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A l’époque où je vivais encore à Nice (années 70 à mi 80), l’Ariane était un quartier populaire ouvrier où les divers avaient commencé à s’établir.
Je m’y rendais parfois sans appréhension particulière mais sans envie de m’y attarder.
Désormais, comme toutes ces zones abandonnées de la République, pour utiliser la rhétorique en vogue, ce quartier est une enclave parmi les trop nombreuses qui se destinent à nous anéantir dès que cela leur sera possible.
Une mienne connaissance demeurant à Chelles (77) m’avait fait passer, il y a une quinzaine d’années, dans la cité des Bosquets, proche.
Je m’étais déjà demandé comment avions-nous pu en arriver là. Il y a 15 ans. Nous étions les seuls blancs et croisions des regards hésitant entre la stupeur face à l’incongruité de notre présence et la haine face à l’audace de débarquer dans leur quartier et déranger leur quotidien de crapules.
Je m’aperçois avec la même stupeur que ce quartier pourri ne figure pas même dans la liste. Que doivent donc être les autres ?
Il est vrai que nous étions ressortis vivants.
On attend la liste Suisse.