par Khaled Abu Toameh
14 juin 2018
À Gaza, Mahmoud Ishtiwi a été exécuté de trois balles dans la poitrine. Il vivait au milieu de gens qui considèrent l'homosexualité comme un péché passible de la peine de mort - et ils ont appliqué la sentence.
Que nous apprend cette dispute ? Que fondamentalement, on vit plus en sécurité en étant membre du Hamas qu'en étant gay. Les dirigeants palestiniens préfèrent et de loin, voir les jeunes Palestiniens tenter de tuer des Israéliens plutôt que d'évoquer une quelconque question gay dans leur propre société. Dans le monde du Hamas et de l'Autorité palestinienne, la comédie ou la satire n'ont pas de place.
Le 8 juin, environ 250 000 personnes ont défilé à la Gay Pride de Tel Aviv. Des touristes du monde entier ont débarqué en Israël pour assister et participer à un événement dont le thème était « Notre communauté fait l'histoire » - ; une référence à la communauté LGBT d'Israël.
Au moment même où Tel-Aviv célébrait la tolérance, leurs voisins palestiniens exigeaient le licenciement de personnes qui avaient produit un gag télévisé concernant les homosexuels dans la bande de Gaza.
Ce programme controversé, appelé « Out of Focus » (Caméra cachée), a suscité de vigoureuses condamnations et nombre de Palestiniens ont appelé à punir les responsables de cette « insulte aux valeurs arabes et islamiques ».
Dans la société palestinienne et arabe, l'homosexualité n'a aucune place ; elle est dénoncée et stigmatisée. Pour éviter les persécutions et le harcèlement, des dizaines de Gazaouis ont fui en Israël peu après que le Hamas ait proscrit l'homosexualité à Gaza. En Cisjordanie, aucune des lois de l'Autorité palestinienne ne protège les gays palestiniens. [...]
Source et article complet: Gatestone Institute
Les gays cultivés hors sol par certains pervers politiques pour accroître leurs électeurs ou les mafieux pour étoffer les bordels, ne sont pas plus acceptable que l’immigration de masse ou les trafiquants de drogues. Ici on veut nous le faire croire et infecter la société par mimétisme contagieux toujours offert en spectacle par les mêmes médias à la botte, nos ennemis, qui soutiennent toutes les calamités. Tout ce cirque vise déstabiliser et aliéner les mineurs et leur liberté d’être eux-même et non ce que certains conspirateurs voudraient qu’ils soient. Ils croissent et pourtant ne peuvent pas se reproduire… Il y en a même dans ma famille, ce qui me fait penser que nous devons cette profusion aux hormones dans la nourriture trafiquée, mais surtout aux divorces et aux familles monoparentales majoritairement avec des femmes aux commandes, seules responsables de cette situation.
. . . . et LGBT vote collabo . . . . Je ris jaunâtre . . .