tronche de moscovicidose !
Moscovici traite de « fasciste » l’eurodéputé italien qui a piétiné ses notes. Mais l’eurodéputé a été élu lui, Moscovici est un apparatchik parachuté !
Comment a t-il pu devenir commissaire européen celui là? C’est un looser ! mais je pense qu’il est sur une voie de garage comme tous ceux de son espèce, qui se retrouvent dans cette commission européenne trop bien engraissés par nous!”Holà monsieur n’insultez pas les peuples européens par votre suffisance le jour viendra où vous pourriez le payer cher!”
Sur cette photo, avec son index levé, il ne lui reste plus que la petite moustache et une casquette…. Et il ressemblerait alors parfaitement à Staline.
La vérité est dans son nom. Tout le monde se fout de ce que Vichy dit.
Le commissaire politique Moscou-Vichy est lui-même l’archétype du socio-fascisme qui sévit à l’U.E. Ce n’est pas sur ses papiers que le député Italien aurait dû mettre sa chaussure, c’est à son postérieur : vlan et badaboum !
Commissaire Bolchévique, dont les ancêtres partis de Moscou pour coloniser la France, au nom de Lénine Staline etc. et y instaurer la religion du communisme.
Ce sinistre incapable en tout, parasite toute sa vie, aparatchick et lecheur de bottes et/ou babouches, achoix, ne sachant rien créer est l’illustration parfaite de la bureaucratie orwelliene européenne, le Duce, lui a combattu en tant que soldat, a fondé le mouvement fasciste, fait des erreurs, c’est sur, mais il etait droit dans ses bottes jusqu’a la fin, qu’on l’aime ou pas, et dans le futur on se souviendra de lui, tandis que toi, mosco et toute ta clique de morpions, va f…….o! Et comme disait Benito, il vaut mieux vivre 10 ans comme un lion que 100 ans comme un mouton!
Il ne manque pas de souffle le commissaire !
Pour nous prouver son attachement à ce trésor fragile qu’est la démocratie, qu’il organise un référendum européen, non truqué, sur la question des migrants !
Si être fasciste c’est être opposé à la dictature de la mafia mondialo-bolchevique, il faut revoir la définition du dictionnaire et nous allons être nombreux à être fascistes!
Typiquement l’expression immature de l’arrogance socialiste …, si vous ne parlez pas la novlangue de gauche et que vous refusez le modèle économique soviétisé , vous êtes selon la position du curseur sur l’échelle de l’intox verbal ,vous êtes affublez des mots condamnatoires..tel que populiste , fasciste, extrémiste de droite .. malgré ces attaques purement politiciennes, le nombre des opposants à la doctrine économiques socialiste Made in UE, augmente tous les jours un peu plus en Europe
L’incompétent Moscovici , essaie de justifier son salaire …
Il faut lire ou relire Céline
( bagatelle pour un massacre / http://pourlhistoire.com/epub.html ) ,
pour saisir l’imposture !
Du bon côté de l’échiquier règne le camp du bien c’est-à-dire la gauche. Celui qui, n’adhère pas à cette idéologie, est au choix, un patriote, un fasciste, un populiste, un raciste, un imbécile, en un mot comme en cent, un homme ou une femme à abattre.