Viktor Orban a donné une interview hier (14.9.2018) à la radio Kossuth, émission « 180 minutes », pour analyser les événements qui se sont déroulés au Parlement européen lors du procès de la Hongrie basé sur le rapport Sargentini ainsi que la suite à venir.
La semaine précédant ce procès, Merkel s’est rendue chez Macron en France et ensemble ils ont adressé un ultimatum aux pays se trouvant aux frontières extérieures de l’Espace Schengen. Ils ont défini une stratégie pour mettre à genoux la Hongrie, qui échappe à leur contrôle et refuse de se transformer en société multiculturelle. Voilà ce qui se joue dans les coulisses alors que le regard est fixé sur le procès Sargentini.
La stratégie consisterait à enlever aux pays situés aux frontières de l’UE le droit de défendre leurs frontières et à y envoyer des mercenaires pour gérer la migration. (Les gardes-frontières hongrois assermentés et patriotes seraient remplacés par des mercenaires à la solde de l’UE !). « Ils veulent tout simplement nous enlever les clefs de la porte », résume Orban». La prochaine bataille consistera à décider qui va défendre les frontières de la Hongrie et qui on laissera entrer sur le territoire hongrois.
Orban dit qu’il ne faut pas avoir la moindre illusion : ces mercenaires auront l’ordre de faire entrer les migrants. Le procès Sargentini était une sorte de diversion par rapport à ce projet, mais signalait aussi la volonté claire de stigmatiser et diaboliser toute la Hongrie, de l'isoler, de la mettre au ban de la communauté européenne pour fragiliser sa position et affaiblir sa résistance.
Orban explique que le Parlement européen actuel est acquis à l’idéologie pro-migrationniste de la gauche, qui y est majoritaire, c’est pourquoi la motion contre la Hongrie a obtenu la majorité.
Ces élites considèrent qu’ils ont comme mission historique de changer la composition de la population européenne, d’effectuer la mise en œuvre du grand remplacement. Ces politiciens haïssent ceux qui s’opposent à eux, et haïssent ceux qui essayent d’organiser une résistance contre eux. Après les élections de mai 2019, ils aimeraient préserver un Parlement européen pro-migrationniste afin de continuer le même travail qu’ils ont fait jusqu’ici. Pour cela, ils doivent attaquer le symbole de la résistance qu’est la Hongrie et spécialement moi – dit Orban – parce que je dirige le pays.
Orban pointe du doigt le fait que le Parlement européen a dû transgresser ses lois pour condamner la Hongrie. Le camp de Sargentini a dû changer le règlement du scrutin juste avant le vote car il savait (tout comme la Hongrie) qu’autrement il ne pourrait pas obtenir les 2/3 des voix nécessaires pour la condamnation. C’est pour cela qu’il a décidé que les abstentions, contrairement au règlement, ne seraient pas comptabilisées comme « votants » (ce qui réduisait la base de calcul des 2/3 en conséquence) [ndlr : nous en avons parlé ici]. Le Parlement européen est en train de consommer les dernières miettes de son intégrité morale lorsqu’il juge un pays en violant ses propres règles pour arriver à ses fins !
Il y a eu de bonnes et de mauvaises surprises [lors de ce vote au PE]. L’équipe de Sebastian Kurz [le ÖVP autrichien] a voté majoritairement contre la Hongrie alors que la Roumanie, avec qui la Hongrie a un rapport tumultueux, a voté en faveur de la Hongrie. C’est une grande leçon pour nous.
Orban rassure la population : il ne peut pas y avoir de grandes conséquences à cette condamnation Sargentini. Au mois de mai, il y aura la nouvelle élection du Parlement européen et l’équipe actuelle, qui n’est plus qu’une collection de mode de fin de saison, sera renouvelée.
Des spécialistes du parlement hongrois ont réfuté point par point, dans un rapport, l’acte d’accusation de Sargentini.
19 points concernent les désaccords de la Hongrie avec le PE (mariage homosexuel, enseignement de la théorie du genre, etc.). 13 points avaient déjà été débattus et jugés, les dossiers étaient clos.37 points sont des erreurs de faits.
Orban appelle à la vigilance : à côté de l’enjeu migratoire, il y a l’enjeu des votations européennes à venir.
