Lausanne s’apprête à ouvrir elle aussi son shootoir sous peu.
Le local d’injection de drogue « Quai 9 », derrière la gare Cornavin à Genève, est surchargé.
Covo et ses camarades expliquent aux téléspectateurs que la visibilité de ce cube fluo est assumée, sans s’étendre sur les sommes que la collectivité a déjà déboursées en 10 ans, frais de construction compris.
Mais voilà, tout n’est pas rose dans ce cube vert fluo : il y a eu tellement de violences que le local d’injection a dû fermer durant 10 jours pour protéger le personnel.
Selon les fonctionnaires travaillant pour le shootoir et selon la RTS, ces violences proviendraient de l'engorgement. C’est que ce local d’injection a eu beaucoup de succès. En 10 ans, le nombre des fréquentations est passé de 26'000 à 50'000, soit jusqu’à 200 consommateurs par jour.
Et les moyens stagnent : il n’y a toujours « que » 3 millions par année pour faire tourner la boutique.
Solution ? Ouverture d’un deuxième local, cette fois non pas axé sur la consommation des produits illicites mais sur l’encadrement social.
Aucune explication n'est donnée à cette augmentation des junkies utilisant ce shootoir. Personne dans ces temples du politiquement correct ne conclura que l’extrême passivité envers les Africains vendeurs de drogue, 24 heures sur 24, puisse être la cause de cette explosion de la consommation.
En réalité, il s’agit d’un véritable fléau sanitaire qui n’était nullement une fatalité. À preuve : dès que la volonté politique est venue, à Lausanne, d’éradiquer le fléau, en quelques semaines – du moins le jour – les trafiquants blacks ne colorent plus ses rues.
Reste à savoir quel est le calcul de la gauche derrière sa passivité face à ce fléau qui détruit la population...
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Voir aussi:
http://www.premiereligne.ch/quai-9-une-salle-dinjection-au-coeur-de-geneve/
Voir aussi la densité délirante des instances qui soignent la toxicomanie en Suisse : https://www.infoset.ch/fr/indexaddictions.html
Je m’excuse auprès des bolcheviks genevois mais il ne me sera pas possible d’assister à cette joyeuse fête.
Et Lausanne devrait de même célébrer ses 25 ans d’ inaction face aux dealers africains, balkaniques et maghrébins.
Mais bon, leur présence est tellement enrichissante, et nous avons tant à apprendre de ces cultures mystérieuses et ancestrales, dans les quartiers chic de préférence…
On dirait que cette ville foutoir gouvernée par la gauche se complait dans la déchéance et la destruction de sa population. Ce qui me parait plus difficile à comprendre c’est le but de l’opération. Existe-t-il dans l’histoire des cas similaires ? Mêmes des aliénés, grassement stipendiés, poseraient des limites à l’empoisonneraient de leurs semblables.
Un vrai modèle de réussite. Le Matin aussi aurait aimé augmenter sa clientèle de 100% en quelques années. En plus leur logique est infaillible, une incitation positive tend à reproduire le même comportement. C’est comme si un petit enfant jetait sa nourriture par terre et vous lui répondiez avec un sourire et une nouvelle assiette. Non, attendez… j’ai du rater un truc. Visiblement eux aussi. Entre le nombre de camés et de dealers que l’on voit partout le long du Rhône (P A R T O U T… sauf face à un flic), c’est encourageant pour l’avenir de cette ville.
Eh voilà un commerce en pleine d’expansion. Nous les commerçants on aimerait bien avoir 200 clients par jour au lieu des réglémentations a ne plus finir et avec plus en plus d’obligations.
Tout à fait, Roland Marquis !
En plus, ce quai No 9 attire quantité de Français dégénérés, qui en profitent en passant de faire leurs emplettes dans les sacs et les poches des habitants de Genève.
Le Quai 9 concentre les toxicomanes et leurs dealers à ses abords et interdit toute surveillance et intervention policière dans ce périmètre. Il s’agit-là d’une réelle complicité au trafic de stupéfiants.