La marque d’accessoires australienne a commencé à caster les visages qui la représenteront dans sa prochaine campagne publicitaire. Mais le label a d’ores et déjà annoncé que seules les personnes de couleur seront acceptées. Une discrimination positive qui fait jaser.
En langage politiquement correct, on appelle ça de la discrimination positive. Il n’en reste pas moins que la décision de Moga fait grincer des dents: la griffe australienne a lancé sur Facebook un appel à candidatures pour trouver les visages «frais et nouveaux» de sa prochaine campagne publicitaire. Sauf que le casting n’est pas ouvert aux Blancs (lire ci-dessous).
Moga, qui fabrique des écharpes, des foulards et des turbans vendus dans le monde entier via la marque Asos, a eu beau justifier sa décision par sa nouvelle politique d’entreprise, l’annonce a rapidement mis internet en émoi. Au point que le directeur artistique de la griffe Azahn Munas s’est défendu d’être raciste sur le réseau social Medium, comme le rapporte le site britannique de FashionUnited.
«Je sais que je ne suis pas le seul à penser que tous les visages sont beaux, mais malheureusement, la représentation raciale et ethnique dans l’industrie de la mode actuelle suggère le contraire», écrit-il. Et d’expliquer que les mannequins blancs étant largement majoritaires dans les campagnes des autres labels, il a décidé de donner la préférence à des ethnies sous-représentées dans les médias.
Le styliste espère ainsi ouvrir le débat sur la question de la diversité raciale dans la mode. Tout en précisant que, bien évidemment, les créations Moga restent destinées à tout un chacun («des Musulmans trendy qui portent le hijab aux festivaliers, en passant par les filles black, les malades qui ont fait une chimio et les drag queens»), quelle que soit sa couleur de peau.
(...)
Tant pis pour Moga. Elle se prive des plus beaux mannequins du monde. Les filles Caucasiennes sont de loin les plus belles du monde avec une infinie plus importante diversité que dans les autres régions du monde. Ailleurs? Cheveux noirs, yeux marrons noirs, peaux le plus sombres, mais c’est monochrome, monotone. Jamais le même éclat qu’aurait une fille rousse avec des yeux verts et une peau d’albâtre. Moga reviendra sur cette décision qui désservira sa cause, mais oui pour être en accord avec les précédents commentaires, c’est du racisme à ‘état pur!
Je n’avais pas remarqué mais le le directeur artistique de la griffe Moga Azahn Munas qui dit «des Musulmans trendy qui portent le hijab aux festivaliers, en passant par les filles black, les malades qui ont fait une chimio et les drag queens» ne cite qu’une religion : l’Islam.
Boycottons Moga !
Déposons plainte pour racisme, faisons que ce genre d’action anti-Blanc (Caucasien) soient sévèrement puni !
Pour ma part j’étais client dans une marque de prêt à porter, ben depuis que leurs modèles sont noirs je n’achète plus chez eux.. Je trouve que les t shirts présentés ne vont pas aux noirs et ça donne pas envie d’acheter.
@ Christian Hofer le 20 juillet 2018 à 15h13 : c’est vrai, mais si vous vendez à l’aristocratie britannique il n’y aura pas beaucoup de dread locks ou de tatouages…. Business is business ! Et effectivement l’inverse serait jugé scandaleuse.
Des écharpes, des foulards et des turbans : c’est ciblé comme accessoires. Je ne mets pas ces machins. Une écharpe en hiver, je la tricote comme je veux .
C’est de la discrimination, du racisme antiblancs.
Il faut les attaquer en justice et utiliser les mêmes armes que les organisations « antiracistes » à sens unique !
@ SD-Vintage
La discrimination est punie par la loi. Inversez donc la situation et vous verrez ce qui se passera.
C’est du commerce, du domaine privé, ils doivent vendre et ils savent ce qu’ils font. Une marque doit être à l’image de ses clients : peut-être que la majorité de leurs clients sont non-caucasians.