Ndlr. Nos lecteurs nous demandent d’investiguer pour déterminer si le Pape n’aurait pas encore quelque chose d’autre à cacher.
Nous n’avons vraiment pas les moyens de mener ce genre d’investigations. Et si vraiment on ne sait pas encore tout sur ces horribles faits criminels, nos lecteurs devront se tourner vers les médias aux très gros moyens.
Mgr Viganò a été l’ambassadeur du Saint-Siège à Washington entre 2001 et 2016 après avoir été, entre 1998 et 2009 le délégué des représentation pontificales à Rome, avec la faculté de contrôler les dossiers personnels des candidats à l’épiscopat. Et il a la preuve que depuis l’an 2000, les autorités vaticanes avaient été informées par la nonciature des États-Unis de la conduite immorale du cardinal McCarrick sans pour autant empêcher sa promotion au poste d’archevêque de Washington et de cardinal. En 2006, Mgr Viganò en personne transmettait au Secrétaire d’État de l’époque, le cardinal Tarisio Bertone, un dossier contre McCarrick préparé dans les années précédentes par le nonce aux États-Unis de l’époque, Gabriel Montalvo et Pietro Sambi. Il fit de même en 2008 en faisant parvenir aux plus hautes autorités du Vatican un rapport rédigé par Richard Sipe, l’un des enquêteurs les plus vigilants sur les abus sexuels en Amérique du Nord. Dans les deux cas, il ne reçut aucune réponse. Quand les informations finirent par remonter, on ne sait comment, jusqu’à Benoît XVI en personne, des mesures furent enfin prises et le cardinal fut limogé. Etrangement, ces sanctions ont été levées après l'élection du pape François.
Dans son témoignage accablant, diffusé hier, Mgr Vigano écrit notamment :
"Il était également clair que, depuis l’élection du pape François, McCarrick, désormais libre de toute contrainte, s’était senti libre de voyager continuellement pour donner des conférences et des interviews. Dans un effort conjoint avec le cardinal Rodriguez Maradiaga, il était devenu le faiseur de roi pour les nominations à la Curie et aux États-Unis, et le conseiller le plus écouté au Vatican pour les relations avec l’administration Obama. C’est ainsi que l’on explique qu’en tant que membres de la Congrégation pour les évêques, le pape a remplacé le cardinal Burke par Wuerl et a nommé Cupich, juste après l’avoir créé cardinal. Avec ces nominations, la nonciature à Washington était maintenant hors course dans la nomination des évêques. En outre, il a nommé le Brésilien Ilson de Jesus Montanari – le grand ami de son secrétaire privé argentin Fabian Pedacchio – comme secrétaire de la même Congrégation pour les évêques et secrétaire du Collège des cardinaux, le promouvant d’un seul coup de simple fonctionnaire de ce département à archevêque secrétaire. Une chose inouïe pour une position aussi importante ! [...]
Le Pape François a demandé à plusieurs reprises une transparence totale dans l’Église et que les évêques et les fidèles agissent avec parrhesia (avec franchise). Les fidèles du monde entier l’exigent également de lui de manière exemplaire. Il doit honnêtement affirmer quand il a appris pour la première fois les crimes commis par McCarrick, qui a abusé de son autorité avec les séminaristes et les prêtres. En tout cas, le Pape l’a appris de moi le 23 juin 2013 et a continué de couvrir McCarrick. Il n’a pas tenu compte des sanctions que le pape Benoît lui avait infligées et a fait de lui un conseiller de confiance avec Maradiaga. Ce dernier [Maradiaga] est tellement convaincu de la protection du pape qu’il se permet de rejeter comme « bavardage » les appels sincères de dizaines de ses séminaristes, qui ont eu le courage de lui écrire après que l’un d’eux ait tenté de se suicider à cause d’abus sexuels au séminaire. Les fidèles ont maintenant bien compris la stratégie de Maradiaga : insulter les victimes pour se sauver, mentir jusqu’au bout pour couvrir un gouffre d’abus de pouvoir, de mauvaise gestion dans l’administration des biens de l’Église, et de catastrophes financières même contre des amis proches, comme dans le cas de l’ambassadeur du Honduras, Alejandro Valladares, ancien doyen du corps diplomatique près le Saint-Siège. [...]"
