Cenator : Accepter l’immigration, c’est accepter à terme le suicide de l’Europe sans résoudre les problèmes des pays de provenance.
Mais la RTS, sous couvert de reportages et de débats, assène sans relâche sa propagande invasionniste. Les émissions procèdent toutes du même esprit, à savoir, « noyer le poisson » et culpabiliser les Suisses qui ne le seraient pas encore suffisamment. La doctrine qu’elle veut faire passer est simple :
1) Il n’y a pas d’autre solution que d’accepter le pacte de l’ONU sur la migration pour réguler l’arrivée des « migrants ».
2a) Le camp du mal, des fascistes, des extrémistes de droite, primitifs, fermés, hostiles au monde actuel, à la mondialisation, à l'ouverture, n’accepte pas cette feuille de route ; ils ont tort sur toute la ligne, l’histoire le prouvera.
2b) Le camp du bien, des humanistes attachés aux valeurs fondamentales, veut se montrer ouvert aux migrants qui sont une richesse pour l'Occident et sa démographie malade. Pour ce camp, la migration est gérable, c’est scientifiquement prouvé. L’establishment actuel de l'UE et les instances internationales se portent garants de l'issue win-win de ces migrations qui ont d'ailleurs tendance à fortement diminuer.
Voici encore une émission de propagande, prétendant faire de l’information, qui illustre le traitement biaisé de ce sujet par les journaleux au service du politiquement correct et de la manipulation du public. Qu'on en juge :
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RTS, Géopolitis, 21.10.2018 : Migrants, l’Europe au désespoir
Avec Vincent Cochetel, envoyé spécial du HCR en Méditerranée
Voir aussi : "L'Europe offre un spectacle pitoyable de manque de solidarité"
Contenu de l'émission :
1. Migrants, l’Europe au désespoir
Cenator : Dès l’introduction, l’émission est ouvertement orientée et partiale :
Comment gérer l’urgence ? L’Europe doit-elle s’inquiéter d’une immigration massive à partir du continent africain ? [Réponse attendue: Nooon!] Pourquoi les réseaux de trafiquants sont-ils si peu inquiétés ? Comment aider l’Afrique pour dissuader des millions de gens de se jeter sur la route de l’exil ? […]
[…] Face à face, une Europe dure, parfois ouvertement raciste. Elle ferme ses frontières, elle refuse de débarquer les naufragés. Cette Europe-là est incarnée par Viktor Orban et Matteo Salvini, mais ils ne sont pas les seuls. […] À l’opposé existe une Europe qui se veut terre d’accueil, soucieuse de préserver ses valeurs fondamentales et les droits humains. […]
2. Paroles de migrants, entre le Niger et la Méditerranée
04:33 : Une Africaine dit : Quand vous étiez en train de nous coloniser, vous étiez [nous étions?] bien gentils, mais pourquoi maintenant nous sommes dans les problèmes vous nous fermez la porte ?
3. Vincent Cochetel: "L’attitude de l’Europe face aux migrants est un peu pathétique"
[…] Vincent Cochetel dénonce dans l'émission Géopolitis le comportement égoïste de l'Europe face à la crise migratoire. […]
Au strict niveau de l'asile, "on parle de 33'000 individus en Espagne, de 20'000 en Italie. C'est tout à fait gérable pour le continent européen" […]
Vincent Cochetel balaie catégoriquement l'idée que l'Europe pourrait être à l'avenir submergée par des vagues venues d'Afrique: "La plupart des mouvements de population n'ont pas lieu vers l'Europe mais vers des pays africains. Ce sont d'abord eux qui sont confrontés aux pressions migratoires". […]
L'expert précise qu'il n'y a eu "que 210'000 demandeurs d'asile sur le continent cette année, loin des 1,2 million de 2016. Parmi eux, seuls 38% ont besoin de protection et les autres doivent rentrer dans leur pays d'origine". […]
4. Extraits du reportage "Migrants sur la route de l’enfer"
11:41 : Pour les décider à changer de métier, l’Union européenne verse de l’argent aux passeurs. [L’équivalent de 2280 euros.] C’est à peine la moitié de ce qu’ils gagnent en une semaine.
