MANCHESTER, N.H. – Catalina Celentano avait l’habitude d’organiser des sessions de formation pour les travailleurs hospitaliers à Lynn, Massachusetts, pour les familiariser avec les cultures des patients originaires du Cambodge, de Russie et de la République Dominicaine. Quand elle a déménagé dans le New Hampshire, elle s’est soudainement retrouvée dans un vide ethnique.
« (Avant de déménager dans le New Hampshire), Je parlais espagnol tous les jours mais maintenant je ne parle plus l’espagnol parce qu’il n’y a personne avec qui parler espagnol », déclare Mme Celentano, née en Colombie d’une mère colombienne et d’un père hongrois. « La seule personne avec qui j’ai parlé espagnol était une femme de ménage et elle est retournée en Colombie. »
Le New Hampshire, comme ses voisins le Vermont et le Maine, est presque tout blanc. Cela a posé un éventail de problèmes aux immigrés, qui se retrouvent souvent isolés et seuls, sans le confort et le soutien d’une communauté intégrée.
Cela a également posé des problèmes aux employeurs de ces États, qui trouvent que l’ homogénéité ethnique peut constituer un obstacle au recrutement et à la rétention de travailleurs de différentes origines ethniques et cultures.
La question a incité environ 100 chefs d’entreprise, fonctionnaires et membres d’organisations à but non lucratif à se réunir jeudi pour chercher des moyens d’attirer d’autres groupes raciaux et ethniques, ainsi que des jeunes, dans le New Hampshire – qui est blanc à 94%.
Selon eux, la diversité est devenue un impératif fondamental pour les entreprises qui se disputent les talents, en particulier les travailleurs pouvant parler d’autres langues. À l’heure actuelle, le New Hampshire est à 3% latino-américain, 2% afro-américain et 3% asiatique, selon le recensement, certaines personnes s’identifiant comme plus d’une race.
(…)
@ pierre frankenhauser. C’est exactement ce que je voulais dire. Pour stimuler la rotation, nous pourrions doter toutes les chances en provenance de Suisse d’une prime de $ 50’000, ce serait une affaire. Par tranche de dix mille chances, mille chances avec prime doublée.
S’ils veulent, on pourrait leur envoyer nos dealers de rue et créer un pont aérien entre le sud de l’Espagne et le New Hampshire pour y expédier nos envahisseurs fraîchement débarqués.
Mme. Catalina Celentano doit déménager dans un des nombreux pays parlant l’espagnole puisque cela lui manque !
”Cela a posé un éventail de problèmes aux immigrés, qui se retrouvent souvent isolés et seuls” le but de l’intégration est d’apprendre la langue, trouver un boulot et se recréer un cercle de connaissances et d’amis !
De cette façon on évite la formation de ghetto !
”la diversité est devenue un impératif fondamental pour les entreprises qui se disputent les talents, en particulier les travailleurs pouvant parler d’autres langues”
Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre … du grand n’importe quoi, de l’enfumage !
Il y a certains travailleurs qui ont des capacités et le niveau requis, mais PAS tous !
C’est le même discours fallacieux qu’on a entendu au moment de l’invasion massive de 2015, des docteurs, des techniciens et des avocats, que des gens bien formés ! MENSONGES !
Ils sont MOINS de 2% !!
Référence :
https://lesobservateurs.ch/2018/06/19/allemagne-sur-1300000-demandeurs-dasile-seuls-17-disent-avoir-frequente-un-etablissement-superieur-la-majorite-na-pas-depasse-le-college/
Et ”seul 17% DISENT avoir fréquenté un établissement supérieur” –> ils disent et affirment avoir fait des études; et moi je suis allé sur Mars …
L’homogénéité est une alliée précieuse dans le maintien de la paix.
Qu’il y ait des gens de différentes origines n’est pas nuisible quand un groupe ethnique “fort” et présent depuis longtemps sur les lieux conserve la possibilité d’entretenir une certaine cohésion dans l’organisation de la société.
Des chercheurs ont démontré que c’était vivable quand trois quart d’un groupe ethnique stable collaborent avec un quart “composé d’un ou plusieurs groupes ethniques d’origines diverses”. Car les possibilités d’intégration ou d’assimilation au système “déjà existant” sont possibles.
Pourquoi trois quarts pour un quart? Parce qu’il faut tenir compte de la fécondité des groupes ethniques arrivant.
Quand il y a trop de disparités, la société n’est plus homogène et collabore beaucoup moins dans des échanges collectifs. Cela devient du “chacun (groupe ethnique) pour soi. On sait ce que cela a donné dans différentes contrées, notamment en Yougoslavie.
Il semblerait DONC qu’une société composé d’un groupe ethnique “fort” représentant trois quarts d’une population soit à la hauteur d’accepter jusqu’à un quart d’autres origines ethniques.
Au delà, HELAS, commencent “les luttes”
.(mes excuses de ne pas donner de références, elles se trouvent perdues dans des cartons – mais je remercie mes profs de m’avoir communiqué ces données dans le passé).
A une condition toutefois. Que chaque groupe ethnique sache vivre sa croyance dans la discrétion. Donc les religions “conquérantes”, risquent évidemment de mettre en péril l’harmonie.
Le maintien de la paix, de la cohésion sociale est déjà difficile quand il s’agit d’une société homogène. Ouvrir ses portes à d’autres cultures exige une prudence considérable et la sagesse d’accepter que LEUR NOMBRE DOIT AVOIR DES LIMITES.
Limites dont ne veulent absolument pas tenir compte, LES MAITRES DU MONDE aujourd’hui. Car le “confort psychique” de l’humain est la dernière de leurs priorités.. Tant pour l’autochtone que pour l’allochtone.
Si je comprends bien cette colombienne, qui s’est retrouvée face à “un vide ethnique”, l’individu ne peut se sentir confortable et soutenu que dans une “communauté intégrée”, la sienne donc et homogène, qui pratique la même langue (maternelle), entre autres. C’est exactement cela que défendent les patriotes: conserver les repères culturels et les transmettre à leurs descendants. Comme quoi, on ne pourra pas faire disparaître l’appartenance ethnico-culturelle, cette distinction que combattent avec virulence les “bien-pensants”.
L’intérêt de l’économie par contre, ce n’est pas ce besoin exprimé ci-dessus, mais celui de se servir de compétences utiles à moindre frais.