Malgré l’immigration, les fraises allemandes pourrissent faute de main d’œuvre
Durant de nombreuses années, des saisonniers venant d’Europe centrale et de l’Est récoltaient les fraises et les asperges en Allemagne. En raison de la bonne évolution économique de ces pays, ils restent maintenant chez eux. Ils ne peuvent pas être remplacés par des chômeurs ou des immigrés, légaux ou illégaux, pour lequel ce travail est trop pénible et qui préfèrent rester à la maison en ville.
Traduction (Claude Haenggli) : Le directeur de l’association des employeurs agricoles, Burkhart Möller, explique l’échec de la tentative, financée avec beaucoup d’argent public, d’employer des chômeurs de longue durée pour la récolte des fraises ou des asperges. « La plupart d’entre eux n’étaient plus en mesure de travailler aussi durement durant huit heures par jour. » Il en est de même pour les immigrés ou les demandeurs d'asile. Un autre problème est qu’ils devraient souvent habiter dans les fermes. Beaucoup d’entre eux préfèrent toutefois se tenir dans des régions urbaines.
Claude Haenggli, 7.6.2018
Saisonnier était économiquement intéressant avant, les gens venaient de régions relativement pauvres mais étaient propriétaires et le coût de la vie était faible. Aujourd’hui, avec les déductions salariales engendrées par toute une bureaucratie débile, les prix ont augmenté même dans les villages, et les prestations sociales se sont posées comme alternatives, pas étonnant que les gens ne veuillent plus le faire.
Le continent européen se meurt démographiquement, avec trop de vieux à la retraite et pas assez de jeunes pour les remplacer (Y a-t-il un seul pays avec au moins deux enfants pour remplacer ses deux parents?). C’est insoutenable. Ils ont voulu importer l’Afrique et le Moyen Orient en croyant importer de la main d’oeuvre, ils n’auront fait qu’accélérer la destruction de l’Europe.
Avec les fraises le fiasco de l’immigration de masse est consommé même s’il n’est pas dénoncé par leurs initiateurs, qui ramènent leur fraise juste pour nous balancer les pires Fake News sur le sujet grâce à leurs monopoles médiatiques. Sous des apparences de bonnes consciences, les tenants de l’immigration de masse sont à la fois des irresponsables et des théoriciens politiques d’une médiocrité inouïe, sans aucune expériences des réalités. S’ils ont proposé de telles niaiseries insoutenables pour soutenir l’immigration de masse, c’est que leurs « bonnes consciences » couvre en réalité leur mauvaise conscience, parce que le but visé est tout simplement de rétablir l’esclavagisme à travers les taxes et la fiscalité, tout en pensant que ne rien foutre est perçu dans leur nature première de totalitaires, comme un signe d’intelligence. Avec ces larves ne rien foutre est un abus de pouvoir digne de l’occupation et de la colonisation qui doit engendrer des réactions proportionnelles. .
Voilà pourquoi il s’est trouvé les 2/3 des votants qui ont repoussé No-Billag No-Serafe, parce qu’ils craignaient que leurs manoeuvres visant à se servir sans limites dans la caisse commune, par tous le moyens, soient suffisamment dénoncées publiquement. Et c’est encore pour cela qu’une bonne partie d’entre-eux vont repousser à la fois la monnaie pleine et accepter la loi sur les jeux de hasard. Trop de fric érige les imbéciles en dictateurs. Faute de talents ils s’érigent en juges, envahissent les clubs bonnes consciences comme le Lyons, les Rotary, et les loges maçonniques avec quelques attirances pour la Licra et d’autres impostures du même genre.
Comment voulez vous que ces milliers, de chirurgiens , medecins et autres architectes fassent sans s’abimer les mains !!!!
TOUT est dit :
»Ils ne peuvent pas être remplacés par des chômeurs ou des immigrés, légaux ou illégaux, pour lequel ce travail est trop pénible et qui préfèrent rester à la maison en ville. »
1) On réduit les allocs de 80-90% après 6 mois à 1 an
2) On oblige les migrants/immigrés économiques à s’intégrer dans le monde économique; ils sont bien venus en Europe comme réfugiés économiques !
3) Si ils continuent à glander, expulsion., remigration, retour au bled !