5. Vincent Cochetel: "Il faut geler les avoirs des passeurs en Europe et dans les pays du Golfe"
6. Ce jour-là, le 23 octobre 1956, Budapest se soulève contre le régime communiste
Budapest, 1956. La population se révolte contre le régime communiste […]. Suite à ce soulèvement populaire, de nombreux Hongrois fuient leur pays.
12'000 d'entre eux arriveront en Suisse, et 6000 s'y établiront de façon définitive. […] ils sont accueillis à bras ouverts. […] Une attitude en contraste avec les politiques migratoires actuelles.
Cenator: C’est là une instrumentalisation odieuse des réfugiés hongrois (et tchèques, etc.) de l’époque communiste, dans un double but : d’une part, pousser la population locale à accepter l’invasion actuelle ; d’autre part, jeter le discrédit sur la Hongrie actuelle, qui s’oppose à l’invasion islamique et refuse de devenir une nation métissée, alors que 200'000 réfugiés hongrois ont été accueillis en Europe occidentale.
Cet argument est déjà celui qui est constamment jeté à la figure des Suisses d’origine hongroise lorsqu’ils tentent d’alerter sur les dangers de l’invasion migratoire.
En réalité, toute comparaison entre la situation des années 1950 et celle d’aujourd’hui est un pur abus.
En effet, les réfugiés hongrois n’ont pas été à la charge de la collectivité, bien au contraire. Ils ont tous travaillé très rapidement après leur arrivée, tantôt dans l'agriculture, tantôt dans les usines, d’autres encore étaient médecins. Ces professions étaient recherchées, la Suisse avait besoin d'eux. Aucun d’eux n'était analphabète ; la plupart avaient appris l’allemand à l’école et ils sont allés en majorité en Suisse alémanique. En Suisse romande, la verrerie de Saint-Prex manquait d'ouvriers : les Hongrois faisaient bien et avec joie ce travail, plusieurs de leurs descendants vivent encore dans cette ville. Bobst à Lausanne, la SIP à Genève, etc., ont pu employer immédiatement des ouvriers qualifiés. Leurs enfants sont actuellement à l’âge de la retraite, pratiquement aucun d'eux n'a émaillé par son parcours les rubriques des faits divers, On ne les reconnaît plus que par leurs noms de famille : ils se sont parfaitement fondus dans le paysage suisse, blanc et chrétien, et en général, ils votent UDC…
7. Les prolongements de l’émission
Deux livres et un reportage pour penser correctement.
Il y a dans ce magnifique pays, tant envié, des Suisses de coeur aussi, chrétiens qui vont très souvent dans votre sens et qui pressentent et voient avec inquiétude ce que la migration incontrôlée pourrait amener comme
problèmes graves ,si ce n’est le chaos sans vouloir être alarmiste,dans ce petit Pays jusqu’alors havre de paix et qui mérite de le rester. On le doit aux générations futures… Le seul bémol qui est navrant et décourageant pour ceux qui pensent comme vous ,ont la même culture et partagent les mêmes principes et valeurs à travers l’amour de ce pays, c’est que nous sommes aussi chrétiens mais aussi de Couleur…on n’a pas choisi !c’est ainsi. Et il semble bien qu’on ait le droit de penser comme vous à condition d’ëtre Blanc de peau ,vu certains écrits .Triste retour à la réalité….! Comment voter en ce sens à présent dans les temps à venir? Mais seul compte ce Pays qui n’a pas besoin d’états d’âme
mais au contraire de la persévérance de tous ceux qui, toutes couleurs confondues, souhaitent qu’il puisse rester beau, digne et respecté , contre vents et marées et ceci pour les citoyens jeunes ou moins jeunes méritants de ce pays.