C’est une demande qui peut paraître étrange mais elle aurait été formulée par le ministre de l’Intérieur marocain Abdelouafi Laftit en visite la semaine dernière en Espagne.
Le responsable marocain aurait proposé à l’Espagne de rapatrier la majorité des mineurs marocains en situation irrégulière à condition que les autorités espagnoles mettent la main à la poche et financent leurs études mais aussi leur formation jusqu’à leur majorité. Cette proposition a été faite à Madrid au ministre de l’Intérieur espagnol Fernando Grande-Marlaska, rapporte Diario de Sevilla.
Les autorités espagnoles auraient déjà sorti la calculatrice pour en évaluer les coûts mais il semble que les dépenses pourraient être plus élevées que prévu, affirme le journal, qui déplore que des accords similaires signés avec le Maroc dans le passé n’aient pas été respectés.
Le Maroc, une société attardée qui ose encore exiger de l'argent aux pays européens pour prendre soin de sa racaille.
En 2007, plusieurs régions espagnoles ont construit des centres pour les mineurs au Maroc mais les autorités marocaines ont rechigné, explique le journal, à reconnaître les mineurs et à retrouver leurs familles au royaume. De plus, beaucoup d’enfants sont partis clandestinement en Espagne sans avoir prévenu leurs parents et n’éprouvent aucune envie de retourner dans leur pays.
Actuellement, quelque 10.000 mineurs Marocains sont pris en charge par les différents centres de protection en Espagne, principalement en Andalousie (40%), Melilla, Madrid, la Catalogue, le Pays Basque et Sebta.
Je pensais que le roi du Maroc était une personne cultivée et très attentive concernant l’éducation de ses concitoyens …
C’est la grande mode, faire payer les autres pour des coûts qui normalement font partie de charges de l’Etat.
L’éducation doit être prioritaire, c’est en principe là qu’on apprend le planning familial et autres méthodes pour LIMITER la démographie !
Il faudrait qu’on nous explique en QUOI, l’Espagne (donc l’Europe) serait responsable de l’éducation de mineurs marocains. Est-ce que ce sont des enfants “adultérins” d’hommes espagnols qui auraient fauté avec des marocaines? L’Espagne aurait “couché” vite fait bien fait avec le Maroc? OOOOOOOH!
IL n’y avait pas à sortir de CALCULETTE pour évaluer le coût de ces formations!
Cette lâcheté espagnole est bien due à son allégeance aux mondialistes qui veulent le mélange de tous dans tous.
En quoi sommes nous responsables de la démographie de ces pays qui ne savent pas DISTRIBUER LA PILLULE A LEURS CITOYENNES? Et qui en plus, n’ont aucun avenir à proposer à ce surplus démographique. Et ils s’étonnent d’avoir de plus en plus de REVOLTES, de “printemps arabes”.L’EUROPE DEVIENDRAIT DONC LA VACHE A LAIT DES BEBES TIERS MONDISTES. La moindre des politesses, serait que le Maroc donne des explications sur ses exigences.
Pourquoi le Maroc ne demande pas que cette éducation et les formations soient payées par la riche ARABIE SAOUDITE? Ah oui, c’est vrai l’Arabie saoudite préfère construire des mosquées par centaines, partout, partout, partout en Europe, alors les moyens lui manquent pour les pays arabes, forcément. L’instruction à la charia, c’est tellement plus préoccupant pour la “conversion” de l’Europe.
Mais des instituts de formation dans les pays “frères dans la foi”? Qu’ils aillent se faire voir ailleurs, dira-t-elle.
Quand on apprend que la prise en charge et la formation d’un “supposé” mineur, ça coûte 50.000 Euros /an , déjà en Europe, tout va bien. Et ils attendent que soient donc créer des instituts de formation au Maroc, aux frais de l’Espagne? C’est sans doute pour cela que la note semble un peu trop élevée.
Un jour les citoyens européens se chargeront eux-mêmes du rapatriement de ces jeunes. On les endort, on les met dans le bateau, on les débarque sur une plage. Retour chez Maman qui n’a pas voulu prendre la pilule. Ou papa qui n’a pas voulu emmitoufler le “petit voyou” avant l’acte procréateur.
SINON arrêtons de manger leurs mandarines, leurs oranges et autres délices du soleil. ET autres végétaux qu’apprécient particulièrement la jeunesse européenne.