Nous connaissons les faits concernant le budget européen et ses statistiques. L’Union européenne soutient, avec plusieurs centaines de millions d’euros, les organisations, soi-disant civiles, de Soros. Et Soros mène un lobbyisme politique actif contre la Hongrie. Si la composition du Parlement européen change après mai 2019, les centaines de millions destinés aux ONG de Soros vont sauter.
Sargentini accuse la Hongrie d’antisémitisme et, en même temps, elle mène une campagne contre Israël. Or, Macron en personne vient de préciser que l’antisémitisme moderne est dirigé actuellement contre l’Etat d’Israël. L’Union européenne finance des pseudo-ONG qui mènent en réalité des campagnes antisémites contre Israël.
Orban résume cela ainsi : la situation est telle que le centre de l’antisémitisme moderne, qui est dirigé contre Israël et son gouvernement, est l’Union européenne. Le centre du financement de cet antisémitisme moderne se trouve à Bruxelles.
Orban dit que cela ne peut plus durer et que si cela dépend de la Hongrie, après l’élection du PE, elle changera ces choses.
Orban précise que pour la Hongrie, après le rôle qu’elle a joué dans la Shoah, c’est une obligation morale de prendre position contre l’antisémitisme. C’est une question d’honneur. La Hongrie a annoncé une tolérance zéro envers l’antisémitisme. Et cette femme (Sargentini), qui soutient l’antisémitisme moderne, nous condamne !
En ce qui concerne les députés hongrois de l’opposition siégeant au PE, Orban accepte que l’opposition soit démoralisée après avoir perdu trois fois de suite les élections en Hongrie. Orban leur rappelle ce qu’il avait dit au parlement après les élections : aucun échec n’est définitif en politique, aucune victoire n’est définitive. Dans la lutte virile pour le pouvoir, il y a des coups durs, mais avec l’aide de Dieu et la foi en ce que les partis croient juste, l’un ou l’autre vaincra. Dans une lutte pour le pouvoir, les émotions font surface, mais Orban est tout de même sidéré de constater que ses adversaires ont une telle haine pour les vainqueurs que l’avenir de leur propre pays passe au second plan pour eux. « C’est la mentalité communiste », résume Orban, qui ajoute : « Il y a un réel problème avec celui qui hait plus son adversaire politique qu’il n’aime son pays. »
Orban attire également l’attention sur le fait que le rapport Sargentini condamne la Hongrie entière. Le rapport est disponible à chacun, il s’adresse à toute la Hongrie et pas seulement au gouvernement en place.
Résumé/traduction Cenator pour LesObservateurs.ch
Rappel : https://lesobservateurs.ch/2018/05/01/proces-stalinien-inoui-parlement-europeen-contre-hongrie/ (voir notamment les interventions de Peter Szijjarto)
C’est là que ce rappel est le bienvenu:
L’Union Européenne, la nouvelle URSS !
“Comparaison n’est pas raison ! ” dit-on, quoique …
Merci à Ombeline Melissande, pour la découverte de cette vidéo…
Vladimir Konstantinovitch Boukovski, est un écrivain russe né en 1942 et qui vit au Royaume Uni depuis 1976, où il a terminé sa carrière de biologiste, à l’Université de Cambridge.
Avant de “passer à l’Ouest”, Bukovski avait mené dès 1959, un combat politique contre le totalitarisme soviétique, qui lui fit chèrement payer son activisme dissident : interné en 1963 en hôpital psychiatrique (pour fait de poésie !), puis à nouveau emprisonné, il sera déporté en tout pendant 12 ans, avant d’être échangé contre un prisonnier communiste chilien en 1976.
Cet intellectuel subversif, qui a fait trembler les apparatchiks communistes, et qui est le premier à dénoncer les internements psychiatriques du régime soviétique, a toujours fait preuve d’une liberté de pensée au service d’une analyse pertinente des régimes politiques vécus et subis.
Il est pressenti pour occuper des fonctions politiques importantes dans la nouvelle Russie libérée du joug communiste, mais sa double nationalité et son absence prolongée du territoire ne lui permettront pas de se présenter aux élections présidentielles russes de mars 2008.
