Ils avaient déjà essayé. Cette fois, après le tir mortel d’un CRS sur un jeune au Breil, ces activistes ont participé aux émeutes. Sans pour autant réussir la fusion avec les jeunes des quartiers.
Sans vraiment de succès jusqu’ici, on a souvent vu, dans les fréquentes manifestations nantaises contre les violences policières organisées par l’ultragauche ou la mouvance anarchiste, des appels aux cités.
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Nos remerciements à Sébastien JALLAMION
50 ans mai 68. 50 ans et rien n’a changé. Ce doit être une sorte de logique interne au système de 1945
Ah, les ultra-gauchiottes, eux, ont le droit de tout casser.
Patience, heure viendra qui tout paiera.
Logique : les gauchistes enragés recherchent toutes les occasions pour semer le chaos.
Logique également : les barbares-nés des “cités” ne peuvent pas frayer avec les néo-barbares gauchistes dans lesquels ils reconnaissent de petits-bourgeois dégénérés jetant leur gourme avant de s’installer dans des sinécures républicaines.
Illogique ceci : que barbares et néo-barbares ne soient pas systématiquement appréhendés et châtiés en raison du désordre qu’ils occasionnent. Voici la preuve de la faiblesse coupable d’un régime républicain qui n’accomplit pas son devoir régalien de sécurité publique.