Selon le premier ministre danois, Copenhague est en discussion avec Vienne et « d’autres pays » de l’Union pour la mise en place d’un « nouveau régime européen de l’asile ».
Leurs divisions et la pression des populistes font décidément naître les idées les plus renversantes parmi les dirigeants européens quant au traitement à réserver aux demandeurs d’asile et au refoulement de ceux qui en ont été déboutés.
Mardi 5 juin, le premier ministre danois, Lars Lokke Rasmussen, a annoncé que son pays était en discussion avec l’Autriche – qui assumera bientôt la présidence tournante de l’Union – et « d’autres pays » pour la mise en place d’un « nouveau régime européen de l’asile ». Point central du dispositif : la création de « centres communs de réception et d’expulsion en Europe », mais hors du territoire de l’UE semble-t-il. En clair, des camps de rétention, où se retrouveraient des migrants ne pouvant prétendre à une demande d’asile, ou ne pouvant être rapidement renvoyés.
M. Rasmussen n’a pas mentionné la possible localisation de ces camps. Ils ne seraient pas, selon lui, « sur la liste des destinations préférées des migrants et des passeurs ». Il s’agirait en fait, selon plusieurs sources, de l’Albanie et du Kosovo, candidats à l’adhésion à l’UE. Le premier ministre a évoqué des contacts « avec d’autres dirigeants européens » et se disait « optimiste » quant à la mise en place d’un projet pilote « d’ici à la fin de l’année ». L’idée d’ouvrir des camps dans des pays européens, hors UE, est également portée par le ministre autrichien de l’intérieur, Herbert Kickl, poids lourd du FPÖ (extrême droite) au sein de la coalition au pouvoir à Vienne. Les premières discussions auraient en fait eu lieu à Sofia, en marge du sommet entre les Vingt-Huit et cinq pays des Balkans occidentaux, le 17 mai.
(…) La Commission européenne est embarrassée. Elle considère que les projets en question relèvent d’« initiatives nationales », en soulignant qu’il serait préférable d’avoir une approche européenne, fondée sur les « valeurs » de l’Union.
Les migrants sont en surnombre…soit! On va donc pouvoir choisir ceux qui pourront rester. Les assassins, violeurs ou autres criminels/inadaptés doivent être IMMEDIATEMENT EXCLUS A VIE D’OCCIDENT. Ceux qui ne veulent pas intégrer notre mode de vie également (FOULARD!!!)
Chaque migrant ne se conformant pas aux lois du pays d’accueil doit pouvoir y être envoyé pour renvoi définitif. Il doit à son arrivée en Occident SIGNER UN PAPIER LE STIPULANT!
Nul n’est censé ignoré NOS loi, surtout pas les violeurs et assassins de l’islam!
Des camps en Terre Adélie serait le top. 430.000 km2 et moins de 30 habitants. Et la vie au grand air GARANTI NON POLLUE. Au pays qui à l’instar du grand magasin ” Au Bonheur des Dames”, serait le pays “Au bonheur des migrants”. Bon, faudra juste prévoir une petite laine.