Cependant, il reste un observateur attentif et critique des évolutions géopolitiques de l’Europe et a su s’élever au dessus des idéologies de façade, pour repérer et définir la vraie nature du totalitarisme, dont il nous offre ici en 5 mn, une observation synthétique, autant surprenante que pertinente.
Erwan Castel, Régina le 3 mars 2014
Vladimir Boukovski – La nouvelle URSS – 4’45
http://alawata-tradition.blogspot.com/2014/03/lunion-europeenne-la-nouvelle-urss.html?
Si nous ne nous pensions pas en dictature, la lecture de ce textes “remet les pendules à l’heure”
On entendait parler “d’une police européenne qui devait se déplacer en cas de “nécessité ” dans les pays européens”, mais là nous sommes encore plus abasourdis “nous aurons une armée de mercenaires pour s’occuper des frontières”.
Bon! Voilà la goutte d’eau qui va faire déborder le vase.
“demandez le programme” :
Programme n°1 : faire pénétrer le plus possible de migrants en Europe. ( préconisé par l’ONU et validé bientôt par les états européens :13.5 millions par an + leurs familles (10 membres minimum) TOTAL 135 millions par an. SALE TEMPS POUR L’AFRIQUE. On appelle ça un dépeçage progressif de l’Afrique. ET DE SES MATIERES PREMIERES. Pensez vous que l’on aime d’amour le migrant?
Programme n° 2 : anéantissement progressif (perte de leur dignité sociale et de certains droits protecteurs de la propriété) des peuples d’origine Européenne, surtout CHRETIENNE “grâce au concours de l’immigration noire africaine musulmane”.
Programme n°3 : anéantissement, dès la fin de l’ère du pétrole, de leur instrument à savoir l’Islam. Qui sera jeté aux orties parce que trop imbu de lui-même : ça rend aveugle.
Programme n°4 : apprentissage forcé de la soumission et de l’obéissance aux migrants devenant ainsi, grâce aux neuro-sciences, les nouveaux esclaves de la nouvelle civilisation Orwellienne.
Elle est pas belle la vie!!!
L’humain fait partie de la nature, certains semblent l’avoir oublié. Lorsque les règles de la nature sont transgressées, la nature se révolte et donne de fâcheuses leçons au transgresseurs.
On ne peut pas plus jouer avec l’homme qu’avec la nature. Les fous l’apprendront à leur dépens.
Des amis médiums “sains” c’est à dire de braves gens ne faisant pas commerce de leur don, m’ont confirmé que la nature remettra de l’ordre.
Bien stupides sont nos élites qui se croient au dessus de tout ordre naturel.
On entendait déjà parler d’une sorte de “POLICE EUROPEENNE” qui agirait au plus vite dès qu’un pays de l’Union “aurait des problèmes”. Maintenant, c’est plus précis, il s’agit donc d’une “armée de mercenaires”.
Bien! là, c’est la goutte d’eau qui va faire déborder le vase. Car là, ça veut vraiment dire : ” vous ne nous empêcherez pas de faire venir les 13.5 millions que nous avions décidé de faire venir chaque année ( préconisé par l’ONU bien sûr et validé par les minables de l’UE).
Ils ont certes un projet de “remplacement pour l’Europe”. Mais ce chiffre de 13.5 millions de migrants par an “sent très très mauvais pour l’Afrique”. Ca ressemble aussi à un DEPECAGE de l’Afrique. Car ils vont aussi faire venir les familles (10 personnes minimum) par regroupement familial. Cela peut donc se chiffrer à 135 millions de migrants et familles par an. Donc VIDER L’AFRIQUE. Mais pourquoi donc ? Parce que leurs nouvelles technologies sont des vampires de minéraux divers.
Programme n°1 : affaiblir l’Europe grâce à l’Islam
Programme n°2 : continuer d’affaiblir l’Europe CHRETIENNE en faisant venir des millions de migrants noirs africains de pays musulmans
Programme n°3 : après anéantissement de peuples européens d’origine, réduire à néant l’Islam qui aura été leur meilleur instrument.
Programme n°4 : Faire en sorte que les noirs africains devenir les nouveaux esclaves de la nouvelle civilisation européenne. ( les neuro- sciences qu’ils explorent depuis des années le leur permettront). Et ça tombe bien, les africains migrants ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. TROUPEAU IDEAL!!!
