L’immigration clandestine profite aux mafias italiennes et étrangères
Le principal site de réinformation italien affaritaliani.it a pu contacter un agent des services italiens antimafia, qui lui a révélé des informations importantes sur les nouvelles préoccupations de la direction nationale antimafia concernant les relations entre les mafias italiennes et les mafias étrangères, entre autres libyenne, marocaine, russe, chinoise et nigérienne, cette dernière utilisant la magie noire pour ses activités sur le sol italien. En octobre de l’année dernière, un protocole d’action a été conclu entre la direction antimafia et les services de l’antiterrorisme pour mieux déterminer les liens entre les divers mondes criminels, pour qui l’immigration clandestine est devenue la principale source de profit. La politique immigrationniste de l’Union européenne a donc apporté à l’Italie non seulement des centaines de milliers de clandestins dont elle ne sait plus que faire, mais une recrudescence des activités mafieuses, celles des organisations criminelles étrangères s’ajoutant sur sol italien à celles de la ndranghetta calabraise, de la mafia sicilienne et de la camorra napolitaine.
Traduction (Claude Haenggli) : La traite des êtres humains, l’immigration clandestine et les connexions entre la criminalité organisée italienne et la criminalité étrangère sont les thèmes du futur, explique-t-il. Il nous invite à ne pas lire « superficiellement » le dernier rapport semestriel de la direction des enquêtes antimafia, qui pour la première fois porte une attention particulière aux holdings criminels transnationaux et à l’immigration clandestine. Ce document décrit celle-ci comme « un des principaux et le plus profitable des business criminels, qui trop souvent va de pair avec la mort de migrants en mer, dont certains d’âge tendre ».
Claude Haenggli, 21.7.2018
Certes il y a les passeurs et les différentes mafias, mais avec notre SS fédérale, nous touchons le fond en ce qui concerne les départs non contrôlés et les départs pendants dans lequel il est écrit à la page 6 et 7 de ce rapport:
Les personnes enregistrées sous la rubrique “départ non contrôlé” sont passées dans la clandestinité, mais on ne sait pas si elles ont effectivement quitté ou non la Suisse. Il est en effet possible qu’elles y séjournent encore sans que les autorités le sachent.
Cette catégorie comprend les personnes qui, 18 mois après la notification de décision négative, n’ont quitté le territoire de façon ni contrôlée et dont le séjour n’a pas été légalisé. Il s’agit donc des personnes qui ne sont pas enregistrées dans l’une des autres catégories. On peut lire dans l’évaluation que, dans certains cas, les personnes de la catégorie “départ non contrôlé” ne sont pas systématiquement saisies. Il n’existe, par conséquent, pas d’informations fiables sur les personnes passées dans la clandestinité.
Une grande partie d’entre elles sont donc probablement passées dans la clandestinité. Or, ce passage dans la clandestinité n’est pas toujours enregistré dans le SYMIC, pas même lorsque les cantons le signalent.
https://www.parlament.ch/centers/documents/fr/bericht-gpk-n-admin-haft-asylbereich-2018-06-26-f.pdf
Alexandre Del Valle en son temps, avait démontré combien la mafia se servait de cette manne migratoire pour en faire ses esclaves en tout genre, mais aussi le désespoir qui poussait les gens de certaines parties de la Sicile à déserter la région et quitter leur logement. Dans ses vidéos, certains villages semblaient désertés par les locaux. Cela peut arriver n’importe où.
On croyait que les conquêtes barbares étaient révolues et que les nations allaient coopérer intelligemment. L’humain sera toujours porteur de barbarie et il nous faut sortir de notre naïveté.
Et tout ça avec l’aide donc la complicité des ONG….. qui leur fait encore des dons ?
Il faudrait un “préfet de fer”:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cesare_Mori
Oui.