Di Maio et Salvini critiqués par la presse mondialiste mais soutenus par le peuple
En Italie, comme chez nous, les journaux appartiennent à des financiers mondialistes et sont rédigés par des journalistes de gauche pro-immigration. Ils essaient maintenant d’affaiblir le gouvernement du Mouvement 5 étoiles et de la Lega en critiquant comme trop élevé le déficit prévu par lui de 2,4% du PIB, alors que les socialistes et Forza Italia de Berlusconi, lorsqu’ils étaient au pouvoir, l’avaient fixé à des pourcentages plus élevés et fortement supérieurs à l’inflation. Leur but est de faire monter le spread, le taux de risque sur les emprunts italiens. Par ailleurs, ils ont recours aux injures de bas étage habituelles en comparant le ministre de l’intérieur Matteo Salvini à Mussolini, parce qu’il veut que les Italiens fassent plus d’enfants. Mais ni Di Maio (5 étoiles), ni Salvini (Lega) ne se laissent impressionner et répliquent vertement, ce qui est la seule tactique possible face à des médias hargneux et démagogiques.
Traduction (Claude Haenggli) : Di Maio : « Le Parti démocratique et Forza Italia, qui n’ont pas de succès sur le plan politique, ont recours au terrorisme médiatique pour faire monter le spread à l’aide de leurs journaux, espérant ainsi réaliser un coup d’état financier. Ce sont d’irresponsables ennemis de l’Italie. Mais malgré leur engagement cynique, le spread n’a pas bondi, car les investisseurs savent qu’il y a en Italie un gouvernement fort et uni, destiné à durer, qui jouit du consensus populaire le plus élevé d’Europe et qui défend les intérêts du pays. » Salvini : « Nous n’avons peur de rien et de personne. Derrière nous, il y a des millions d’Italiens et je vous assure que je ne reculerai pas d’un millimètre et même que je travaillerai encore plus vite et avec encore plus d’acribie. »
Claude Haenggli, 1.10.2018
Le spread.
En Italie, c’est une obsession politique.
En effet, il mesure, sur la base de la rémunération attendue par les investisseurs pour les actif d’investissement publics d’un pays par rapport à ceux de l’Allemagne.
En d’autre termes, c’est la mesure du risque-pays. Ce qui était jadis absorbé par la valeur de la monnaie nationale, mais par rapport à toutes les autres. Le fait que l’étalon soit l’Allemagne en dit déjà long sur les objectifs de l’euro.
Pou le reste, il faut considérer une énorme subjectivité dans cet indicateur qui, comme il est suggéré dans l’article, peut être influencé par les opinions proférées pas les médias, outre que par les notation des agences.
VIVA ITALIA ! VIVA SALVINI ! . VIVE ORBAN ! VIVE TRUMP !,j’en attends d’AUTRES allons,allons PRESSONS ! Il y a URGENCE !