Dans Le Figaro, Jean-Marie Guénois précise :
« Si Mgr Carlo Maria Vigano était un affabulateur, sa lettre porterait peu. Mais c'est un homme d'autorité, de grande carrière ecclésiastique, habituellement très sérieux »
Le Vatican a déclaré ne faire aucun commentaire dans l'immédiat. Interrogé dans l'avion à son retour d'Irlande, hier, le pape a déclaré :
"J'ai lu ce matin ce communiqué, je l'ai lu et je dirai sincèrement que je dois vous dire ceci, à vous et à tous ceux d'entre vous qui sont intéressés : lisez attentivement le communiqué et faites vous votre propre jugement. Je ne dirai pas un mot là-dessus. Je pense que le communiqué parle de lui-même. Et vous avez la capacité journalistique suffisante pour tirer des conclusions. C'est un acte de confiance. Quand on passe un peu le temps et vous avez les conclusions, peut-être je parlerai mais j'aimerais que votre maturité professionnelle fasse ce travaille. Cela vous fera vraiment du bien."
Un journaliste lui a demandé ce qu’il dirait à des parents constatant les orientations homosexuelles de leur enfant :
« Je leur dirais premièrement de prier, ne pas condamner, dialoguer, comprendre, donner une place au fils ou à la fille ». « Quand cela se manifeste dès l’enfance, il y a beaucoup de choses à faire par la psychiatrie, pour voir comment sont les choses. C’est autre chose quand cela se manifeste après vingt ans ». « Je ne dirai jamais que le silence est un remède. Ignorer son fils ou sa fille qui a des tendances homosexuelles est un défaut de paternité ou de maternité ».
Extrait de: Source et auteur
Je vois une analogie entre le pape et les bonnes consciences tiers-mondistes. Ces dernières utilisent les problème du tiers-monde (qui ne finissent jamais) pour soutirer de l’argent publique qui voyage avec les valises diplomatiques et revient afin de meubler des rapacités politiques personnelles ou étoffer des caisses noires servant aux élections, ce qui est du pareil au même.
Est-ce que BEROGLIO n’utilise pas les mêmes méthodes, grâce au tamtam médiatique orchestré par SOROS pour exploiter le filon des prêtres pédophiles en rackettant les fidèles ? Ainsi ne s”assure-t-il pas des fonds personnels gérés avec SON COMPERE SOROS et distribués par les même circuits de la corruption, y compris pour nourrir des pédophiles ?
VU LE PARCOURS DE SOROS, ON POURRAIT ALORS SE DEMANDER S’IL N’A PAS TREMPE AUSSI DANS LA TENTATIVE D’ASSASSINAT DE JEAN-PAUL II ET LA MISE A L’OMBRE DE BENOIT XVI.. N’oublions pas qu’il soutient les communistes et leur oligarques qui ont déjà dépouillé l’ex-Urss, orchestré leur fuite et la prise de contrôle de l'”Europe-U€rss” en éditant la fable de la chute du Mur de Berlin pour mieux semer la confusion.
Vous comprenez mieux ainsi, je l’espère, que notre racket de + d’un milliard sous prétexte de cohésion à verser à l’Est, est là pour boucher ces trous et prendre le relais de SOROS dans ces pays qui l’ont déjà décrypté comme philanthrope-malfaisant.. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/04/20/97001-20180420FILWWW00217-hongrie-orban-incite-a-recenser-les-reseaux-soros.php
Il y a cinq ans que j’enquête sur le pape ; j’ai presque tout publié sur mon blog : “terrorisme pastoral”. Vous pouvez y trouver beaucoup de choses jamais publiées ailleurs.
JPM
Les religions sont ce que les gens en font, si vos lecteurs n’ont pas peur de voir la réalité, il faut qu’ils fassent leurs propres recherches, voici quelques pistes, à commencer par votre article du 28.06.2018 :
https://lesobservateurs.ch/2018/06/28/macron-adoube-par-le-pape-francois-comme-si-lucifer-devenait-pasteur-dames/
Voir ceci :
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=6649
ou encore ça :
http://www.fawkes-news.com/2014/03/le-pape-francois-et-lemergence-dune.html#more
Voir aussi le serment des fils d’Ignace, les jésuites et leurs ramifications mondiales, pape noir…