Budapest, une ville sans migrants, où le métissage n'existe pas vraiment. La Hongrie "illibérale" de Viktor Orbán attire de plus en plus d'Allemands, Belges, Hollandais, quelques dizaines de Français... qui s'y installent pour des raisons identitaires. Extrait d'un reportage de "Complément d'enquête" sur ces patriotes en exil.
Elsa est arrivée à Budapest il y a deux ans. Cette enfant de la banlieue parisienne préfère garder l'anonymat, pour sa sécurité, dit-elle. Pourquoi a-t-elle quitté la France ? Pourquoi avoir choisi la Hongrie "illibérale" de Viktor Orbán ? La réponse est "très simple" : elle a fait ce choix, explique-t-elle, après avoir subi trois agressions où elle s'est fait voler son sac et son portable.
"Je pense que quand on est maître de son pays, fondamentalement, dans une ère de mondialisation, le facteur immigration rentre en ligne de compte", développe-t-elle. Un argumentaire où plane le fantasme d'une France envahie par les étrangers. Un fantasme qu'elle partage avec les dirigeants hongrois.
"L'islamisation de l'Europe de l'Ouest est déjà commencée"
C'est un lieutenant de Viktor Orbán qui reçoit le journaliste de "Complément d'enquête", pour un entretien en français. "L'islamisation de l'Europe de l'Ouest est déjà commencée, en fait, déroule-t-il sur un ton posé. Ça crée des problèmes pour les gens, pour la vie, pour la sécurité, etc." A contrario, le gouvernement Orbán a choisi, lui, de "protéger la Hongrie comme elle est"...
Mais ne craint-il pas l'installation ici d'une "internationale identitaire" et la libération d'une parole raciste ? L'homme politique se veut rassurant... et accueillant. "Je ne vois pas ça comme un danger. La Hongrie, c'est un pays démocratique, bien sûr. (...) Les gens peuvent venir, tout le monde peut exprimer son point de vue. (...) Il n'y a pas de racisme en Hongrie, mais un discours démocratique, et le pays va fonctionner sans problème comme une démocratie vivante."
Extrait de "Hongrie : la terre promise", un reportage à voir dans "Complément d'enquête" le 18 octobre 2018.
Connaissons nous la limite du sentiment de gêne imposé par les changements provoqués par la générosité des peuples accueillants ?
surtout ne pas fuir l alfrance mais …. faire comme comme Charles Martel et c’est possible mais une solution finalement plus radicale (traitement spécial) pour retrouver la FRANCE.
J’aimerais quand même que ceux qui nous abandonnent aient auparavant tout essayé pour contrer l’islamisation de l’Europe. Nous avons besoin de gens courageux qui s’engagent, pas de gens qui fuient.
La lâcheté n’est pas le seul critère a mettre sur la planche. Quand quelqu’un a presque tout essayé, qu’est ce que lui reste sinon la fuite. Finalement c’est une attitude “self-defence”. Pas tout le monde trouve un soutien minimal dans un certain endroit. Notre “société” ba(i)sée sur le copinage détermine certains à s’en fuir. D’ailleurs il y a d’autres qui ont quitté la France pour des raisons encore plus mesquins c’est à dire protéger leur fortune, nullement à cause de racisme. Donc un peu de modération, s’il vous plaît. Le contexte mondiale est si compliqué donc juger de lâche qqn pour avoir quitté son pays d’origine est déplacé. Nombre des gens peuvent être plus utiles pour leur patrie depuis l’étranger et vice-versa des quantités des glaneurs n’apportent rien y habitant leur lieu d’origine. De nos jours tout ou presque se joue au tour de clans mais qui protège ceux qui n’appartient pas à des telles organisations? l’État? J’en doute. Malgré toutes prétentions de progrès l’humanité c’est borné aux mêmes formes d’organisations tribales. Les démocraties ont fait un semblant de fonctionnement normal ayant “donné” aux tous les mêmes droits, mais comme du gâteau ne restent que des miettes, tout le monde se précipite à les ramasser. Bon appétit.
@ Gabrielle
Des lâches qui fuient l’invasion de leur pays, à savoir la France, pour éviter les problèmes ? On pourrait croire qu’il s’agit de veulerie mais lutter, en l’état actuel, vous met au ban de la société et vous rend justiciable.
De Gaulle s’était bien envolé pour Londres et était perçu comme traître à sa patrie, signataire de l’Armistice du 22 juin 1940.
Partir pour des cieux plus cléments où pouvoir crier contre l’invasion de notre Europe est peut-être une solution.
Ne jugez pas trop péremptoirement. Que feriez-vous ou ferez-vous bientôt ?
J’exhorte personnellement mes fils à partir. J’espère pour mieux revenir un jour dans un pays assaini.
J’avais pu constater en République Tchèque ( à Prague) que les muzz sont infinitésimaux et que les Tchèques ne badinent pas avec la clique barbue (vu à l’aéroport).
Les pays de l’Est sont peut-être la voie. Qui aurait cru cela il y a 25 ans ?
D’un côté, les lâches fuyant, selon leurs dires souvent mensongers, leur pays en guerre pour venir envahir l’Europe et haïr en douce le gros pourcentage de cons naïfs qui y habitent. De l’autre côté, les lâches qui, constatant l’invasion africano-islamique de leur pays, se cassent vite fait en Hongrie par exemple, pour éviter (croient-ils) les problèmes présents mais surtout à venir… Le grand remplacement planifié par une certaine pourriture politique peut donc continuer pépère…