Lors d'une interview accordée le 6 octobre au quotidien autrichien Der Standard, Jean-Claude Juncker, actuel président de la Commission européenne, a regretté que l'ancien Premier ministre britannique, David Cameron n'ait pas pu mener une campagne convenable contre le Brexit en amont du référendum du 23 juin 2016.
Le 29 mars prochain, le Royaume-Uni ?? quittera l'#UE... au grand dam des Lords et de Tony Blair#Brexit
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— RT France (@RTenfrancais) 26 juin 2018
Amer, le chef de l'exécutif européen a regretté que le gouvernement Cameron lui ait à l'époque demandé «de ne pas intervenir dans cette campagne référendaire». Jean-Claude Juncker a ainsi expliqué que «si la Commission européenne [étai]t intervenue, peut-être que les bonnes questions seraient entrées dans le débat», étayant ses propos de la sorte : «Nous savions déjà quelles seraient les épreuves et les tribulations auxquelles conduirait ce vote pitoyable des Britanniques.»
Si la Commission européenne n'a, en effet, pas été en mesure de convaincre les électeurs britanniques de vouloir rester au sein l'Union européenne (UE), il serait malhonnête d'affirmer que ces derniers ont uniquement fait face à une propagande pro-Brexit. De fait, du côté de la campagne pro-européenne, les partisans du maintien du Royaume Uni au sein de l'UE n'avaient pas manqué d'imagination pour étoffer leur argumentaire : instructions illustrées (légèrement) orientées, engagement de célébrités en faveur du maintien ou encore sacralisation de la question en comparant l'intégration européenne à la religion...
Une campagne à laquelle s'étaient ajoutées les multiples tentatives venues de l'étranger pour tenter de raisonner les Britanniques.
Pour Juncker, «la liberté de la presse aussi a ses limites»
Face aux remarques récurrentes sur son penchant réputé pour l'alcool, l'ancien Premier ministre luxembourgeois s'est par ailleurs dit «étonné de ce dont on [le] blâme toujours». Nommant directement les médias britanniques, il les a ainsi accusés de «ne pas respecter les droits de l'homme des acteurs politiques», affirmant : «La liberté de la presse aussi a ses limites.»
Le 2 octobre, c'est du côté de l'Italie que venait une nouvelle pique adressée au chef de l'exécutif européen. Répondant à une comparaison établie par Jean-Claude Juncker entre la situation italienne et la crise grecque, Matteo Salvini avait vivement réagi au cours d'une émission d'une chaîne de télévision italienne : «Je parle avec des personnes sobres qui ne font pas de comparaisons qui ne tiennent pas la route.»
Extrait de: Source et auteur
Ce type est une aberration.
Mais justement, Herr Drinker Junker, les BONNES QUESTIONS ont été posées, et donc le résultat est le Brexit. Ce n’est pas aux brigands de la commission européâstre de dire quelles sont les “bonnes” questions. J’en vois quatre, pertinentes : 1) acceptez-vous ou non que vos lois soient désormais faites par l’étranger ? 2) acceptez-vous ou non que vos frontières soient ouvertes à n’importe qui ? 3) acceptez-vous ou non que le budget de votre pays soit censuré par Bruxelles ? 4) acceptez-vous ou non une immigration imposée par l’UE ? Rien que ces quatre questions appellent un “non” franc et massif à la tyrannie européâstre.
Ce Junker est un chef parfait pour cette Union européenne corrompue.
Et moi je regrette sincèrement qu’on entend encore parler de ce Drinker.
Une catastrophe ambulante.
Qu’il se prépare à d’autres “exit” Mister Junker ….car l’arche de Noé de l’ l’UE … prend l’eau….!
C’est l’alcoolo de service qui est pitoyable !