Les requérants déboutés qui vivent à Genève ne doivent plus se présenter au Service d’asile pour obtenir l’aide d’urgence.

Genève met fin à une pratique controversée

Asile. Les requérants n’auront plus à se présenter à la police de l’aéroport pour obtenir l’aide d’urgence.

Depuis le 1er juillet, les requérants d’asile déboutés qui vivent à Genève ne doivent plus se présenter au Service d’asile et de rapatriement de la police de l’aéroport pour obtenir l’aide d’urgence.

Cette procédure, contestée par les associations venant en aide aux réfugiés, a été abandonnée faute d’apporter les résultats escomptés.

Le bilan tiré de cette pratique n’a pas permis de démontrer une amélioration du suivi des requérants d’asile déboutés ou une baisse des disparitions de ces personnes, a indiqué mardi Nathalie Riem, la porte-parole de l’Office cantonal genevois de la population et des migrations (OCPM), qui confirmait une information du Courrier.

La mesure avait été introduite en mars dernier. La procédure a été largement suivie, avec plus de 800 renouvellements d’aide d’urgence effectués, a souligné Mme Riem. Les associations de défense des réfugiés avaient fustigé cette procédure. Selon elles, elle causait un surcroît d’anxiété auprès de personnes menacées de renvoi.

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6 commentaires

  1. Posté par Antoine le

    @JeanDa : LES RENVOYER DE SUITE ! Mettons ainsi fin à leurs souffrances !
    Je suis entièrement d’accord avec vous concernant la méthode pour mettre fin à leurs souffrances ! On les renvoie de suite ua bled !

  2. Posté par bonardo le

    A expulser immédiatement car je suis traumatisé de voir ce que devient mon pays.

  3. Posté par Bussy le

    Est-ce moral de me faire payer des impôts pour entretenir des requérants déboutés, donc de faux réfugiés, qui en plus font du tort aux vrais réfugiés ?

  4. Posté par Jeferson le

    Et pour les chômeurs suisses? Ceux qui sont coincés entre AI et chômage, pas assez malades pour toucher l’AI et trop pour émarger au chômage, on fait quoi? On met fin aux procédures “traumatisantes”? On les considère enfin comme des citoyens normaux, et non pas de la matière première pour l’industrie du social?
    Je pourrais écrire un livre sur toutes les saloperies que le “social” m’a fait subir ces 8 dernières années, et je ne suis pas le seul. Hélas pour moi, je suis un sale con de Suisse, donc mon sort n’intéresse personne.
    Jeferson, juillet 2018

  5. Posté par JeanDa le

    “Selon elles [les associations de défense des réfugiés], elle causait un surcroît d’anxiété auprès de personnes menacées de renvoi.”
    Et que penser du surcroît d’anxiété des autochtones qu’on oblige à vivre avec ces gens qui n’ont rien à faire chez nous, et rien à perdre à défier nos lois ?
    D’autre part, si les déboutés sont anxieux dans l’attente de leur renvoi, il existe un excellent moyen de réduire cette anxiété à zéro : LES RENVOYER DE SUITE ! Mettons ainsi fin à leurs souffrances !

  6. Posté par Antoine le

    ” …les requérants d’asile déboutés qui vivent à Genève” doivent être expulsés du territoires Suisse selon les lois en vigueur. Débouté = expulsion réelle !
    Où est le problème ?
    Remigration au bled, encadré comme il se doit par 2 gendarmes.

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