Brett Kavanaugh a été confirmé à la Cour suprême, en dépit des allégations d’agression sexuelle portées contre lui. Mais les opposants à sa nomination n’en démordent pas : manifestations à Washington, étudiants en grève, activistes de #meToo jurant d’exprimer leur colère à l’occasion des élections de mi-mandat. Maintenant qu’une procédure de destitution serait le seul moyen pour l’éjecter, une poignée de « sorcières antifa » autoproclamées à New York se tournent vers des moyens plus, euh, créatifs.
Le personnel de Catland Books, « la première librairie occulte de Brooklyn », va puiser dans la magie noire et animer ce samedi un « rituel » anti-Kavanaugh. Armés de clous de cercueil, d’effigies et de terre provenant d’un cimetière, ils jetteront des sorts sur une photo du juge soutenu par Trump dans le but de faire de sa vie un cauchemar, rapporte USA Today.
La librairie avait déjà organisé de telles séances de sorcellerie par le passé, dont trois l’année dernière contre Donald Trump.
Cette fois, une soixantaine de personnes assisteront à la cérémonie. Il ne reste déjà plus un seul billet, ce qui est dommage pour les quelque 13’000 personnes qui s’étaient dites intéressées.
« Nous voulons faire souffrir Kavanaugh » a dit l’organisateur à Newsweek. La page Facebook explique : « Nous embrassons les véritables racines de la sorcellerie en tant que magie des pauvres, des opprimés et des déshérités […] souvent la seule arme, le seul moyen d’exiger justice pour ceux d’entre nous qui ont été lésés par des hommes comme lui. »
Source : vice.com
Source en français : sputnik.news
C’est fascinant. Voir ces gauchistes frustrés si créatifs a quelque chose d’apaisant. Une telle volonté de démontrer que l’on est du bon côté de la vie en usant tout à tour de l’imposture et de l’obscurantisme dénote d’une confusion profonde.
C’est intéressant. Morbide et pathétique mais intéressant et révélateur. Il y a ici une cohérence dans la psychose et l’immaturité du cerveau d’extrême gauche. La pensée magique, étape naturelle du développement chez le petit enfant, devient pathologie si elle ne cesse pas en grandissant. Le seul danger pour la personne visée, c’est d’y croire, et de fait de se laisser “mentalement empoisonner” (effet placebo, qui peut-être puissant, on a ainsi vu des patients prendre des placebos de chimio et perdre leurs cheveux et même des dents chez certains, c’est dire le pouvoir de l’auto-suggestion). En Egypte antique, ils maitrisaient à merveil cet empoisonnement mental, comme en témoignent des malédictions inscrites dans certains sarcophages ou salles funéraires. On notera tout de même qu’il y avait une toute autre élégance dans ce cas et que c’était fait dans un contexte de sacralité rituelle pour les défunts. Dans le cas présent, ils n’ont aucune idée de ce qu’ils font et c’est peut-être même plus dangereux pour eux-même (psychose aiguë, délires de persécution, décompensations, …) que pour la personne visée. Tristes bougres.
Méchants, mauvais perdants, et ils pensent quand même qu’ils représentent le Bien
Heu… C’est ce pays qui a envoyé les premiers hommes sur la Lune ? En fait, l’irrationnel s’y mêle au fanatisme gauchiste -c’est, du reste, des phénomènes de même acabit- et cela devrait prêter à rire si ce n’était l’expression d’une gigantesque régression culturelle. Grigris, marabouts, messes noires, se conjuguent désormais avec les “drwâââ de l’Haume” et les perversions diverses et variées des démocrates. Attendez : ces délires vont bientôt franchir l’Atlantique, comme l’ont fait les insanités de la théorie du genre et l’extrême-féminisme. L’Occident est en pleine décadence.