Par Christian Lecomte
Trois villes de Haute-Savoie ont accepté de vendre des terrains communaux afin que des lieux de culte y soient érigés. Un moyen de vider les salles de prière clandestines et marginaliser les intégristes, soutiennent élus et religieux.
Trente ans qu’ils attendaient cela. Les musulmans d’Annemasse auront dans quatre ans un lieu de prière digne de ce nom, assez vaste pour accueillir le vendredi, jour de la grande prière, 800 fidèles. […]
Refus des donations étrangères
[…] Le CCMA insiste sur le fait que sont mis à contribution les fidèles et qu’il refuse les donations des pays étrangers «parce que ceux-ci attendent toujours quelque chose en retour, comme un contrôle sur le lieu de culte via un imam imposé». […]
Autre commune frontalière, Saint-Julien-en-Genevois vient aussi de céder au prix de 510 000 euros une parcelle de terrain acquise par l’Association des musulmans du Genevois. Ceux-ci se rassemblaient dans un local d’une capacité de 60 places (pour près de 400 pratiquants). […]
«Ce sera une première en France dans la mesure où toutes les associations, qu’elles soient d’origine maghrébine, turque ou des Balkans, ont décidé de partager ce lieu » […]
À Bonneville, le projet est plus avancé puisque la mosquée devrait ouvrir dès 2018 […] avec une coupole, une école pour apprendre la langue arabe et le Coran. Le terrain a été cédé à un prix symbolique […].
À Cluses (18 000 habitants dont 20% d’origine étrangère), au cœur de la très industrielle Vallée de l’Arve, le dossier est au point mort du fait, entre autres, des pressions d’un Front National très implanté (43% lors du dernier scrutin). «Si on parle ici de future grande mosquée la ville va basculer vers l’extrême droite», confiait récemment au Temps un conseiller municipal.
Non loin de là, à Marnaz, le sénateur-maire centriste Loïc Hervé s’est opposé à la sortie de terre d’un lieu de culte «car contrairement à Annemasse et Saint-Julien l’Association demandeuse, l’Asli, n’est pas reconnue pas le Conseil français du culte musulman car elle professe un islam radical non compatible avec les valeurs de la République».
Source : Le Temps
https://www.patriotpetition.org/2018/09/20/baubewilligung-fuer-erdogan-moschee-in-schaffhausen-rueckgaengig-machen/
N O N à la construction d’une grande mosquée turque à Schaffhausen!
Le terrain appartient à la fondation islamique turque pour la Suisse, une branche du Diyanet, le ministère turc de la religion. Le président de cette fondation est Ali Erbas, un théologien confident du président turc Recep Tayyip Erdogan. Les imams qui prêcheront à Schaffhouse seront envoyés par Ankara.
–> Merci de signer la pétition!
Le commentaire de Maurice est remarquable.
La charia et son code pénal obscurcit de plus en plus notre futur et ceux de nos enfants.
Vendre des terrains communaux !
C’est un scandale de vendre des terrains communaux, car les terrains communaux appartiennent à la commune depuis la nuit des temps, ce sont des terrains qui ont permis aux habitants des communes de ramasser du bois pour se chauffer l’hiver, de faire paître les troupeaux, de se répartir l’eau, etc., de prendre des décisions communes justement. Ces terrains n’appartiennent pas aux communes, ils appartiennent aux habitants des communes, en tout cas aux habitants originaire de ces communes, c’est donc un vol organisé que de les vendre, car les communes ne devraient pas se donner le droit de faire de l’argent avec ces terres appartenant à la communauté. Etaient-ils d’accord les habitants de ces communes que ces terrains soient vendus pour l’usage qui en est fait ?
C’est d’autant plus révoltant que la Savoie a été annexée par la France 30 ans après l’Algérie, que la Savoie n’a donc pas à recevoir des immigrants qui se permettent tout à cause de la colonisation française, la Savoie n’ayant jamais colonisé personne. Mais qui s’en souvient ? On préfère mixer la Savoie dans la France et lui faire subir le même sort, trahissant ses populations, celles-là même qui sont propriétaires en commun des terres communales.
Et oui les veaux, ça progresse….. ne venez pas vous plaindre après !