Le journaliste et écrivain Mauro Mazza a déclaré dans une interview au journal néerlandais De Telegraaf que le pape François ne défend pas les valeurs européennes.
"Cela m'énerve qu'il ne soit pas attentif à la défense des valeurs européennes alors que des réfugiés principalement musulmans affluent. L'accueil des immigrés ne peut pas se faire au détriment de notre identité européenne, de nos valeurs et de nos normes », affirme l'auteur du livre« Bergoglio et préjugés ».
Est-ce que le pape a trop peu de sentiment pour l'Europe?
"Ça ne l'intéresse pas. Le pape n'a rien à voir avec l'Europe. Il peut venir d'Argentine, mais en tant que pape, il est l'évêque de Rome, alors nous devrions nous attendre à ce qu'il protège notre identité. "
Mazza ajoute que "le pape François reconnaît les droits des migrants au détriment de notre propre civilisation. Ce n'est pas tendre l'autre joue, c'est s'éloigner de ses propres principes."
Alors que beaucoup d'Italiens de gauche accompagnent le pape progressiste, la popularité du pontife est descendue de 88% à seulement 70% en cinq ans.
La principale raison de sa baisse de popularité est sa défense continue des migrants illégaux.
"Je suis surpris que les évêques et les prêtres soient si peu nombreux à se faire entendre lorsque les croix sont retirées des édifices publics, parce que cela pourrait être offensant pour les gens d'une autre religion (l'islam).
Cela ne se produit pas dans l'Église orthodoxe en Russie, par exemple, ils continuent à être fidèles à eux-mêmes. Après septante ans d'oppression communiste, ils ont maintenant un moment heureux. Ils défendent leur position avec fierté et ils le feront sous le mandat du président russe Poutine », a déclaré Mazza.
De Telegraaf / Voice of Europe
Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Je suis très déçu par ce pape. Il s’occupe plus des migrants et donc de musulmans que des européens
il a une vraie tête de pervers ce lécheur de gamin il remplace sans problème une couche chargée avec sa langue fourchue un vrais scatolique , sous la soutane , je vous raconte pas les jeunes poux s exercent et s accrochent avec dégoût (les pauvres petits) , encore un 68tar ? probablement un ami a Conbandit et sa bande de lopes ……. quel bel avenir .
au moins de la chair fraiche pour cathopedophiles bonjour , vous prenez quoi monsieur… un petit noir s il vous plait posez le sous la soutane ooh!! qu il est bon le petit crème ! merci…. monsieur ne dites rien et bonne journée…. comptez sur moi.
La charité est ordonnée.
Parce qu’elle est de Dieu, la charité est ordonnée à son principe et se déploie par degrés : dans les choses qui sont aimées de l’amour de charité, il y a un certain ordre, selon leur relation au premier principe de cet amour, qui est Dieu. La charité est d’abord amour de Dieu, puis amour du prochain pour Dieu. Mais si le prochain peut signifier, dans une perspective universelle, l’ensemble des hommes, dans la réalité de l’action caritative, le prochain est d’abord celui qui nous est proche. « Prochain » vient du latin proximus, superlatif de proprior et peut se traduire « le plus proche » ou « le plus voisin ». L’ordre de la charité exige d’aimer et d’aider d’abord ceux qui nous sont les plus proches : d’abord Dieu, parce qu’il habite notre âme, puis « nos frères dans la foi », notre famille, nos amis, nos compatriotes, ceux qui nous sont étrangers, et même nos ennemis. Saint Paul, dans l’Épître aux Galates, l’affirme sans détour : Ainsi donc, tant que nous en avons l’occasion, pratiquons le bien à l’égard de tous et surtout de « nos frères dans la foi » . Ce qui distingue la charité chrétienne de la solidarité mécanique des ONG humanitaires, c’est qu’elle ne voit que Dieu dans l’homme, et ne se donne pas indistinctement à tout le monde. Elle s’étend par cercles concentriques, en respectant un ordre, qui va du prioritaire et du plus proche au plus éloigné et au plus étranger : soi-même, la famille, la paroisse, la patrie, l’Église.
En France, avons nous encore la capacité ? avec six million de chômeurs, neuf million de pauvres et près de 750 mille S.D.F. Nous pourrons bientôt aussi ajouter, pour combien de temps notre pays la France sera-t-il encore chrétienne ? Aujourd’hui seulement 2 % des Français sont pratiquants, alors qu’en 1962 ils étaient 62 %. Vatican II est une catastrophe pour le monde chrétien.
GdS (Facebook : Gaëtan de Salvatore-Ranieri