«J'ai préféré fuir ce quartier de Chaudron face aux pressions. J’ai vendu mon commerce et j’ai quitté le centre-ville de Lausanne pour une commune voisine, plus tranquille.» Stelian* ne regrette pas son choix. Patron du kiosque et bureau de tabac à l’angle de la rue du Maupas-chemin des Cèdres durant 16 années, il a vu l’arrivée des trafiquants de marijuana et de cocaïne dans ce quartier d’ordinaire paisible.
Et, tout comme le cinéaste Fernand Melgar ces temps-ci, il s’est révolté contre l’omniprésence de ces dealers et de leurs clients, jour et nuit, face aux commerces, aux habitations et aux écoles. «C’était devenu invivable, d’ailleurs habitants et commerçants avions fait signer une pétition à l’époque qui demandait aux autorités politiques lausannoises d’enfin réagir face à cette situation qui s’était enracinée au détriment de notre qualité de vie.» En vain, hormis une entrevue avec le responsable de la sécurité publique communale de l’époque, Grégoire Junod (du parti socialiste bien entendu), et désormais syndic de la capitale vaudoise.
(...)
Source et article complet
Via le Facebook du PNS
@Christian Hofer
Merci pour le lien :
https://www.facebook.com/fernand.melgar/posts/10214344535221789
Beau cas de TDI (trouble dissociatif de l’identité) … ou intéressante métamorphose de notre trublion associatif des identités ?
Ou alors, tout bêtement, un remake :
“Strange Case of Dr Melgar and Mr Fernand”
J’ai DEMANDE’ à PLUSIEURS REPRISES aux autorités lausannoises de réagir face à cette situation. J’ai eu un entretien avec G. Junod à l’époque à la sécurité publique,qui avait dit ne pas avoir constaté un nombre grandissant de dealers. J’apprends à la lecture de l’article que habitants et commerçants avavaient signé une pétition. Pourquoi les habitant de Maupas ont agi seuls dans leur coin? Pour les habitant des autres quartiers c’est le même topo, idem au Petit-Chêne . Nous DEVONS NOUS RASSEMBLER, tous ensemble nous pouvons être plus forts. J’ai déjà signalé que les policiers postés de 08:00 à 22:00 c’est totalement inutile. Les dealers sont sous mes fenêtres de 23.00 au petit matin. Ils tiennent leur stand de marchandise et font un boucan d’enfer : discussions, bagarres, bris de glaces . Topissime pour être en forme au boulot. Les GAUCHIASSES ont DETRUIT NOTRE VILLE. Je SOUTIENS LA POLICE, je suis en première loge et je constate la difficulté des interventions. AUX PROCHAINES ELECTIONS VOTEZ JUSTE SVP !
@ Cenator
Il existe également les clichés de Melgar concernant les dealers sur son FB 😀
https://www.facebook.com/fernand.melgar/posts/10214344535221789
Et non floutés de surcroit…
Comme il est parfois très difficile de trouver des images libres de droits pour illustrer des articles postés sur notre site, j’ai pris quelques photos des dealers à une distance raisonnable. Malgré cela, j’ai été chaque fois rattrapé et menacé par eux; ils exigeaient que je supprime les photos devant eux (ce que je n’ai pas fait).
L’IDÉAL SERAIT QUE TOUT LE MONDE LES PRENNE EN PHOTO SYSTÉMATIQUEMENT, puisque cela les contrarie.
Grace à la complicité des autorités de gauche et au laxisme de la police, les dealers ont pris possession des rues de Lausanne et c’ est les Suisses qui doivent quitter la ville. Si ça continue comme ça dans quelques années le centre de cette ville sera une banlieue africaine. Merci les gauchistes de tout poil.
Encore une fois, être assez stupide pour élire six gauchistes sur 7 municipaux a des conséquences. Ne vous plaignez pas les lausannois et apprenez à voter intelligemment de façon à renvoyer dans les égouts ces incapables de gauche qui font semblant de vous gouverner. Ceci est aussi valable pour votre grand conseil !
Tant qu’ils ne sont pas touchés, les autres habitants de Lausanne n’en ont rien à faire. Le drame de notre époque, c’est l’égoisme de la gauche “généreuse”.
”l’annonce par la Ville de Lausanne que des policiers en uniforme seraient postés de 8 h à 22 h en permanence sur place dès le 15 juin”
L’épouvantail de la municipalité de Lausanne va effrayer les moineaux … de 22H01 à 7H59 les dealers de rue vont faire des heures sup.