Un éthiopien de 19 ans qui avait menacé de mettre le feu aux locaux du Sprar dans lequel il était hébergé a été arrêté par les carabiniers de Raddusa (province de Catane) pour tentative d'extorsion de fonds et résistance à un agent public.
En attente du statut de réfugié, le migrant a violé à plusieurs reprises les règles d'accueil de la structure (dépassant la limite du nombre de jours pour lesquels il était autorisé à s'éloigner du centre), obligeant les opérateurs à lui notifier son expulsion.
Convaincu qu'il avait droit à une sorte "d'indemnité de départ" équivalent à 250 euros, il a menacé de mettre le feu aux locaux.
Pour éviter de nouvelles conséquences, les carabiniers sont intervenus sur place. Ceux-ci, dès leur arrivée, ont tenté de clarifier les raisons du refus. L'extra-européen les a d'abord attaqués, puis a fui. Poursuivi, il a été retrouvé dans le centre-ville, où après une lutte violente, les militaires l'ont menotté.
Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Sergio (qui a osé), commentaire parfait, c’est tellement bien résumé, rien à rajouter.
Je vais simplifier le débat: zéro immigration d’outre-méditerranée, ces gens sont inintégrables et détruisent notre société, de plus ils représentent un risque sanitaire élevé. C’est aussi simple que ça! Que les USA, la Grande-Bretagne et la France qui sèment la zizanie depuis des décennies en Afrique et au Moyen-Orient, règlent les problèmes qu’ils ont généré sur place!
En pénétrant illégalement en territoire italien puis en intégrant un centre d’accueil d’état, l’éthiopien a accompli un travail pour lequel il était rémunéré, logé et blanchi (j’ai osé). Si son droit à l’asile a par la suite injustement été refusé. Il bénéficie d’une indemnité de licenciement, une sorte de prime de cessation d’activité pour faciliter son départ et à l’accès d’un autre pays d’accueil. Il n’est pas venu ici perdre son temps précieux pour de clopinettes tout de même.