Après les propos méprisants de l'écrivain à l'encontre des fonctionnaires de police qui travaillent dans les banlieues françaises, des policiers qui sont intervenus au Bataclan demandent à le rencontrer.
Six policiers, dont plusieurs sont intervenus au Bataclan, demandent à rencontrer Yann Moix après qu’il les a accusés de se « victimiser ». Un souhait transmis via leurs avocats dans une lettre ouverte rapportée par l'AFP : « Nos clients ont pu se sentir offusqués par vos propos », « ils n’entendent pas polémiquer » mais « proposent de vous rencontrer au sein du cabinet, hors caméra » afin de « débattre, ou au moins que vous les écoutiez. [...] Ils pourraient vous faire part de leur quotidien professionnel et ne soyez pas étonné s’ils évoquent la nuit du 13 novembre 2015, lors de laquelle, en patrouille au sein de la BAC 94, ils sont arrivés les premiers sur place au Bataclan, scène d’horreur sans précédent », est-il écrit.
Yann Moix partant
« Yann Moix est évidemment ouvert à des échanges, formels ou informels, avec des policiers, particulièrement ceux intervenus dans des conditions épouvantables au Bataclan », a répondu l’avocat de l’écrivain, Me Patrick Klugman. Yann Moix est dans une position délicate depuis ses périlleuses déclarations puisque Gérard Collomb, le ministre de l'Intérieur, a annoncé jeudi 27 septembre qu'il porterait plainte contre lui. Le 22 septembre dernier, sur le plateau des « Terriens du samedi », l'émission de Thierry Ardisson où il est chroniqueur, Yann Moix avait déclaré que les policiers « chient dans leur froc », « se victimisent » et « n'ont pas les couilles d'aller dans des endroits dangereux ».
@pierre frankenhauser : Très bonne question ! Pourquoi ne sont-ils (GIGN) pas intervenus immédiatement ?
La décision d’intervention a été très longue à venir cela à coûté inutilement des dizaines de vies …
Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve responsable ?
Référence:
http://www.leparisien.fr/attentats-terroristes-paris/attentats-de-paris-l-intervention-du-bataclan-en-accusation-05-07-2016-5941729.php
Cet abruti devrait plutôt se demander pourquoi ses petits copains décideurs politiques n’ont pas autorisé les troupes d’interventions (RAID ou GIGN, super entraînés et super équipés) a intervenir tout de suite.
Mais bien entendu qu’il est d’accord de rencontrer les policiers qu’il a insultés. Ce type se damnerait pour qu’on parle de lui.
Bôf, Moix est un malade, il n’y a qu’à regarder sa mine et se souvenir qu’il a de sacrés problèmes avec sa famille (ascendants). Quand on déniche des lecteurs de Victor Hugo parmi les malfaiteurs de la jungle de Calais, il n’y a pas à hésiter : la mythomanie est un symptôme de trouble psychique. Quant à dire que c’est un écrivain… d’accord, seulement au sens de “écrit vain”. Ben oui, et c’est ce genre de guenille qui traîne sur les plateaux des Moyens de Propagande de Masse, alors qu’on bannit Éric Zemmour. Quelle époque ! Quel pays !
Et pendant ce temps, à Genève, les avocats de PM parlent de la… “force protectrice du droit” (ats). Nos policiers souffrent de procédures abusives, sans protection, sont malmenés, sans rémunération, risquent leur vie, sans reconnaissance, etc. et nos politiciens renforcent la “force protectrice du droit” des criminels plutôt que la sévérité des sanctions pénales ! Bordel, le monde tourne mal….