Et derrière leurs frontières , leur sol , leurs traditions et leurs patrie …! ,l’UE à coup de démagogie politique perfide ,veut saborder insidieusement les pays qui résistent à la pensée unique … pour mieux influencer – niveler les populations … ce n’est ni plus ni moins une tactique typiquement socialiste….
L’ UE est la nouvelle URSS en pire, car les frontières de l’URSS étaient bien défendues! Bienvenue dans le Monde totalitaire d’Orwell.
”Le Parlement européen est en train de consommer les dernières miettes de son intégrité morale lorsqu’il juge un pays en violant ses propres règles pour arriver à ses fins !”
Triste, mais inéluctable FIN de l’UE !
reste à envoyer les chars contre la Hongrie ? Comme hier avec l’ex URSS ”
” enfin l’Otan cette fois…
Ça c’est le POMPON !!!
QUAND À LA SUISSE ELLE SEMBLE SE REVEILLER
Union Européenne, je dis NON au chantage vs la Suisse qui serait perdante face à ce totalitarisme anti-democratique. La démocratie libérale est un totalitarisme caché car elle ne tient pas compte du Souverain = le Peuple !
“Jean-Claude Juncker balaie l’accord “light” avec la Suisse ” je dis ah bon ?!?”
1/2 “Je veux un accord d’ensemble”: interrogé jeudi par la RTS, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a balayé l’idée d’un accord “light” avec la Suisse tel que l’envisage le Conseil fédéral.
Concernant l’accord institutionnel négocié avec la Suisse, Jean-Claude Juncker douche les espoirs helvétiques d’une négociation par étapes ou d’un accord “light”. “Je suis contre le saucissonnage”, déclare le Luxembourgeois, ajoutant que “les Etats membres ont des idées arrêtées sur le sujet”.
Pour le président de la Commission européenne, le temps presse pour la Suisse, car après lui, “ça pourrait être franchement mauvais”.
“Négociez avec moi, concluez avec moi, parce que d’ici une année je ne serai plus là et vous allez voir”, assure Jean-Claude Juncker.
2/2
Pas d’illusions sur une adhésion de la Suisse à l’UE
Quant à une possible adhésion, un jour, de la Suisse à l’Union européenne, le président de la Commission avoue avoir changé d’avis, “car foncièrement les Suisses veulent rester indépendants.”
https://amp.rts.ch/info/suisse/9841552-jean-claude-juncker-balaie-l-accord-light-avec-la-suisse.htm
Cette Europe n’est plus la nôtre !
Par Henri de Gramond
On nous dira ce que l’on veut mais cette Europe est en faillite à préférer les migrants, ou clandestins (L’ancienne appellation qui dérangeait les socialistes) à ses propres ressortissants.
L’attaque menée contre le Premier Ministre, d’un pays membre par le gouvernement européen, est le signe avant coureur d’un désastre.
Le choix est clairement établi : sus au Hongrois Orban qui n’accepte plus de migrants justement parce qu’il n’en veut plus ou pire n’en peut plus.
Les Européens qui cautionnent cela sont les complices d’une ignominie totale et abjecte, sans oublier l’hypocrisie qui dicte de tels agissements.
Observatoire du MENSONGE
L’idée des pantins qui dirigent cette pitoyable Europe est simple : sanctionner Viktor Orban en le privant via l’activation de l’article 7 des traités européens de pouvoir voter pour son pays, la Hongrie, au Conseil de l’Europe.
Après moult hésitations, l’Union européenne a fini par lancer les hostilités contre Viktor Orban, turbulent premier ministre de Hongrie, qui n’a cessé de défier Bruxelles, jetant les bases d’une démocratie autoritaire à sa main, se posant en chef de file du camp anti-immigration et appelant à une totale refonte de l’Europe dans le sens d’un retour du primat de l’État-nation. Par 448 voix pour, 197 voix contre et 48 abstentions, le Parlement européen lui a en effet infligé un cuisant camouflet en votant pour l’application de l’article 7* des traités européens, qui permettrait potentiellement l’ouverture d’une procédure de suspension des droits de vote de la Hongrie au Parlement européen.
