Sexe contre nourriture: 15 ONG impliquées. Le responsable du HCR avait qualifié ces accusations de “rumeurs”.

Selon ce rapport, certains membres de ces organisations «utilisaient souvent l'aide humanitaire et les services destinés à bénéficier aux réfugiés comme un outil d'exploitation». De la nourriture, mais aussi du carburant ou même l'accès à des services éducatifs pouvaient être échangés contre des faveurs sexuelles.

Des «listes confidentielles», rassemblant les noms de 67 personnes supposément impliquées, avaient été élaborées, mais sans que cela n'aboutisse à des poursuites, d'après «The Times».

Parmi les organisations impliquées, le journal cite plusieurs agences de l'ONU ou les ONG International Rescue Committee (IRC) et Norwegian Refugee Council (NRC). (...) A l'époque, Ruud Lubbers, alors à la tête du HCR, avait qualifié les accusations présentées dans le rapport de «rumeurs».

(...)

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2 commentaires

  1. Posté par Sergio le

    Le gauchisme dans toute sa perversité. Il devrait être interdit de soutenir ces organismes, cela s’apparente à de la complicité. Donateur = encouragement à la pédophile.

  2. Posté par Daniel Albert le

    Continuons à donner à ces pervers !

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