La droite française qui en majorité a voté contre la Hongrie ne s’honore pas ainsi en apportant ses voix à la mouvance progressiste, ou si vous préférez à la Gauche. Une gauche bien réactionnaire qui joue contre son camp comme souvent.
Évidemment pour justifier cela, le Conseil européen prend prétexte que Viktor Orban ne respecterait pas la démocratie en Hongrie : c’est le classique des classiques et historiquement un remake abouti du fameux procès stalinien dit « des Blouses blanches » ou comment accuser son chien de la rage pour le faire piquer.
Rien n’a changé en ce mauvais monde qui a baissé les bras et accepte tout sans rechigner, il est vrai que l’enfumage permanent des médias pour relayer les idées progressistes est bien au point. Quel scandale que de voir cette Europe, une excellente idée au départ, sombrer ainsi par la faute de technocrates plus concernés par leurs idéaux que par les gens. C’est bien ce mépris d l’individu qui a tué l’Europe pour en faire un système dogmatique qui a toujours refusé la réalité du terrain.
Je ne sais pas ce que vaut Orban pour son pays, n’étant pas Hongrois, mais le fait qu’il défende d’abord les Hongrois face à cette invasion migratoire sans précédent le rend du coup sympathique.
D’autant qu’Orban en rencontrant le ministre Italien Salvini en août 2018 a déclaré que « Macron était l’ennemi ». Le même Macron qui à tous bouts de champs fustige la France et les Français, ce qui est pour le moins anormal et incongru de la part d’un Président en exercice.
De plus Orban a aussi déclaré que «Je n’accepterai pas que les forces pro-immigration nous menacent, fassent un chantage et calomnient la Hongrie sur la base de fausses accusations.»
Ce qui aux yeux des tenants de cette migration islamique sur l’Europe, migration contre les peuples, est un crime de lèse-majesté évident, notamment pour Angela Merkel, Emmanuel Macron et Jean-Claude Juncker.
Macron et ses amis préfèrent que les Européens ne soient plus chez eux et finissent par vivre dans des conditions dramatiques sinon dangereuses générées par l’afflux de migrants.
Alors oui les tenants de cette invasion vont poursuivre leur œuvre destructrice en criant au loup !
En l’occurrence au populisme.
Ce populisme qui est dangereux pour leur maintien en place parce que les gens finiront bien par se réveiller et les chasser démocratiquement par leur bulletin de vote.
Ils vont nous servir leur soupe de plus en plus indigeste du « bien vivre ensemble » qui est un véritable piège à gogos.
Déjà certains caciques, bien à l’abri de la crise que nous subissons, lancent leurs invectives comme Moscovici qui s’inquiète de l’existence de «petits Mussolini», Salvini l’invite à «se laver la bouche». Macron a ouvert la voie à ces dérapages verbaux fréquents, créateurs de l’amalgame, contre tous ceux qui aimeraient trop leur pays.
Cette paranoïa frénétique de la Gauche lui permet d’abord de masquer son incompétence et ensuite de gagner les élections.
Le sondage sur les intentions de vote pour les Européennes est désespérant puisque finalement la Gauche risque encore de gagner.
Alors ils vont nous expliquer que ce Premier ministre Hongrois a lourdement fauté en se rapprochant comme par enchantement de l’Extrême droite ou de la droite dure, celle qui n’existe même plus en France. D’ailleurs une majorité de LR a voté contre Orban !
Pendant ce temps, quel est l’avenir que nous réservons à nos enfants ?
Pensons-y maintenant…
Parce que franchement le temps désormais nous est compté.
Cette Europe n’est plus la nôtre !
Henri de Gramond
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Henri de Gramond pour Observatoire du MENSONGE
Article en anglais sur le même sujet :
https://www.breitbart.com/london/2018/09/14/orban-eu-open-border-brussels/
Je ne comprends pas bien l’attitude des Autrichiens dans ce vote !
L’application de la stratégie de Coudenhove Kallergi dans son livre Praktischer Idealismus, il faut être aveugle pour ne pas le voir…
Pourvu que Orban tienne bon face à cette diabolique UE.
Vive laHongrie éternelle ! Défenseur de la Chrétienté face aux turcs musulmans et sauveur de Vienne ! Longue vie aux Hongrois ! Malédiction aux fossoyeurs de l’Europe civilisatrice.